1* CGNVHffiS
LE GRELOT
— Vive l'Allemagne !
— Vive la Russie !
Et voilà comment se fabrique l'histoire
comtemporaine I
I, esprit du Figaro.
Mon Dieu! que le journal de feu Villemes-
aant est donc spirituel.
Voici ce que je coupe dans les Echos de
Paris.
(la s'appelle le jeu des mois:
Janvier ton talent.
Février ton intelligence.
Mars sans t'arrèter.
Avril au lecteur.
Mai ton chapeau.
Juin la force au courage.
Juillet et Roméo.
Août c' qu'est mon fusil ?
Septembre sur l'herbe.
Octobre ton pied de là
Novembre sont fatigués.
Décembre à la cave.
EtVSekoMr ajoute:
Note explicative: J'enviais ton talent; Fais
briller ion intelligence, s'étendre sur
l'herbe, etc.
Kpataat, épatant !
Quel dommage que ce vieil abruti de Com-
merson soit mort. C'eût été le cas ou jamais
de réclamer des droits d'auteur. Car la balan-
çoire qui précède a paru au Tintamarre en
t860, en mèm» temps que la célèbre phrase
sur les jours, delà semaine, phrase que je vais
rééditer pour que le Figaro la ré-ré-réédite
dans une dizaine d'années :
L'un dit et l'autre m'a redit: aimes-tu le
maigre, dis? moi, je dis ce que mon ventre dit,
ça me dit : Bis, mange !
Aveugliana.
On ne peut plus aimable, l'aveugle du Pont
des Ai ls,
Voici ce que j'ai lu co matin sur son écriteau.
atteint de cécité
Bien vous le rende !
*
Au café
— Quel est donc cette humble femme assise
au comptoir?
— C'est la maîtresse du café.
— Vrai! il n'a pas bon goût ce café là ?
montretout.
COUPS DE BEC
Depuis le terrible accident de Charenton,
ce ne sont, dans les journaux, que cris et
menaces contre les conpagnies de chemins de
fer en général, et contre la Compagnie de
Lyon en particulier.
Comme il est convenu dans le public, que
les journalistes font leur fortune avec les per-
mis de circulation qui leur sont accordés dans
les chemins de fer; qu'en échange, ils taisent
soigneusement les crimes des administrations
qui les gorgent d'or, tous les journalistes
jaloux de leur honorabilité ont sauté sur l'oc-
casion pour tomber les chemins de fer, afin de
bien prouver aux lecteurs, qu'ils se soucient
des richesses comme d'une guigne, et qu'ils
n'ont d'idéal que l'intérêt et la protection du
pauv'e peup'e. Malheureusement, dans tout ce
qui a été écrit sur ce sujet, on est obligé de
constater de nombreuses stupidités.
Est-ce à dira que nos compagnies sont sans
défaut? Non, certes! et je serai loin de m'en
établir le bénisseur, mais quand on attaque
une institution, une industrie ou une admi-
nistration, je suis d'avis qu'il ne suffit pas de
demander la tête de l'inventeur ou du direc-
teur pour remédier au mal, mais qu'il faut
trouver le défaut de la cuirasee, et ne pas s'en
aller en guerre, comme une corneille qui abat
des noix.
Dans un pays où les lois sont aussi com-
plexes que chez nous, rien n'empêcherait d'en
établir une de plus pour les administrations
de chemins de fer.
Elaborez et décrétez ; punissez exemplaire-
ment, aussi durement qu'il vous plaira tous
les fauteurs, toutes les inobservances de la loi
que vous avez établie, soit; on punit bien un
cocher de fiacre qui vous renverse, on peut
bien punir des gens qui vous écrasent, rien
de plus ju3te.
Tant qu'on reste dans ces termes de discus-
sion raisonnable, c'est parfait. Le service des
chemins de fer peut, et doit être amélioré,
qu'on l'améliore, nous sommes tous d'accord.
Mais où ces grandes colères de Père Du-
chesne deviennent ridicules, c'est quand on
lit des élucubrations furibondes de petits
jeunes gens qui n'y entendent rien.
Ainsi dans un journal quelconque — je ne
sais plus lequel sur la quantité, — je lisais
cette belle phrase : Et d'ailleurs les trains
devraient-ils jamais être en retard?
