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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 11.1881

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https://doi.org/10.11588/diglit.6800#0159
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15 CENTIMES

LE GRELQT

presse, dont on sait la puissance sur le pu-
blic.

Aussi devrait-on choisir méticuleusement
ce fonctionnaire, et lui conserver une quasi-
inamovibilité. Or il n'en est rien. Le directeur,
qui ne regardera pas à donner 3.HO0 francs par
mois au premier crétin venu, doué d'un filet
de voix (?) de soi-disant ténorino, lésinera sur
quelques louis à donner à un bon secrétaire.

Poar un oui ou pour un non, on en change.
D'où les jolis services de premières et de se-
condes où des inexpérimentés ont fait des dou-
bles et parfois triples emplois.

D'où les billets de faveur à droits, d'ordi-
naire, apanage des ouvreuses, machinistes et
quatrièmes violons distribués à des journalis-
tes, l'a débutant, M. Gibeau, a commis cette
bourde à notre préjudice la semaine dernière.
Espérons que M. Larochelle lui apprendra
comment les choses se passent d'ordinaire et,
qu'il renoncera à ces errements, gloire insé-
parable des noms de MM. Ballande et Gastel-
lano.

X

Je ne sais quel cuistre de' sacristie, mécon-
tent de voir que l'on considérait les églises
comme des lieux publics, s'écriait l'autre jour,
du ton rageur que possèdent ces roquets, lors-
qu'ils sontabreuvés d'une eau.qu'ils croyaient
bénite et qui n'était que trop salée :

— « L'église est un saint lieu, qui mérite
d'être respecté. Elle n'est pas un théâtre. »

— Nul ne l'ignore, doux émule de Nonotte.
J'ai même connu un impressario qui regrettait
vivement qu'elle n'en fût pas un :

— Ah? disait-il, la belle fortune qu'on fe-
rait avec un opéra-comique monté sur ce pied-
là ! Toujours le même répertoire et toujours
salle pleine ! Pas de sifflets à craindre, pas
d'auteurs à payer, et le droit des pauvres à la
charge du public !.:. Ah ! mon ami, quelle for-
tune ! quelle fortune !...

X

Presque tous les grands journaux ont reli-
gieusement enregistré, samedi dernier, la sot-
tise suivante :

— « Le tunnel de la Manche est sorti de la
phase delà théorie pour entrer dans celle d'une
prompte réalisation (1).

Du côté anglais, 1600 mètres sont dé|a creu-
sés, et du côté français, 1800 sont perforés.

Or, la longueur du tunnel n'est que de 29 k.
6;i0 mètres — à marée basse. »

« A marée basse » est un chef d'œuvre su-
blime. Vite, monsieur Ferry, les palmes d'of-
ficier d'académie à l'auteur.

X

Le récit de l'éboulcment qui détruisit pres-
que entièrement Elur ne contient pas moins de
beautés.

Je me contenterai de signaler au hasard celle
qui fait conseiller l'évacuation complète du
village par des experts.

Je regretterai toute ma vie de ne pas possé-
der la photograpnie d'un Monsieur exerçant
la profession, jusqu'ici inconnue de moi, d'ex-
port eu eboulement de montagnes. Même s'il
cumule avec le noircissage de verres éclipses,
m'est avis qu'il doit encore lui rester certains
loisirs.

Les lauriers de la fabrique de miracles de
Lourdes empêchent les calotins des autres
pays de dormir.

C'est ainsi qu'un de ces plumitifs, qu'il
nous répugne de traiter de confrère, nous
raconte gravement le fait suivant :

Dans la commune de Vellengreville, il y a
une jeune fille de dix-neuf ans qui porte tous
les stigmates du Christ. Les pieds, les mains,
le côté, le front, sont percés sur une longueur
de deux centimètres et sur une largeur d'un
demi-centimètre. La tète porte l'empreinte
d'une couronne d'épines.

