îerland, le mystère
>,s des appartenons pi
us belle eau-, le seul
■lait leur transparence^,
lies, les chambres loy^
ande s'il ne serait pas it.
lumière entre des mursij
lour, de la politique 0ttl
ii consomment encore çU
l. Scribe.
a compris de quelle éto®.
-, au milieu de l'émotion a
a été donné de supprima
alors entrées dans leur i»,
ir la suite.
terre lient a se promeut,
d'entamer vite sa ptom(.
t bien être son peuple^
OIPEII'XK,
lulin qui nous annonce I»
éressans mémoires. i'Aà
•s et les Mémoires fai
it Paris connaît, est
t a sa moustache grise ei
été témoin de la bataille
> qui l'empêche de nous
n n a pas contribué ai
6. Ce qu il y a de certain,
mp de bataille après la
irder l'heure k la montre
Lait de rendre son àmeà
re, cet objet nécessaire,
Un caporal de kaiserliks
rant encore à la mainle
irage chez ce peuple bel-
baissait, le bâton fit un
jamais pu expliquer et
de P. La blessure fut lé-
le de ce mouvement de
ble se mêlait de l'affaire,
litation et sans songer!
immolé. Il l'emporta non
elques jours après pour
•ix lui servit à acheter un
>ayer au tailleur.
allant être bientôt pu-
ur le recfl du héros lui-
t permis de dire ici que
.s les champs de bataille
sans trembler, n'ayant
dit lui-même dans une
r été pendant plusieurs
i retraite de Russie. lia
n pagne ; c'est à cet acci-
'auvaise langue, que lui
pas de l'adorer malgré
ntbas les armes en 1815;
|ue lorsqu'il eut appris
France à Waterloo. Il la
»n, mais au fourbisseur
it plus digne de son ca-
stingua par la part qu'il
ournaux de l'opposition.
iu.y au Miroir, à la Pan-
si puissamment à l'édu-
lelle patrie, aux progrès
x développemens de la
les conquêies de la pais
léjk très cultivé, se for-
et tel était son zèle poui
ent de s'endormir sans
Ihotritie, par le docteur
ma au théâtre du Gy®-
tout, le Nouvel habita"1
e, qui n'eut pas le moin-
été impriémée, se serai
'estime de tous les geD5
personnage d'un perr "
, et qui fit autant d bon-
nes qu'à son talent dr»-
doute, pour le temps o
j'un public habitué aux
a fit renoncer au Ihea
rre. On a remarque que
mps. L'histoire du tu
lté nécessité qui force
ite à la 4" page-)
— C'est égal ,je trouve que le Parrain le la petite vient trop cirez nous
— Ces noisettes-la ne sont ^uère bonnes !
— Et ca tait jaser
A i ' P J
Imjj.d'Aubert & C,je
ta feras "de ce que tu voudrafm^T " ^ paS m01 ïue Je: ta
-, .dis tu passeras pour un homme sans caractère. en via'encore
me connais
une creuse
Se Vend Ckez Bauger ScQf E.d rieurs des Dessins iel
& CARI CATU R E , du FIGARO et du CHARIVARI. "Rue du Croissatit 16 .
FOURBERIES DE FEIYIIYIES,
Ym matière de sentiment.
2?Serie.
Ss-, U'iïSv' ' 'Ùiv'i;uf
par Gavarru .
>,s des appartenons pi
us belle eau-, le seul
■lait leur transparence^,
lies, les chambres loy^
ande s'il ne serait pas it.
lumière entre des mursij
lour, de la politique 0ttl
ii consomment encore çU
l. Scribe.
a compris de quelle éto®.
-, au milieu de l'émotion a
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alors entrées dans leur i»,
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terre lient a se promeut,
d'entamer vite sa ptom(.
t bien être son peuple^
OIPEII'XK,
lulin qui nous annonce I»
éressans mémoires. i'Aà
•s et les Mémoires fai
it Paris connaît, est
t a sa moustache grise ei
été témoin de la bataille
> qui l'empêche de nous
n n a pas contribué ai
6. Ce qu il y a de certain,
mp de bataille après la
irder l'heure k la montre
Lait de rendre son àmeà
re, cet objet nécessaire,
Un caporal de kaiserliks
rant encore à la mainle
irage chez ce peuple bel-
baissait, le bâton fit un
jamais pu expliquer et
de P. La blessure fut lé-
le de ce mouvement de
ble se mêlait de l'affaire,
litation et sans songer!
immolé. Il l'emporta non
elques jours après pour
•ix lui servit à acheter un
>ayer au tailleur.
allant être bientôt pu-
ur le recfl du héros lui-
t permis de dire ici que
.s les champs de bataille
sans trembler, n'ayant
dit lui-même dans une
r été pendant plusieurs
i retraite de Russie. lia
n pagne ; c'est à cet acci-
'auvaise langue, que lui
pas de l'adorer malgré
ntbas les armes en 1815;
|ue lorsqu'il eut appris
France à Waterloo. Il la
»n, mais au fourbisseur
it plus digne de son ca-
stingua par la part qu'il
ournaux de l'opposition.
iu.y au Miroir, à la Pan-
si puissamment à l'édu-
lelle patrie, aux progrès
x développemens de la
les conquêies de la pais
léjk très cultivé, se for-
et tel était son zèle poui
ent de s'endormir sans
Ihotritie, par le docteur
ma au théâtre du Gy®-
tout, le Nouvel habita"1
e, qui n'eut pas le moin-
été impriémée, se serai
'estime de tous les geD5
personnage d'un perr "
, et qui fit autant d bon-
nes qu'à son talent dr»-
doute, pour le temps o
j'un public habitué aux
a fit renoncer au Ihea
rre. On a remarque que
mps. L'histoire du tu
lté nécessité qui force
ite à la 4" page-)
— C'est égal ,je trouve que le Parrain le la petite vient trop cirez nous
— Ces noisettes-la ne sont ^uère bonnes !
— Et ca tait jaser
A i ' P J
Imjj.d'Aubert & C,je
ta feras "de ce que tu voudrafm^T " ^ paS m01 ïue Je: ta
-, .dis tu passeras pour un homme sans caractère. en via'encore
me connais
une creuse
Se Vend Ckez Bauger ScQf E.d rieurs des Dessins iel
& CARI CATU R E , du FIGARO et du CHARIVARI. "Rue du Croissatit 16 .
FOURBERIES DE FEIYIIYIES,
Ym matière de sentiment.
2?Serie.
Ss-, U'iïSv' ' 'Ùiv'i;uf
par Gavarru .
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Fourberies de femmes.
En matière de sentiment.
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Objektbeschreibung
Bildunterschrift:
– C’est égal, je trouve que le Parrain de la petite vient trop chez nous….
– Ces noisettes-là ne sont guère bonnes! …
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1842
Entstehungsdatum (normiert)
1837 - 1847
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)