Parfaitement oui, mon bel ami, et ce qui
m'étonne, c'est que les retards ne soient pas
plus nombreux sur les distances à longs par-
cours.
Que le mécanicien fasse chauller double,
disent les malins, afin de rattraper le temps
perdu.
Très facile à dire, cher ami, mais ni pru-
dent d'abord, ni facile à faire ensuite.
Prenons d'abord le train au moment de la
formation, si vous le voulez bien.
Chaque jour, à la même heure, le train n0....
prend en moyenne tant de voyageurs, tant de
voitures pour les colis messagerie, et tant
pour les bagages, nlus tant de wagons de
petite vitesse, qui doivent être retirés du train
à tel endroit, pour compléter le train faculta-
tif do petite vitesse qui de telle bifurcation
doit iiler sur une autre direction.
Voilà le train complet. Chacun se place,
tout va bien; mais au dernier moment, il
arrive cent voyageurs sur lesquels on ne
comptait pas; il faut les caser.
Alors manœuvre dans la gare. La locomo-
tive se détache avec le premier fourgon, il
faut aller chercher une voiture à voyageurs,
et de la classe nécessaire sur une voie voisine,
l'amener avec le cheval de manœuvres ou à
bras d'hommes, la raccorder, ramener la loco-
motive et faire monter les voyageurs.
Tout cela a pu prendre dix bonnes minutes
et c'est le temps le plus court. — Voilà donc
un train qui part déjà avec dix minutes de re-
tard.
La Compagnie aurait dû prévoir ce surcroit
de monde, dira-t-on. Non, car les billets se
donnent jusqu'à la dernière minute, pour l'a-
grément du public toujours en retard. Il en
serait autrement que le public pousserait des
hurlements féroces.
Dix minutes se rattrapent facilement sur
deux cents lieues. Non encore, au contraire,
on n'a que des chances de perdre une heure, a
cause mèmedeces dix minutes, et voici pour-
quoi : Ce train qui devait prendre cette voie
vingt kilomètres plus loin, précédant un train
qui croise à cette distance, ne peut plus la
prendre ; il avait le temps de passer sans dan-
ger en partant à l'heure exacte, maintenant
une collision serait à craindre; il doit se garer
ou attendre sur place le passage du train.
Là il perd huit ou dix nouvelles minutes,
soit vingt minutes qui plus loin encore, peu-
vent lui faire perdre un nouveau temps. Si les
trains qu'il doit laisser passe)- ont eux-mêmes
quelques minutes de retard, cinq minutes, ce
qui est insignifiant, au total on voit où l'on
arrive.
Maintenant c'est en gare, là où l'on doit
rester deux minutes, le temps de prendre ou
de laisser des voyageurs, que le public s'ar-
range toujours à faire stationner le train moi-
tié plus de temps qu'il est nécessaire.
Tour retards occasionnés les trois quarts du
temps pour le plus grand agrément et pour la
plus grande facilité des expéditeurs et des
voyageurs.
A quoi servent les heures indiquées, dira-t-
on. Mais d'indication vraie quatre vingt-dix
fois sur cent, quand les voyageurs n'entravent
pas la marche régulière des trains, et pas au-
tre chose.
Ces retards sont déplorables, je l'avoue, d'af-
freux malheurs en résultent, c'est certain,
mais un mécanicien s'expose-t-il à dérailler
dans une courbe pour rattraper le temps perdu,
ou fera-t-il sauter sa machine pour que m.Chose
embrasse sa tante à l'heure exacte? ce serait
encore plus bêle que d'arriver en retard.
La seule manière de les éviter sûrement, ce
serait de fermer la porte aux voyageurs une
demi heure à l'avance, les Compagnies n'au-
raient plus d'excuses alors, mais essayez donc
de ce moyen ! !...
Il resterait encore cependant les causes de
force majeure. Il y a des cas imprévus, de for-
tes tètes ont été victimes de cas imprévus
par elles, et tel qui s'est fait écraser la tète
par un moellon, serait passé de l'autre côté de
la rue s'il avait prévu que tel maison n'était
pas solide.