Les plaies saignent du jeudi soir au ven-
dredi à trois heures, et elle sourire d'atroces
douleurs. A trois heures, le vendredi, elle se
lève et n'a plus de mal, mais elle garde les
empreintes.

Ce phénomène a commencé le jour de la
Pentecôte. Elle n'a pu avaler une goutte d'eau
depuis le li juillet.

Naturellement l'écrivain catholique estime
que le fait de souffrir atrocement dujeudi soir
au vendredi à 3 heures constitue une très
heuredse immunité, dont cette pauvre fille
doit chaleureusement remercier Dieu.

<>n n'est pas plus bête.

X

La Finance pour Rire relève cette phrase
d'un de ses confrères financiers:

«Certes, la Bourse a le pied marin sur le
bâtiment qui porte la France et sa fortune... »

Uue l'ondtse aprts cela que les journalistes
financiers n'aiment pas le beau style !

Bientôt, comme de simples académiciens,
ils appellerontune poule « l'épouse du chantre
du jour », et feront, à l'instar de M. Cousin,
d'interminables dissertationssurla conscience,
« ce paletot de l'âme ».

X

En attendant, je leur dédie celte belle
phrase, de feu Commerson, qui me servira de
mot de la fin:

« Le crédit est un vilebrequin à l'aide
duquel on fait des trous à la lune. »

Le Henri IV, journal républicain, — ce qui,
avec ce titre, est déjà profondément absurde,
— nous annonce gravement que :

La princesse Victoria, épouse du prince
impérial Guillaume d'Allemagne, voyageant
incognito sous le nom de comtesse de Lingen
et venant d'Angleterre, est arrivée hier soir, à
cinq heures, à Paris.

La comtesse de Lingen est accompagnée de
la comtesse Kolkraucîi, dame d'honneur et du
comte Leckendorf, chambellan.

La comtesse est descendue à l'hôtel Bristol.

Pardon, organe du chroniqueur Marie
Colombier, « incognito » est de trop.

X

Le même journal contenait une jolie trans-
position de deux paquets décomposition. Cette
opération donne des résultats comme celui-
ci :

Qu'ils se rappellent cette vieille histoire :
Minette était une chatte ravissante, blan-
tentée et officiellement reconnue, — vous
pourrez dormir tranquille, les oreilles
chaudes dans le bonnet de coton régle-
mentaire, sans crainte de voir se relever la
mèche.

Les gens mariés qui ne le sont point,
eux. doivent faire leur vingt-huit jours
avec enthousiasme. Si retenus par une
certaine décence mondaine, ils conservent
dans leur conjungo de parada un tanti-
che comme l'hermine, avec des poils plus
soyeux que les soies floconneuses d'Algé-
rie.

Règle générale: la moitié des lecteurs com-
prennent tout de même.

CHRONIQUE THÉÂTRALE

1.1) Joli tableau à peindre.

N. D. L. R.

Le théâtre de la Porte-Saint-Martin, fermé
depuis le mois de juillet, vient d'inaugurer
sa saison théâtrale par une étincelante reprise
de la plus amusante des féeries, la Biche au
bois.

Je laisse aux critiques et chroniqueurs des
grands palmipèdes quotidiens le soin de vous
dresser, poil par poil, l'état civil de cette
agréable Biche, certain qu'il vous auront déjà
appris, quand paraîtront ces lignes, qu'elle fut
enfantée, sans douleur, par MM. Coignard, en
1815; qu'elle fut remise à la scèno régulière-
ment de cinq en cinq années, ce qui ne con-
tribua pas peu à lui donner du.....lustre; que

sous la direction de M. X... (l'intelligent di-
recteur) on ajouts, un tableau aux vingt qui
existaient primitivement et que sous la non
moins intelligente direction de M. '/.... (non
moins sympathique directeur) un acte entier
fut ajouté pour la plus grande joie des admi-
rateurs de Mlle Y... et le plus grand éclat de
cette étoile dont le talent était alors, ce qu'il
est malheureusement resté depuis, aussi peu
réel que les appas, etc., etc.

