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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 11.1881

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15 CENTIMES

LE GRELOT

GAZETTE DE MONTRETOUT

Lu chute des (porte) feuilles.

ce roublard de bismarck*

J'ignore quel est l'auteur de l'amusant
pastiche de l'abominable élégie de Millevoye.
Je n'en ai retenu que la première strophe :

De la dépouille de nos lois
Cazot avait jonché la terre,
Ferry rêvait grand ministère
Et ConstaDS était aux abois.
Triste, rêveur comme Pandore
Le' citoyen Farre à pas lents
Parcourait une fois encore
L'hôtel qu'il habita deux am.
Toit que j'aime, adieu, je succombe
Personne ne plaindra mon sort
Et mon portefeuille qui tombe
Est pour moi l'arrêt de ma mort!...

Hélas! hélas! trois hélas! cette maudite
question tunisienne est toujours aussi em-
brouillée que par le passé; pas la moindre
grande victoire à enregistrer. Rochelort jubile,
Louise Michel rayonne, (Jlémençeau est trans1
porté au septième ciel :

— Ah! nous allons en manger du ministre
dans quelque* jours! s'écrient les intransi-
geants. A nous nos bonnes fourchettes de
Tolède.

Tout cela ne rassure que médiocrement
M. ( lambetta qu'on a déjà baptisé « le ministre
malgré lui ».

Les sorcières ont dit à Macbeth ^n'imprimez
pas Mac-Mahon) : Tic seras roi ! « Thou shalt
be kingl » Et il a été roi. Mais si c'était à re-
faire je pense bien que l'ambitieux Thane
aurait préféré conserver son cheval ou sa
flamme icomme on dit au Tintamarre).

Les intransigeants ont dit à Gambetta :

« Tu seras ministre >. — Et il sera ministre.

Ministre 1

Quelle situation, bon Dieu, pour un chré-
tien !

Autant vaudrait pour Gambetta une bonne
condamnation aux travaux forcés.

Vont-ils assez l'agacer, le turlupiner, le
scier, l'user, le démonétiser.
• Et puis dans quelques mois ils s'écriront :
. Gambetta I Une jolie mazette!

Le futur président de la République aurait
fait sagemeat dé refuser mordicus toute espèce
d'insinuation portefeuillesque.

Mais, non. 11 se croit obligé moralement
de se lancer à corps perdu dans la mêlée.

Il est même allé consulter Bismarck pour
lui demander de quel oeil on verrait en Eu-
rope un ministère Gambetta.

— Terleill'e, a répliqué le chancelier prus-
sien, vous êtes l'homme de la situation. Vous
seul saurez gouverner la France avec sagesse.
Les borgnes sont rois dans'le royaume des
aveugles. Va, Léon, tu as ma confiance et ma
bénédiction.

Kcublard de Bismarck l

Lé seul homme d'Etat qu'il ait à craindre
en France était précisément Léon Gambetta.
En l'encourageant à être ministre, l'archi-
chancclier sait bien ce qu'il fait :

— Avant peu, s'est-il dit, 1' « Homme de la
Revanche » sera complètement abruti. Obligé
de combattre les Prussiens de l'intérieur, il
ne songera pas.à revendiquer l'Alsace et la
Lorraine. Bien mieux que cela je vais lui ga-
rantir la neutralité de la Prusse dans tout ce
qui concerne le nord de l'Afrique, ,1e ferai
même semblaat de donner tort à l'Italie. Si
bien que ces excellents gobeurs de Français
continueront à se quereller et à rendre Gam-
betta responsable de tous les événement fâ-
cheux qui pourront survenir.

Bien joué en vérité.

Ce qui m'étonne, c'est que M. Gambetta
n'ait pas vu le piège grossier qui lui est tendu.

Il serait encore témps de renoncer à ce por-
tefeuille de Nessus.