De ce qui précède, à trouver que tout est fa-
meux, il y a tout un monde, seulement j'aime
qu'on discute en connaissance de cause, et
pourvu qu'on fasse de la copie, on n'y regarde
malheureusement pas de si près.
Dans un accès de fièvre, je voyais bien un
moyen pour attaquer la Compagnie du chemin
de fer de..,, parce que le secrétaire était ; un
petit vieux ! D'un autre côté on crie : Il faut
que les chemins de ter soientrepris par l'Etat.
Mais malheureux, vous attaquez tous les
jours le gouvernement parce que les fonction-
naires ne sont selon vous que des canailles et
des imbéciles ! soyez donc logiques, ne leur
confiez donc pas nos existences s'ils sont aussi
gredins et stupides que vous le dites, ou bien
alors avouez que vous avez bien peu de soucis
de nos intérêts. Discutez tant qne vous vou-
drez, mais vos observations et vos récrimina-
tions n'atteindront leur but que si vous tou-
chezjuste. Etc'est parce quejevois trop toucher
de travers que je me suis laisser aller à cette
dissertation, de laquelle il ne faudrait cepen-
dant pas conclure que les Compagnies m'ont
donné des billets de mille lianes.
X...
Dès maintenant, nous ferons bien de nous
défier du coup de la réduction de la minorité
monarchique, dont on pourrait bien essayer
d'abuser d'ici quelque temps.
A chaque mesure progressiste et libérale
que l'on réclamera, on nous répondra :
— Chut ! Réduisons d'abord la minorité
réactionnaire du Sénat, après, nous verrons.
C'est ainsi qu'après avoir taillé en pièces les
réactionnaires à la Chambre comme ça, on les
retaillera en pièces dans l'autre sens : comme
ça, au Sénat.
Je persiste, avec mon faible bon sens, à
croire qu'il serait plus simplo de supprimer
tout bonnement ce dernier.
C'est, du reste, en émettant des idées aussi
saugrenues que je suis parvenu à me bâtir
une solide réputation de tête folle et de cer-
veau brûlé près de tous les gens graves, qui
lisent sans bâiller, le Parlement, et, depuis
trente ans qu'ils sont abonnés au Journal des
Débats, n'ont jamais aperçu le moindre chan-
gement de ligne dans la politique de ce
journal.
X
L'agence Ilavas ^télégraphie de Sfax que :
De temps en temps, nos soldats capturent
des Arabes pillards autour des jardins. On leur
fait administrer cinquante coups de bâton sur
la plante, des pieds et on les envoie au bey.
C'est un châtiment relativement léger.
Oui, mais ce que la bonne agence ne dit
pas, c'est que le bey les fait pendre inconti-
nent.
Ces aimables réticences sont du reste de
mode chez nous. C'est ainsi que les parricides
sont condamnés « à être conduits à l'échafaud
nu-pieds et la tète couverte d'un voile noir. »
Cette petite promenade n'a rien d'Bgréable,
mais somme toute, on s'y résignerait assez fa-
cilement, n'était la suite qui consiste, suivant
l'expression de M. Prudhommc, « à avoir le
cou coupé jusqu'à ce que mort s'en suive. »
X
Nous livrons à la méditation des voyageurs
la petite statistique suivante, qui les intéres-
sera sans aucun doute :
tués blessés
France ... 1 sur 1,(.ibti,Gîi;> 1 sur 196,;iil
Angleterre. 1 sur n,->">6,290 1 sur 311,315
Belgique. . 1 sur 8,861,804 I sur 2,000,000
Prusse ... 1 sur 21,111,408 1 sur 3,892,968
Notre chauvinisme doit être satisfait. Là
comme ailleurs, nous marchons en tête des
nations civilisées. D'ailleurs nos Compagnies
sont celles qui fournissent les plus forts divi-
dendes. Que chacun se fasse donc actionnai-
re. Au moins s'il est blessé dans une colli
sion, il se consolera en supputant combien
une surveillance efficace et un matériel per
fectionné auraient réduit son dividende.