Vous parlerai-je du sujet de la pièce? A
quoi bon? Toutes les féeries se ressemblent
par cela seul qu'elles sont des féeries, et
qu'elles sont forcément édifiées à l'aide des
même pièces et dos mêmes morceaux. La
donnée est toujours la même : Vous prenez
un prince charmant et amoureux, un valet
idiot et grand faiseur de calembours, un roi
imbécile, une princesse charmante, des fées
bienfaisantes, des idem malicieuses, vous lais-
sez mijoter le tout dans votre cervelle en in-
voquant la « folle du logis », la fée Imagi-
nation, et le reste regarde les direéteurs dont
la ladrerie ou la magnificence fait de cette
élucubration inénarrable, pour l'auteur lui-
même, un mets succulent ou un exécrable
ragoût.

La /fiche au bois a toujours eu la chance de
no donner sa patte qu'à des directeurs n'ayant
rien de commun avec feu Billion et toutes les
reprises successives qui en furent faites cons-
tituèrent autant de succès.

M. Paul Clèvcs a tenu à honneur de conser-
ver intacte la tradition; les merveilles qu'il
vient de faire défiler devant nos yeux le fa-
raient même traiter de prodigue, si l'on n'é-
tait assuré d'avance que pour un louis semé
sur la scène de son théâtre, ce directeur aimé
de la fortune en récoltera bien cent.

La Biche au bois, de 1881, ne comporte pas
moins de trente tableaux et soixante trans-
formations, tous plus amusants, plus cocasses
et plus éblouissants les uns que l,es autre*, ;
des décors magnifiques, des costumes « ruis-
selants d'iuouismè' » ; detix superbes ballets
et pour çlôre le tout une exibition de lions en
Uherté sur la scène!

Joignez à cela des intorprètes tels que l'a-
musant Gobin, le joyeux Alexandre, Mlles j
Van Ghetl, Alice Reine, Gélabert, des esca-
drons de. jolis minois obéissant à des fées telles
que la belle Mlle Achard et vous aurez une idée
de l'amusante soirée, que vous êtes certaine- I

ment tous appelés à aller passer, amis lec-
teurs, à la Porte-Saint-Martin,

Inutile de se hâter : en voilà pour cinq ou
six mois, au moins.

Odéon

Réouverture avec deux pièces nouvelles:
Le voyage de noce, 4 actes, en vers et Un rival
pour rire, pièce en un acte.

Ces deux pièces sont l'œuvre de deux débu-
tants. Nous considérons comme un devoir, vu
la rareté de la chose, de le mentionner tout
d'abord et d'en féliciter M. de la Rounat.

Le voyage de noce de M. Tierselin n'est certes
point exempt de défauts. Le scénario est tout
ce qu'il y a de plus connu et de plus banal;
il a été traité sur toutes les scènes.

Un jeune peintre ayant eu la veine de ren-
contrer un modèle à peu près sans défaut a
considéré comme un devoir artistique d'en
conserver l'espèce si rare en le tirant à une
nouvelle édition. Puis satisfait de son œuvre
il a planté là le modèle et soh enfant et s'est
marié.

Une idée néfaste le pousse à eboisir l'Italie,
— patrie de tous les modèles et du sien —
pour nid de ses nouvelles amours. Vous y
êtes maintenant : le modèle délaissé rencon-
trera la jeune épouse, lui fera le récit de ses
malheurs et lui apprendra que son séducteur
n'est autre que l'époux qu'elle chérit. Scènes,
lamentations des deux femmes. Situation inex-
tricable que M. Tierselin à cependant dénouée
en livrant sans pitié l'infortuné modèle qui se
brise la tète en dégringolant de la falaise, et
en faisant adopter l'enfant par l'épouse légi-
time qui lui servira désormais de mère.

