Le charivari (11.1842)

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année, et qui pj t,

combien de ra„,
lle de 'a feuiiie >,

iette enceinte? o,H

apprendra Pasbw
he en furie! 1
oujourg habile à »,
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erances. ®11'

1 de ^voir silapeti
mx CaPrices enfanti
lan ^ M. Gérai,
roP vieux.

— Mlle Rachel,

e. Nous ignorons qMi
die de Lemercierjouée
pubhc prit paru dans

tres-français.Aujout.
politique si justement
* est P'us là pour
edune vieillesse h0-
feviner commentnoiis

J.

udieux chercheur, a,

de se croire novateur I

lté à ce litre; on vou-
erie et des hardiesses
élément incorrects et
volonté qu'il avait de
)ar les scrupules dont
la conquête d'un nou-
fond, il ne cessa ja-
ue et moins de hon-
a muse légitime,aussi
■e d'histoire; comme
si peu élégant, aussi
Jge-Chancel, et pont
evanciers que l'avait-

remercier destinait à
Gothique (ainsi dit- 1
, est une pièce rigou-
ées de l'ancien réper-
longues tirades am-
>, oblique, dont une;
rouble le cours et la|
nent reproduit. Delà
;er indice. Lemercier
t sources, et il invo-
de ces temps de go-
Grégoire de Tours,
t à peu près la même
sinon à la bonne foi,
n œuvre. Les monii-
jur certains yeux, et
génies doués d'une
à coup sûr, n'avait

ixiste pas,et arrivons

l'a rendue.

Ibfs delà jeune tra-
ies lois de l'analogie
te cette voix rude et
leurtrières, aux Par0'
at toute l'éloquence
e le portrait de cette
on beau-fils Mérovée,
lS lèvres que le
ies yeux dont 1 ecl

mouvement de l'àm

i visage
image ;
leauté
irmité.

ers ses charmes,
larmes,
aressant.
lenaçant ;
sourcilleuse

à la 4° Paae->

CftRICATURES DU JOUR.

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Après vous,monsieur ( s'il vous plait

Cli tz B auoer, U. lu Croiss ant ,16.