X
La Justice affirme qu'elle a vu à Belleville
l'écriteau suivant:
repaire A louer
Si ce n'est pas vrai, cela ne peut manquer
de l'être bientôt
Henry Vaudémont
©ointe %• Jffipnsûngps
Gambetta ayant parlé beaucoup pour ne rien
direauNeubourg, il était fatal que Ferry «'em-
pressât de ne rien dire, encore qu'il parlât
beaucoup.
Le passage saillant de sa harangue, que
toute la claque modérée applaudit,est celui-ci:
Je n'apporte aucune révélation sur la poli-
tique de demain, ni sur la direction à donner
à la majorité de la nouvelle Chambre. Il ne
m'appartient pas d'engager la responsabilité
de celui qui représente, par dessus tout,
l'image de la République vivante, mais je puis
dire, sans crainte d'être démenti par per-
sonne, que le gouvernement chargé de pré-
sider aux élections a atteint le but qu'il fallait
atteindre, celui de réduire la minorité monar-
chique.
Il était absolument inutile, comme vous
voyez, de prendre la parole pour révéler au
public une chose qu'il sait mieux que per-
sonne, vu que ce n'est pas le gouvernement
mais le suffrage universel lui-même, qui s'est
chargé de prier une soixantaine de réaction-
i naires de rentrer chez eux.
On lit dans la Chronique Parisienne ;
le traité de commerce.
Où en sont les pourparlers, où en est le
traité ?
Tout le monde l'ignore. Cependant mieux
vaudrait encore comme à Fontenoy, dire aux
commissaires étrangers : Tirez les premiers
messieurs les Anglais, que d'attendre immo-
biles et l'arme au pied.
Qu'on nous déclare nettement que tout est
rompu, ou bien qu'on proroge, sans le moin
dre retard, pour trois mois, les traités exis-
tants.
Qu'on prenne vite, aujourd'hui même, une
décision énergique, il en est grand temps, car
l'hésitation des commissaires chargés de trai-
ter cause un préjudice immense à notre corn'
merce.
En ce moment, en effet, nos négociants
acheteurs d'articles anglais sont aux abois,
— ils commissionnent en Angleterre tout ce
qui peut leur être livré rendu en France d'ici
le 8 novembre, ils se précipitent sur la mar-
chandise qui va leur faire défaut ou pour la-
quelle ils devront payer des droits plus éle-
vés, — et nos bons voisins et amis tiénnent
leurs prix fermes, font des affaires splendides
— sont, enfin, enchantés de cette panique
dont ils profitent largement.
Et voici ce qui résultera de cet état de
choses :
Ceux de nos négociants qui se seront appli-
qués des stocks énormes de marchandises su-
biront d'énormes pertes, si le traité est pro-
rogé; — ceux, au contraire, qui espèrent tau-
jours en la prorogation, s'abstiendront d'ache-
ter et pourront être fort désappointés et payer
chèrement leur trop grande confiance. —Mais,
d'une manière comme de l'autre, grand profit
pour messieurs les Anglais, et pour nous,
malheureusement, — perturbation, désorga-
nisation, désarroi complet dans les affaires.
Aussi supplions-nous notre ministre du
commerce de décider vite cette question à la-
quelle sont liés tant d'intérêts, de nous fixer
et d'abréger ces assauts de courtoisie dont
nous seuls faisons les frais, frais que nous
finissons par trouver trop onéreux.
A. A.
Notre jeune et bien sympathique confrère
Pierre Apfuzt est l'un des plus heureux
mortels depuis peu.
L'aimable compositeur Mme Louise Adam,
que nos lecteurs connaissent déjà par ses jo-
lies productions, vient de dédier à notre ami
les Roses de Noël, une valse toute charmante
que l'éditeur O'kelly, 11, faubourg Poisson-
nière, a mis en vente hier.
Nous présentons nos sincères compliments,
non-seulement à Affuzy, mais aussi à l'aima-
ble signataire do celte œuvre coquette, qui
sera certainement le clou de l'hiver prochain
et qui figurera sur tous les pianos de la terre.
Le samedi '21 septembre, le chemin de fer de
l'Est mettra en marche, au départ de Nancy,
un train spécial d'excursion à prix très ré-
duits, composé de voitures de 2* et de, :v classe,
qui permettra aux voyageurs de venir passer
cinq jours à Paris.
