DOI issue:
[Mémoires]
DOI article:Straub, A.: Tapisseries de Neu Willer (Bas-Rhin)
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.19863#0201
— m -
4. Élection de saint Adelphe.
Saint Adelphe est assis sur un autel et reçoit les insignes de la dignité
épiscopale. Sur la banderole on lit :
Pimtad). œart. tr. twûl. bisdjoff. jtt metj.
(Alors il fut élu évêque de Metz.)
5. Pouvoir de saint Adelphe sur les démons.
\)it. bribet. tr. itsj. bit. titftl. ttod). gcistltd)e(m) ♦ gtsttj.
(Ici il chasse les démons selon les rits de l'Église.)
Saint Adelphe, assisté d'un chanoine et d'un clerc, lève la main gauche
en faisant le geste de la bénédiction, tandis qu'il tient de la droite l'é-
tole passée autour du cou d'un énergumène. Un petit démon sort de la
bouche de ce dernier. Cinq démons voltigent au-dessus de la tête de quatre
personnages, que le saint vient de délivrer de l'esprit du mal.
Le petit corps ressuscitant de la tombe, qu'on aperçoit dans l'angle in-
férieur, au bas d'une église, appartient déjà au sujet qui commence la
seconde tapisserie.
DEUXIÈME TAPISSERIE.
1. Saint Adelphe ressuscite les morts.
Ijie. \jtt. tr. Me. Mm . nqmM. jnm. Itbett.
(Ici il a rappelé les morts à la vie.)
2. Charité de saint Adelphe envers les pauvres.
itttb. btn . ormftt. lutett. qïos) . (tlmustn. gtbttt.
(Et il a donné de grandes aumônes aux pauvres.)
3 et 4. Charité de saint Adelphe envers les pèlerins.
Dans la première scène, le saint évêque introduit les étrangers dans sa
demeure; dans la seconde, il leur lave les pieds.
tr. Ijtt. bit. btlfltrin . p(l)iirb)ergt. wtt. ollcn . ettbtit.
îflttb. tmnett. ire. foesse. fleuiesd)tit. mit. shten. Ijttlgttt. Ipb(eit).
(Il a donné l'hospitalité aux pèlerins venus de tous les pays, et leur a
lavé les pieds avec ses saintes mains.)
5. Mort du saint.
hje. tst. tr. bot. tmb. kommtn . 311. etuigem . leben.
(Ici il est mort et arrivé à la vie éternelle.)
Un ange vient d'emporter l'âme du saint. Pendant que le clergé fait la
cérémonie de l'absoute, une foule nombreuse vient une dernière fois con-
sidérer les traits de l'évêque, qu'on vénère déjà comme un saint. La se-
conde page du livre, que tiennent deux ecclésiastiques, agenouillés devant
le défunt, porte les mots : Ora pro nolris, S. AdelfpheJ.
4. Élection de saint Adelphe.
Saint Adelphe est assis sur un autel et reçoit les insignes de la dignité
épiscopale. Sur la banderole on lit :
Pimtad). œart. tr. twûl. bisdjoff. jtt metj.
(Alors il fut élu évêque de Metz.)
5. Pouvoir de saint Adelphe sur les démons.
\)it. bribet. tr. itsj. bit. titftl. ttod). gcistltd)e(m) ♦ gtsttj.
(Ici il chasse les démons selon les rits de l'Église.)
Saint Adelphe, assisté d'un chanoine et d'un clerc, lève la main gauche
en faisant le geste de la bénédiction, tandis qu'il tient de la droite l'é-
tole passée autour du cou d'un énergumène. Un petit démon sort de la
bouche de ce dernier. Cinq démons voltigent au-dessus de la tête de quatre
personnages, que le saint vient de délivrer de l'esprit du mal.
Le petit corps ressuscitant de la tombe, qu'on aperçoit dans l'angle in-
férieur, au bas d'une église, appartient déjà au sujet qui commence la
seconde tapisserie.
DEUXIÈME TAPISSERIE.
1. Saint Adelphe ressuscite les morts.
Ijie. \jtt. tr. Me. Mm . nqmM. jnm. Itbett.
(Ici il a rappelé les morts à la vie.)
2. Charité de saint Adelphe envers les pauvres.
itttb. btn . ormftt. lutett. qïos) . (tlmustn. gtbttt.
(Et il a donné de grandes aumônes aux pauvres.)
3 et 4. Charité de saint Adelphe envers les pèlerins.
Dans la première scène, le saint évêque introduit les étrangers dans sa
demeure; dans la seconde, il leur lave les pieds.
tr. Ijtt. bit. btlfltrin . p(l)iirb)ergt. wtt. ollcn . ettbtit.
îflttb. tmnett. ire. foesse. fleuiesd)tit. mit. shten. Ijttlgttt. Ipb(eit).
(Il a donné l'hospitalité aux pèlerins venus de tous les pays, et leur a
lavé les pieds avec ses saintes mains.)
5. Mort du saint.
hje. tst. tr. bot. tmb. kommtn . 311. etuigem . leben.
(Ici il est mort et arrivé à la vie éternelle.)
Un ange vient d'emporter l'âme du saint. Pendant que le clergé fait la
cérémonie de l'absoute, une foule nombreuse vient une dernière fois con-
sidérer les traits de l'évêque, qu'on vénère déjà comme un saint. La se-
conde page du livre, que tiennent deux ecclésiastiques, agenouillés devant
le défunt, porte les mots : Ora pro nolris, S. AdelfpheJ.