Mais ceux à qui l'on a promis des places et
des' bouts de rubans n'entendent pas de cette
oreille-là. •

Challemel-Lacour, surtout, qui se fait, diau-
tpmenl vieux dans }e pays des brouillard^ et
qui serait on ne peut plus satisfait de trôner
place Beauveau entouré d'une légion de thu-
riféraires. C'est pour le Goup qu'il s'écrirait :
Décorez-moi tous ces gens-là, 1

MONTRETOUT.

Philippe de Grandliou, que ses amis dési-
gnent d'ordinaire sous l'euphonique pseudo-
nyme de M. de Petitelatrine, a pondu l'autre
matin un article qui aurait pu porter pour
titre, ou tout au moins comme épigraphe le
fameux début de couplet:

Les femmes (bis)
Iln'yaqu'ga!

Pour eet aimable écrivain, comme pour
Balzac, toutes les femmes qui méritent réelle-
ment ce nom sont réactionnaires. Aux sou-
tiens du. trône et de l'autel toutes les jolies
femmes. Quant aux hideux radicaux, ils trou-
vent à peine à se partager, entre une demi-
douzaine, quelque h nielle pétroleuse.

t De notre côté, dit-il, nous avons les reines
décapitées , les re)igieusps proscrites , Ujj
«ainlcs, les martyres..... a

J'avoue que cette énumératlon ne me tente
guère. Files sentent la morgue à plein nez,
c>'s dt'uv lignes. Filer le parfait amour avec
une guillotinée, en vérité, pour cela, il faut
avoir soi-même perdu la tète. Grand merci,
M. de Petitelatrine, j'aime mieux les casca-
deuses de Bullier. Files manquent peut-être de
distinction, mais peut-on Je leur reprocher \

C'est leur genre, à elles, de se faire distin-
guer,

X

J.e même M. Philippe, pour lp malheureux
centimes, régalait ses lecteurs des deux para-
graphes suivants :

Je me souviens d'une remarque très fine du
maréchal de Mac-Mahon à ce propos. Il se
rendait à une grande revue à laquelle j'avais
l'honneur de l'accompagner. Nous étions en
calèche découverte, ayant à traverser une
foule immense avant de gagner l'endroit où
étaient massées les troupes, èt des cris divers
s'élevaient sur notre passage.

— Remarquez-vous, me dit le Maréchal, un
trait caractéristique: Chaque fois qu'on crie :
Vive la République! ce sont des hommes ; et
quand on crie : Vive le Maréchal ! ce sont des
femmes...

Ainsi Petitelatrine s'extasie sur l'esprit du
Maréchal qui sait distinguer, dans une foule,
un homme d'une femme, et probablement
reconnaître, à son habit de militaire, un sol-
dat d'un Auvergnat en chapeau national. Le
« quelle finesse ! quelle liuejse '? » qu'a dù
pousser le chroniqueur à cette occasion, me
semble digne de servir de digne pendant au
fameux « que d'eau ! que d'eau! si majestueu-
sement prononcé à la face des Ilots de la
Garonne.

X

►En Algérie et en Tunisie, les choses conti-
nuent à aller de la plus déplorable façon.
Pelletan et Amédée Le Faure nous ont donné,
en dépit de la mauvaise volonté de l'Etat-Ma-
jor, des renseignements circonstanciés sur les
innombrables impairs commis là-bas par nos
généraux et intendants.

Mais, réellement, l'entrefilet suivant du
NouveMste d'Alger, dépasse tout ce que les
plus mal intentionnés des adversaires de la
campagne actuelle auraient pu imaginer :

: Dernièrement pour compléter sa colonne, le
commandant de Géry ville, extrême sud ora-
nais, confin du grand désert, demande un
renfort de cavalerie. Quelques jours plus tard,
il reçoit une compagnie du génie et... un
équipage de ponts !

Un équipage de ponts, dans le Sahara, où
Gribouille lui-même ne trouverait pas de quoi
se mouiller! Allons Farre de Pont Super/lu est
digne de jouir de la même impérissable re-
nommét que l'immortel Ducros du Pont-Trop-
Court.