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LE GRELOT
— Vive l'Allemagne !
— Vive la Russie !
Et voilà comment se fabrique l'histoire
comtemporaine I
I, esprit du Figaro.
Mon Dieu! que le journal de feu Villemes-
aant est donc spirituel.
Voici ce que je coupe dans les Echos de
Paris.
(la s'appelle le jeu des mois:
Janvier ton talent.
Février ton intelligence.
Mars sans t'arrèter.
Avril au lecteur.
Mai ton chapeau.
Juin la force au courage.
Juillet et Roméo.
Août c' qu'est mon fusil ?
Septembre sur l'herbe.
Octobre ton pied de là
Novembre sont fatigués.
Décembre à la cave.
EtVSekoMr ajoute:
Note explicative: J'enviais ton talent; Fais
briller ion intelligence, s'étendre sur
l'herbe, etc.
Kpataat, épatant !
Quel dommage que ce vieil abruti de Com-
merson soit mort. C'eût été le cas ou jamais
de réclamer des droits d'auteur. Car la balan-
çoire qui précède a paru au Tintamarre en
t860, en mèm» temps que la célèbre phrase
sur les jours, delà semaine, phrase que je vais
rééditer pour que le Figaro la ré-ré-réédite
dans une dizaine d'années :
L'un dit et l'autre m'a redit: aimes-tu le
maigre, dis? moi, je dis ce que mon ventre dit,
ça me dit : Bis, mange !
Aveugliana.
On ne peut plus aimable, l'aveugle du Pont
des Ai ls,
Voici ce que j'ai lu co matin sur son écriteau.
atteint de cécité
Bien vous le rende !
*
Au café
— Quel est donc cette humble femme assise
au comptoir?
— C'est la maîtresse du café.
— Vrai! il n'a pas bon goût ce café là ?
montretout.
COUPS DE BEC
Depuis le terrible accident de Charenton,
ce ne sont, dans les journaux, que cris et
menaces contre les conpagnies de chemins de
fer en général, et contre la Compagnie de
Lyon en particulier.
Comme il est convenu dans le public, que
les journalistes font leur fortune avec les per-
mis de circulation qui leur sont accordés dans
les chemins de fer; qu'en échange, ils taisent
soigneusement les crimes des administrations
qui les gorgent d'or, tous les journalistes
jaloux de leur honorabilité ont sauté sur l'oc-
casion pour tomber les chemins de fer, afin de
bien prouver aux lecteurs, qu'ils se soucient
des richesses comme d'une guigne, et qu'ils
n'ont d'idéal que l'intérêt et la protection du
pauv'e peup'e. Malheureusement, dans tout ce
qui a été écrit sur ce sujet, on est obligé de
constater de nombreuses stupidités.
Est-ce à dira que nos compagnies sont sans
défaut? Non, certes! et je serai loin de m'en
établir le bénisseur, mais quand on attaque
une institution, une industrie ou une admi-
nistration, je suis d'avis qu'il ne suffit pas de
demander la tête de l'inventeur ou du direc-
teur pour remédier au mal, mais qu'il faut
trouver le défaut de la cuirasee, et ne pas s'en
aller en guerre, comme une corneille qui abat
des noix.
Dans un pays où les lois sont aussi com-
plexes que chez nous, rien n'empêcherait d'en
établir une de plus pour les administrations
de chemins de fer.
Elaborez et décrétez ; punissez exemplaire-
ment, aussi durement qu'il vous plaira tous
les fauteurs, toutes les inobservances de la loi
que vous avez établie, soit; on punit bien un
cocher de fiacre qui vous renverse, on peut
bien punir des gens qui vous écrasent, rien
de plus ju3te.
Tant qu'on reste dans ces termes de discus-
sion raisonnable, c'est parfait. Le service des
chemins de fer peut, et doit être amélioré,
qu'on l'améliore, nous sommes tous d'accord.
Mais où ces grandes colères de Père Du-
chesne deviennent ridicules, c'est quand on
lit des élucubrations furibondes de petits
jeunes gens qui n'y entendent rien.
Ainsi dans un journal quelconque — je ne
sais plus lequel sur la quantité, — je lisais
cette belle phrase : Et d'ailleurs les trains
devraient-ils jamais être en retard?
