Inscription
d’un
nouveau membre.
Découverte
de l’épitaphe
d’un général
d’artillerie
né à Strasbourg.
Local
pour les monu-
ments lapidaires
de la Société.
— 36 —
photographique, le secrétaire la présentera au Comité et proposera d’en
publier un dessin, accompagné d’une description à laquelle il compte
rattacher un aperçu iconographique de la sainte Vierge en Alsace.
Sur la proposition de M. Straub, M. le curé Glœckler est inscrit membre
de la Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace.
La séance est levée à 3 heures et demie.
Séance du 11 mai 1874.
Président: M. le"docteur EISSEN.
Présents: MM. Klotz, Sengenwald, de Türckheim, Straub, secrétaire;
M. le professeur Krauss assiste à la séance.
Le procès-verbal de la séance d’avril est lu et adopté.
M. Eissen donne la parole à M. le professeur Krauss, qui communique
au Comité une découverte intéressante pour notre histoire locale. Lors
d’un récent voyage en Italie, M. Krauss a relevé dans le Campo-Sancto de
Pise l’épitaphe d’un général d’artillerie, né à Strasbourg et mort sur la
brèche en défendant la ville de Pise.
Le Comité vote des remercîments à M. le professeur et décide l’insertion
de la note dans le Bulletin.
M. le président annonce qu’il s’est, dans l’intervalle de la dernière
séance, occupé du choix d’un local pour placer les monuments lapidaires
appartenant à la Société, et qu’il serait utile de rendre accessible aux visi-
teurs. Ces pierres sont en ce moment déposées dans les caves de l’ancien
Château. M. l’administrateur Back, auquel M. Eissen s’est adressé pour
obtenir un emplacement convenable, demande, avant tout, un inventaire
de ces objets. On avait tout d’abord proposé à cet effet la cour intérieure
des anciennes boucheries, mais M. l’architecte Conrad doute qu’ils puis-
sent encore y trouver place. Un membre propose de les exposer dans l’en-
clos de la Mairie, au coin du Broglie.
Plusieurs membres, pensant qu’il n’y a pas péril en la demeure, de-
mandent que la question soit ajournée. Cet avis est adopté.
Une discussion s’élève sur l’utilité qu’il y aurait à donner au public com-
munication officieuse de ce qui se passe au sein du Comité, du moins de
tout ce qui est de nature à intéresser les amis de nos antiquités locales.
d’un
nouveau membre.
Découverte
de l’épitaphe
d’un général
d’artillerie
né à Strasbourg.
Local
pour les monu-
ments lapidaires
de la Société.
— 36 —
photographique, le secrétaire la présentera au Comité et proposera d’en
publier un dessin, accompagné d’une description à laquelle il compte
rattacher un aperçu iconographique de la sainte Vierge en Alsace.
Sur la proposition de M. Straub, M. le curé Glœckler est inscrit membre
de la Société pour la conservation des monuments historiques d’Alsace.
La séance est levée à 3 heures et demie.
Séance du 11 mai 1874.
Président: M. le"docteur EISSEN.
Présents: MM. Klotz, Sengenwald, de Türckheim, Straub, secrétaire;
M. le professeur Krauss assiste à la séance.
Le procès-verbal de la séance d’avril est lu et adopté.
M. Eissen donne la parole à M. le professeur Krauss, qui communique
au Comité une découverte intéressante pour notre histoire locale. Lors
d’un récent voyage en Italie, M. Krauss a relevé dans le Campo-Sancto de
Pise l’épitaphe d’un général d’artillerie, né à Strasbourg et mort sur la
brèche en défendant la ville de Pise.
Le Comité vote des remercîments à M. le professeur et décide l’insertion
de la note dans le Bulletin.
M. le président annonce qu’il s’est, dans l’intervalle de la dernière
séance, occupé du choix d’un local pour placer les monuments lapidaires
appartenant à la Société, et qu’il serait utile de rendre accessible aux visi-
teurs. Ces pierres sont en ce moment déposées dans les caves de l’ancien
Château. M. l’administrateur Back, auquel M. Eissen s’est adressé pour
obtenir un emplacement convenable, demande, avant tout, un inventaire
de ces objets. On avait tout d’abord proposé à cet effet la cour intérieure
des anciennes boucheries, mais M. l’architecte Conrad doute qu’ils puis-
sent encore y trouver place. Un membre propose de les exposer dans l’en-
clos de la Mairie, au coin du Broglie.
Plusieurs membres, pensant qu’il n’y a pas péril en la demeure, de-
mandent que la question soit ajournée. Cet avis est adopté.
Une discussion s’élève sur l’utilité qu’il y aurait à donner au public com-
munication officieuse de ce qui se passe au sein du Comité, du moins de
tout ce qui est de nature à intéresser les amis de nos antiquités locales.