X

Les journaux cléricaux annoncent béate-
ment à leurs rarissimes lecteurs que :

Dans quelques jours, sera découvert un
nouveau panneau des peintures entrant dans
la décoration d'ensemble du Panthéon.

Ce nouveau panneau est placé à gauche de
l'autel Sainte-Geneviève. Cette fresque servira
de pondant à celle qui a été découverte ré-
cemment, et qui représente le « port de la
châsse à Notre-Dame, par les bourgeois de
Paris, pour .obtenir la cessation des pluies qui
désolaient la ville, en H9G. »

Et dire que ces gens, qui admettent parfai-
tement l'influence de la promenade d'une
châsse sur le niveau d'un pluviomètre se mo -
queraient avec frénésie d'un anthropophage
de l'Afrique centrale portant dévotement,
dans un sachet de peau de bouc, un morceau
d'estomac d'hippopotame femelle arrosé du
sang de caniéléon, pour se garantir des inso-
latiqns 1

X

Nous avions raison, en signalant le premier
proejs de presse intenté depuis la promulga-
tion de la nouvelle loi, de croire à une série.
Voici que maintenant on parle de poursuivre
le Clairon,

Le Clairon, organe ultra-royaliste et catho-
lique, bien que son principal bâilleur de fonds
soit circoncis, est un des journaux que nous
avons le plus répugnance à lire. Cependant
nous ne sommes pas d'avis que la magistra-
ture daigne honorer de ses foudres cette sen ■
fine,

pertes,. ces gens, soi-disant bien élevés,
pensent en hydrocéphales et écrivent dans un
style de goujats. Du moment o(i qnne partage
pas les opinions qu'ils affectent d'avoir, ils
n'hésitent pas un seul instant à vous traiter
de voyous, crapules, soulards et bandits. Mais
je vous le demande un peu. lorsque ces in-
jures s'adressent à un homme d'une aussi
haute honorabilité que M. Grévy, l'atteignent-
elles? Non, n'est-ce pas? Toute cette boue re-
tombe sur le nez des venimeux reptiles nui
ont essayé de l'expectorer trop hauÇ, sans
pouvoir y parvenir, f rapper sur ces êtres,
c'est leur fâire, à la fois, trop d'honneur el
trop de réclame. L'oubli et le mépris qui les
réduiraient pvomplement a la mort bans
phrases, voilà tout ce qu'ils méritent.

X

On télégraphie de Tunis, en date du 21 oc-
tobre :

Dans le dernier engagement qu'ALi-Bey a
eu avec les insurgés, coiiiro,àndés par Ali-ben-
Amar, \i prisonniers ont été faits parla ca-
valerie tunisienne. Aucun renseignement

n'ayant pu être obtenu d'eux sur la position
et le nombre des insurgés, ils ont été envoyés
à Tunis sous l'escorte de cavaliers tunisiens.

Je ne vous cèlerai nullement que si j'avais
l'honneur de faire partie du « Tribunal spé-
cial, » je m'empresserais d'infliger pour toute
punition, à ces insurgés, le grand cordon de
Nicham.

Il est probable qu'on les gratiiiera d'un au-
tre collier, non de soie mais de chanvre. Tant
pis. A notre estime, on pourrait, à la suite
d'un combat furieux, fusiller incontinent tous
les Arabes pris les armes à la main. Mais par-
ce qu'ils se refusent courageusement à aider
leurs ennemis à surprendre et à égorger leurs
frères, les condamner à la suite d'un semblant
de jugement! Non 1 c'est plus de cruauté et
d'hypocrisie qu'on n'en devrait laisser fleurir
à l'ombre du drapeau français ?

X

Le Rappel de lundi annonce que :

« Mlle Hortense Schneider s'est mariée

récemment avec M. de Bionne. i>
La bourde commise par M. de Bronne me

parait de beaucoup l'emporter sur toutes les

autres de la semaine. Aussi l'ai-je gardée pour

la l',n.