Parfaitement oui, mon bel ami, et ce qui
m'étonne, c'est que les retards ne soient pas
plus nombreux sur les distances à longs par-
cours.
Que le mécanicien fasse chauller double,
disent les malins, afin de rattraper le temps
perdu.
Très facile à dire, cher ami, mais ni pru-
dent d'abord, ni facile à faire ensuite.
Prenons d'abord le train au moment de la
formation, si vous le voulez bien.
Chaque jour, à la même heure, le train n0....
prend en moyenne tant de voyageurs, tant de
voitures pour les colis messagerie, et tant
pour les bagages, nlus tant de wagons de
petite vitesse, qui doivent être retirés du train
à tel endroit, pour compléter le train faculta-
tif do petite vitesse qui de telle bifurcation
doit iiler sur une autre direction.
Voilà le train complet. Chacun se place,
tout va bien; mais au dernier moment, il
arrive cent voyageurs sur lesquels on ne
comptait pas; il faut les caser.
Alors manœuvre dans la gare. La locomo-
tive se détache avec le premier fourgon, il
faut aller chercher une voiture à voyageurs,
et de la classe nécessaire sur une voie voisine,
l'amener avec le cheval de manœuvres ou à
bras d'hommes, la raccorder, ramener la loco-
motive et faire monter les voyageurs.
Tout cela a pu prendre dix bonnes minutes
et c'est le temps le plus court. — Voilà donc
un train qui part déjà avec dix minutes de re-
tard.
La Compagnie aurait dû prévoir ce surcroit
de monde, dira-t-on. Non, car les billets se
donnent jusqu'à la dernière minute, pour l'a-
grément du public toujours en retard. Il en
serait autrement que le public pousserait des
hurlements féroces.
Dix minutes se rattrapent facilement sur
deux cents lieues. Non encore, au contraire,
on n'a que des chances de perdre une heure, a
cause mèmedeces dix minutes, et voici pour-
quoi : Ce train qui devait prendre cette voie
vingt kilomètres plus loin, précédant un train
qui croise à cette distance, ne peut plus la
prendre ; il avait le temps de passer sans dan-
ger en partant à l'heure exacte, maintenant
une collision serait à craindre; il doit se garer
ou attendre sur place le passage du train.
Là il perd huit ou dix nouvelles minutes,
soit vingt minutes qui plus loin encore, peu-
vent lui faire perdre un nouveau temps. Si les
trains qu'il doit laisser passe)- ont eux-mêmes
quelques minutes de retard, cinq minutes, ce
qui est insignifiant, au total on voit où l'on
arrive.
Maintenant c'est en gare, là où l'on doit
rester deux minutes, le temps de prendre ou
de laisser des voyageurs, que le public s'ar-
range toujours à faire stationner le train moi-
tié plus de temps qu'il est nécessaire.
Tour retards occasionnés les trois quarts du
temps pour le plus grand agrément et pour la
plus grande facilité des expéditeurs et des
voyageurs.
A quoi servent les heures indiquées, dira-t-
on. Mais d'indication vraie quatre vingt-dix
fois sur cent, quand les voyageurs n'entravent
pas la marche régulière des trains, et pas au-
tre chose.
Ces retards sont déplorables, je l'avoue, d'af-
freux malheurs en résultent, c'est certain,
mais un mécanicien s'expose-t-il à dérailler
dans une courbe pour rattraper le temps perdu,
ou fera-t-il sauter sa machine pour que m.Chose
embrasse sa tante à l'heure exacte? ce serait
encore plus bêle que d'arriver en retard.
La seule manière de les éviter sûrement, ce
serait de fermer la porte aux voyageurs une
demi heure à l'avance, les Compagnies n'au-
raient plus d'excuses alors, mais essayez donc
de ce moyen ! !...
Il resterait encore cependant les causes de
force majeure. Il y a des cas imprévus, de for-
tes tètes ont été victimes de cas imprévus
par elles, et tel qui s'est fait écraser la tète
par un moellon, serait passé de l'autre côté de
la rue s'il avait prévu que tel maison n'était
pas solide.
