Société de l'Histoire de l'Art Français [Hrsg.]: Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art Français (1.1875)

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Olivier Codoré, n’a pas craint, malgré sa grande admiration pour
l’auteur de YAbecedario, de déclarer que ce document établissait
formellement que Coldoré, mieux Codoré, était un nom et point un
surnom, et enfin qu’en tout cas Olivier Codoré ne pouvait être le
même que Julien de Fontenay1. Je suis tout-à-fait de l’avis de M. le
Mis de Chennevières, et j’essaierai de corroborer encore son argu-
mentation, mais je ne dirai pas comme lui : « Mariette qui savait tout
ne connaissait point sans doute cet extrait de privilège. »

Non, Mariette ne savait pas tout. Qui donc sait tout? La vérité est
que Mariette savait beaucoup de choses et a rendu de grands services
à l’histoire de l’art et à celle des artistes; mais l’étude que j’ai faite
de son Traité des pierres gravées m’a démontré depuis longtemps
que si son érudiC-u^.
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