Nous ne chicanerons pas le jeune auteur sur
ce scénario démodé, pas plus que sur le lieu
où il a placé l'action de sa pièce. Il y a long-
temps que les jeunes époux ont renoncé aux
voyages en Italie, depuis qu'ils sont certains
d'y trouver beaucoup dIus de vermine que
d'orangers. On perd trop de temps à chercher
et à tuer les puces et les moustiques dans les
exécrables auberges italiennes et il y a une
façon infiniment plus agréable de se gratter
quand on est nouvellement unis.

Nous préférons le féliciter des jolis vers qu'il
nous a fait entendre et du véritable talent
dont sa pièce est la première expression.

Le Voyage de Noces, malgré ses défauts, lui
fait honneur, et permet dès aujourd'hui de la
classer au nombre des auteurs d'avenir.

La pièce est fort bien jouée par M. Pic et M.
Tessandicr, et très bien montée, ce qui ne gâte
rien.

Le Rival pour rire, de M. Grenet-d'Ancourt,
est un lever de rideau lestement conduit et,
spirituellement écrit, très bien rendu aussi
par Mlle Sisos et M. Brémond,

Nouveauté».

M. Brasseur nous a donné celte semaine une
pièce nouvelle en trois actes, la Vtnte à Tata,
de MM. Hennequin et Albert WollT.

De la pièce, il vaut mieux ne rien dire, c'est
franchement mauvais, comme détail et comme
facture.

Il est cependant possible que ce vaudeville
tienne quelque temps l'affiche, mais le succès
d'estime sera de beaucoup moins aux auteurs
qu'aux excellents artistes Brasseur, Berthe-
lier, Joumard, Mines d'IIarcourt, Bode et;Ray-
monde, qui seuls étaient capables d'empêcher
cette farce sans esprit de sombrer.

Qynmaae.

Au gymnase M. Koning exhume toujours,
exhume encore. Après la Joie de la Maison, on
demande un Gouverneur de M. Jaime et De-
courcelles, et Brutus, lâche César de feu
Rosier.

La première de ces deux pièces fut repré-
sentée pour la première fois au Vaudeville en

18S3.

La seconde lui est encore supérieure, comme
ancienneté. Elle vit le feu de la rampe sur la
même scène du Gymnase, en 1849.

Ajoutons quo le Duel de Pierrot, accompa-
gne encore sur l'affiche ces deux antiquités,
ce qui explique leur exhumation.

Nous proposons comme sous-titre a cette
dernière pièce :

Le Duel de Pierrot ou l'assurance contre
le refait.

Mlle'Sarah Rambert vient d'être engagée au
théâtre Bellecourt, à Lyon.

C'est une charmante jeune première, que
les directeurs Parisiens n'auraient pas dû
laisser enlever ainsi.

Deux accrobates de premier ordre, ce sont
ceux qui, chaque soir, font les délices de
l'Harmonie : William et Lmirn H illies. Cette
dernière, charmante petite fille d'une douzaine
d'années, est surtout d'une grâce particulière-
ment enchanteresse.

Jules de L.werdrie.

CHEMINS DE FER DE L'OUEST

La Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest,
désirani. faciliter le retour des stations balnéaires
les plus importantes de la Normandie et remédier
aux encombrements inévitables qui se produisent
dans les gares de départ pour l'expédition et sur-

tout à la gare de Paris-Saint-Lazare pour la
livraison des bagages, mettra en circulation, du
25 août au 5 septembre et du 25 septembre au
5 octobre inclusivement, des trains spéciaux de
retour desservant Courseulles, Bernières, Saint-
Aubin-sur-mer, Langrune. Luc-sur-mer, Trou-
ville, le Havre, Fécamp, Saint-Valery-en-Caux et
Dieppe.

Ces trains seront directs des points de départ
sur Paris et ne prendront ni ne laisseront de
voyageurs en route.

One affiche spéciale indiquera les heures de
départ de ces trains.

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