De ce qui précède, à trouver que tout est fa-
meux, il y a tout un monde, seulement j'aime
qu'on discute en connaissance de cause, et
pourvu qu'on fasse de la copie, on n'y regarde
malheureusement pas de si près.
Dans un accès de fièvre, je voyais bien un
moyen pour attaquer la Compagnie du chemin
de fer de..,, parce que le secrétaire était ; un
petit vieux ! D'un autre côté on crie : Il faut
que les chemins de ter soientrepris par l'Etat.
Mais malheureux, vous attaquez tous les
jours le gouvernement parce que les fonction-
naires ne sont selon vous que des canailles et
des imbéciles ! soyez donc logiques, ne leur
confiez donc pas nos existences s'ils sont aussi
gredins et stupides que vous le dites, ou bien
alors avouez que vous avez bien peu de soucis
de nos intérêts. Discutez tant qne vous vou-
drez, mais vos observations et vos récrimina-
tions n'atteindront leur but que si vous tou-
chezjuste. Etc'est parce quejevois trop toucher
de travers que je me suis laisser aller à cette
dissertation, de laquelle il ne faudrait cepen-
dant pas conclure que les Compagnies m'ont
donné des billets de mille lianes.
X...
Dès maintenant, nous ferons bien de nous
défier du coup de la réduction de la minorité
monarchique, dont on pourrait bien essayer
d'abuser d'ici quelque temps.
A chaque mesure progressiste et libérale
que l'on réclamera, on nous répondra :
— Chut ! Réduisons d'abord la minorité
réactionnaire du Sénat, après, nous verrons.
C'est ainsi qu'après avoir taillé en pièces les
réactionnaires à la Chambre comme ça, on les
retaillera en pièces dans l'autre sens : comme
ça, au Sénat.
Je persiste, avec mon faible bon sens, à
croire qu'il serait plus simplo de supprimer
tout bonnement ce dernier.
C'est, du reste, en émettant des idées aussi
saugrenues que je suis parvenu à me bâtir
une solide réputation de tête folle et de cer-
veau brûlé près de tous les gens graves, qui
lisent sans bâiller, le Parlement, et, depuis
trente ans qu'ils sont abonnés au Journal des
Débats, n'ont jamais aperçu le moindre chan-
gement de ligne dans la politique de ce
journal.
X
L'agence Ilavas ^télégraphie de Sfax que :
De temps en temps, nos soldats capturent
des Arabes pillards autour des jardins. On leur
fait administrer cinquante coups de bâton sur
la plante, des pieds et on les envoie au bey.
C'est un châtiment relativement léger.
Oui, mais ce que la bonne agence ne dit
pas, c'est que le bey les fait pendre inconti-
nent.
Ces aimables réticences sont du reste de
mode chez nous. C'est ainsi que les parricides
sont condamnés « à être conduits à l'échafaud
nu-pieds et la tète couverte d'un voile noir. »
Cette petite promenade n'a rien d'Bgréable,
mais somme toute, on s'y résignerait assez fa-
cilement, n'était la suite qui consiste, suivant
l'expression de M. Prudhommc, « à avoir le
cou coupé jusqu'à ce que mort s'en suive. »
X
Nous livrons à la méditation des voyageurs
la petite statistique suivante, qui les intéres-
sera sans aucun doute :
tués blessés
France ... 1 sur 1,(.ibti,Gîi;> 1 sur 196,;iil
Angleterre. 1 sur n,->">6,290 1 sur 311,315
Belgique. . 1 sur 8,861,804 I sur 2,000,000
Prusse ... 1 sur 21,111,408 1 sur 3,892,968
Notre chauvinisme doit être satisfait. Là
comme ailleurs, nous marchons en tête des
nations civilisées. D'ailleurs nos Compagnies
sont celles qui fournissent les plus forts divi-
dendes. Que chacun se fasse donc actionnai-
re. Au moins s'il est blessé dans une colli
sion, il se consolera en supputant combien
une surveillance efficace et un matériel per
fectionné auraient réduit son dividende.
