Le charivari (11.1842)

Chez. Bau^er,R. duCroissanlJfi. Imp d'Àiibert ÔC.C-.

( Le président.) Vous avez eu des moyens d'existeRce; cju'eu avez-vous fait :
( Le prévenu.) J'ai existé avec

foitla voix secrète de
ftir immédiatementle
l'imaginais bien qu'il
e passion.w
me la subs'aut delà
que, pour étendre
i fallu multiplier les
k l'intérêt des faits
urement abstraits. De
tes nombreuses, une
lais les situations ne
• préoccuper sérieuse-
s beaucoup de curio-
îvote contre l'amour,
pas grand'chosekcet
•e de savoir si, en fin
non le droit de faire
[à pourtant le double
durant, celte frêle et
par quelques détails
'adresse de quelques

rôle trop contenu,®
lités ordinaires, Mm
t fait applaudir pu
;s jours auparavant,
ble distinction le rôle
jrde et pénible de H.
avec la légèreté des
iefenbach a joue avec
moureux timide.

lementaires et bud-
straction des carotte
régime à bon nisrcH
lis avant, pendant'1

on Cobourg une »
frir sur un pi»1- Ce"
t'en a p» dire quece

ÉMOTIONS PARISIENNES.

u le traité devait être
trouver ma souveri
ui proposa de sau-
certames concessions
. liérèse, placée entre
combattu que lejeu-
, pourrait bien traira
me donnai toute sor-
efenbaeh. J'y réussis
sort de ce jeune boa.
flexibilité de sou oa-
'avantage que donne
ambassadeurs réunis
arbitre de toutes les
ait lieu ; elles furent
irs de Catherine, fort
ua ce résultat lors-

lvale- En coiw

0 succomber
temps qu'ei,1 *u%e
1,adjonction J °?te'

6 ,raUé C t>

ia rien, Di ta8e.

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u- E'ie les «S
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e' ,actique adroiia "

' enhardi par |0 et

l'aveu deCnï'*"-

' m6u,c »K«S

Paine allait étre^1-

e avait déjà surp j

aale imprudence „ •
,US-M- T iefenbach"
lienne' la 'm en
| irritée, donnai!
tte insulte. CelUj.ci
f • de Tiefenbach hors
tardes apo^éssesaisi.

uiUàla *'