* Henry Vau démont.

BALIVERNES

Les relieurs étaient dernièrement en grève,
y sont-ils encore je n'en ?ais rien. Dois-je les
approuver, je l'iguore, dois-je les blâmer, je
lne sais pas.

Avec ça si je me fais faire un procès, on
pourra dire que je n'ai pas de veine.

Voici l'historique de la chose, telle que l'on
me la racontée : L'an dernier les relieurs
avaient déjà demandé une augmentation. Les
patrons roublards avaient dit à leurs ouvriers :
« Ce n'est pas raisonnable ; vous nous assajl-
« lez au moment des étrennes, nous ne pou-
< rons nous réuuir.nous en tendre,al tendez un
« peu, car vous allez nous rendre les affaires
« impossibles au seul bon moment de l'année,
<< et si nous en subissons les conséquences,
« elles retomberont sur vous forcément.

« Patientez quelque temps, et la presse pas-
« sée, nous vous promettons de nous occuper
« de vos intérêts. »

Les ouvriers attendirent, et nouvelle sœur
Anne ne virent rien venir.

Cette fois ils s'y sont pris d'avance, et les
patrons vont être forcés d'en passer par où il
sera nécessaire.

De tout ceci il résulte que les patrons ont
été de mauvais farceurs, et que les ouvriers se
montrent roublards à leur tour : Augmentez-
nous ou buvez le bouillon. Leur adresse con-
siste à avoir su choisir le moment propice.

En général, on trouve que ce n'est pas
bête.

En particulier, moi je trouve que c'est très-
malheureux, et si chaque corps de métier juge
nécessaire de se faire augmenter, je me de-
mande où nous arriverons. Aujourd'hui, ce
sont les relieurs qui demandent une augmen-
tation, demain les libraires seront obligés de
vendre plus cher

Vous vendez plus cher, dira l'imprimeur,
augmentez-moi alors, et ainsi de suite, ce
sera le marchand d'encre, le marchand de
papier, etc.

Les acheteurs payant plus se feront aug-
menter chacun dans leur partie, ce sera natu-
rel.

Quand le maçon se fait augmenter, le pro-
priétaire loue davantage , le locataire lui se
lait augmenter de son côté, de telle sorte que
dan? un certain nombre d'années, un oeuf à la
coque vaudra trois millle francs, et que pour
blanchir une chemise3 il faudra donner des
rouleaux d'or.

En serait-on plus heureux chacun ? j'en
doute fort, il n'en résultera qu'une misère
ahominablc pour los pauvres diables qui n'ont
pas la facilité de se mettre en grève.

Tels les pauvres bougres d'employés de mi-
nistère ou d'administration, dont les appoin-
tements sont restés absolument les mêmes
depuis cinquante ans et bien d'autres gens
encore faisant un métier qui ne peut s'établir
en corporation, et qui par cela reste sans pro-
tection.

Au plus pauyre la besace, comme toujours.

On aura beau dire que l'augmentation de
chaque chose indique la prospérité d'un pays,

trouve que c'est peut-oire ailorun peu loin.

El si chaque gréviste a raison en particu-
lier, je trouve que c'est une calamité au point
d,e vue général.

Comment endiguer ce mal qui fait tache
d'huile r je l'ignore, mais quand il y a des
malins qui se chargent du bonheur de tous,
je pense que les dits malins feraient bien
d'étudier un peu la chose.

Si on réglait une bonne fois le prix do cha-
que chose, de manière à n'y plus revenir, il y
aurait peut-être moyen de yivçe encore; dans
cent ans, mais du tr,yn dont on y va, pour
pouvoir sa permettre 4e ne pas mourir de
ijaim,, il faudra être archi-miUiounairo ou vo-
leur ; si c'est là ou doit nous conduire le
progrès, je demande à revenir en arrière.

René Lebrun.

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