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Institut Français d'Archéologie Orientale <al-Qāhira> [Hrsg.]; Mission Archéologique Française <al-Qāhira> [Hrsg.]
Recueil de travaux relatifs à la philologie et à l'archéologie égyptiennes et assyriennes: pour servir de bullletin à la Mission Française du Caire — 8.1886

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Nr. 3-4
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Guieysse, Paul: Textes historiques d'Ipsamboul
DOI Artikel:
Wiedemann, Alfred: Zu der sogenannten saitischen Formel
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https://doi.org/10.11588/diglit.12255#0153
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ZU DER SOGENANNTEN SAITISCHEX FORMEL.

143

qui sont parmi les ennemis du roi de la Haute- et Basse-Egypte Ra-user-ma, etc. » La lacune de la tra-
duction répond aux groupes ^ ! ^ ^ ; d'après Lmn» et ^ , ^4 ^ î V* !

d'après Brugsoh. Sur une des parois de la salle liypostyle, Champolliox a encore copié une inscription de
sept lignes verticales mutilées par le haut [Not., p. 888), qu'a également publiée Brugsch (Mon., pl. 54).
Le texte fait allusion à une attaque de place forte par Eamsès, mais se répète, comme si le graveur n'avait
eu d'autre but que de reproduire les phrases de son texte pour remplir la place qu'il avait à décorer.

«Le roi Ra-user-ma etc. donnant la vie royale lui-même, dit : Mon amour est en Ra, ma louange
est pour mon père ïum, qui rajeunit mon souffle en vie et en santé. (S'était arrêtée) Sa Majesté, étant le
(dixième jour?) de l'arrivée, pour attaquer la ville des Khétas où se trouve la statue de Sa Majesté. Sa
•Majesté fit (avancer) ses soldats et sa cavalerie; elle était en avant de ses soldats et de sa cavalerie (pour
combattre) les vils Khétas, qui étaient dans le territoire de la ville de Tunep, dans le pays de Naharfna.

Sa Majesté fit prendre sa cuirasse.........le roi se tenait prêt à combattre la ville de ces misérables

Khétas, ii la tête de ses soldats et de sa (cavalerie).........sa cuirasse. Le roi envoya prendre sa

cuirasse et la fit placer sur lui.........les Khétas qui étaient dans le territoire de Tunep dans le

pays de Naharina. Fut sa cuirasse sur lui.»

ZU DER SOGENANNTEN SAITISCHEN FORMEL.

Von

A. WlEDEMANK.

Der personlich gereizte Ton des Aufsatzes von H. Pibhl iai letzten Hefte dieser Zeit-
schrift und die Form, welcbe ibm der Verfasser gegeben bat, wiirden mieh nach Massgabe
fles Beispieles anderer Fachgenossen den Bemerkungen des Verfassers gegeniiber schweigen
lassen, werm nicht eiiiige seiner sachlichen Bemerkungen mir eine Entgegnung zu fordern
schienen. Unter diesen Umstanden gedenke ich im Folgenden auf einige Punkte der Arbeit,
besonders auf die die sogenamite Saitenformel betreffendeii Theile insoweit einzugeben, als
cbe Erorterung der in Betraclit kommenden Fragen ein allgemeineres Intéresse beaiispruchen
?u diirfen sckeint.

H. Pibhl liât sicb dadurch verletzt geftihlt, dass ick zwei Inscbriften, weleke er selbst
zUerst herausgegeben batte, aucli meinerseits edirte. Bisher pflegte man Republieationen von
Texten in der Aegyptologie nicbt von diesein Standpunkte ans aufzufassen; im Gegentbeil
Melt man, und dieser Gedanke ist scbon vor Jabren von Chabas (Aagypt. Zeitschr. 1873,
S- 135 î.) ausgeflihrt worden, dieselbeu flir sebr nûtzlick, da sicb ein spaterer Gelehrter auf
wund zweier von einander unabhângiger Copien die wabren Lesarten des Originales mit weit
S'i'osserer Sicherbeit zu recoustruiren vermochte, als dies an der Haud nur einer Abschrift,
UW deren Zuverliissigkeit sich ein Urtheil zu bilden nur sclnver moglicb war, gescbeben
fente, Wenn H. Pibhl bier anderer Ansicbt ist, so bedauere ich, ibn unabsichtlich verletzt
*U haben, muss es daim aber uni so auffallender finden, dass unter allen Aegyptologen gerade
er derjenige ist, welcber verbaltnissmassig -am baufigsten scbon edirte Texte, freilicb meist
°bne Nennung des ersten Herausgebers, von neuem publicirt, z. B. Pibhl, lïec. I, p. 201
*h Niebuhr, Eeisebeschreibung nach Arabien, I, pl. 11 A, wo sicb als Fundort des Stlickes
^thribis vermerkt fiudet. Ein analoges Monument desselben Mannes befindet sicb ini Louvre,
Publ. Pierret, Eec. d'Inscr. du Louvre, II, p. 88); II. p. 71 ff. (= Mariette, Mon. div.,

Recueil, TOI. 19
 
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