X
La Justice affirme qu'elle a vu à Belleville
l'écriteau suivant:
repaire A louer
Si ce n'est pas vrai, cela ne peut manquer
de l'être bientôt
Henry Vaudémont
©ointe %• Jffipnsûngps
Gambetta ayant parlé beaucoup pour ne rien
direauNeubourg, il était fatal que Ferry «'em-
pressât de ne rien dire, encore qu'il parlât
beaucoup.
Le passage saillant de sa harangue, que
toute la claque modérée applaudit,est celui-ci:
Je n'apporte aucune révélation sur la poli-
tique de demain, ni sur la direction à donner
à la majorité de la nouvelle Chambre. Il ne
m'appartient pas d'engager la responsabilité
de celui qui représente, par dessus tout,
l'image de la République vivante, mais je puis
dire, sans crainte d'être démenti par per-
sonne, que le gouvernement chargé de pré-
sider aux élections a atteint le but qu'il fallait
atteindre, celui de réduire la minorité monar-
chique.
Il était absolument inutile, comme vous
voyez, de prendre la parole pour révéler au
public une chose qu'il sait mieux que per-
sonne, vu que ce n'est pas le gouvernement
mais le suffrage universel lui-même, qui s'est
chargé de prier une soixantaine de réaction-
i naires de rentrer chez eux.
On lit dans la Chronique Parisienne ;
le traité de commerce.
Où en sont les pourparlers, où en est le
traité ?
Tout le monde l'ignore. Cependant mieux
vaudrait encore comme à Fontenoy, dire aux
commissaires étrangers : Tirez les premiers
messieurs les Anglais, que d'attendre immo-
biles et l'arme au pied.
Qu'on nous déclare nettement que tout est
rompu, ou bien qu'on proroge, sans le moin
dre retard, pour trois mois, les traités exis-
tants.
Qu'on prenne vite, aujourd'hui même, une
décision énergique, il en est grand temps, car
l'hésitation des commissaires chargés de trai-
ter cause un préjudice immense à notre corn'
merce.
En ce moment, en effet, nos négociants
acheteurs d'articles anglais sont aux abois,
— ils commissionnent en Angleterre tout ce
qui peut leur être livré rendu en France d'ici
le 8 novembre, ils se précipitent sur la mar-
chandise qui va leur faire défaut ou pour la-
quelle ils devront payer des droits plus éle-
vés, — et nos bons voisins et amis tiénnent
leurs prix fermes, font des affaires splendides
— sont, enfin, enchantés de cette panique
dont ils profitent largement.
Et voici ce qui résultera de cet état de
choses :
Ceux de nos négociants qui se seront appli-
qués des stocks énormes de marchandises su-
biront d'énormes pertes, si le traité est pro-
rogé; — ceux, au contraire, qui espèrent tau-
jours en la prorogation, s'abstiendront d'ache-
ter et pourront être fort désappointés et payer
chèrement leur trop grande confiance. —Mais,
d'une manière comme de l'autre, grand profit
pour messieurs les Anglais, et pour nous,
malheureusement, — perturbation, désorga-
nisation, désarroi complet dans les affaires.
Aussi supplions-nous notre ministre du
commerce de décider vite cette question à la-
quelle sont liés tant d'intérêts, de nous fixer
et d'abréger ces assauts de courtoisie dont
nous seuls faisons les frais, frais que nous
finissons par trouver trop onéreux.
A. A.
Notre jeune et bien sympathique confrère
Pierre Apfuzt est l'un des plus heureux
mortels depuis peu.
L'aimable compositeur Mme Louise Adam,
que nos lecteurs connaissent déjà par ses jo-
lies productions, vient de dédier à notre ami
les Roses de Noël, une valse toute charmante
que l'éditeur O'kelly, 11, faubourg Poisson-
nière, a mis en vente hier.
Nous présentons nos sincères compliments,
non-seulement à Affuzy, mais aussi à l'aima-
ble signataire do celte œuvre coquette, qui
sera certainement le clou de l'hiver prochain
et qui figurera sur tous les pianos de la terre.
Le samedi '21 septembre, le chemin de fer de
l'Est mettra en marche, au départ de Nancy,
un train spécial d'excursion à prix très ré-
duits, composé de voitures de 2* et de, :v classe,
qui permettra aux voyageurs de venir passer
cinq jours à Paris.
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