42 Recüeil des Machines
lui auquel la fourchette eh attachée, un petit crochetc'i
Avant p’ïed de biche qui obéit d’un côté, & demeure ferme de
16pp. l’autre, & pousse une des dents du rochet O à chaque
N°. io. vibration. Le crochet en piedde biche & le reste de l’es-
-- sieu sont marqués par des lignes ponftuées , parce que
ces parties sont cachées. Au centre du rochet O est un
pignon qui engrene dans le rouage placé derriere la pla-
Fig. I. que P : si le mouvement est mené par la roue E, c’est;
alors un pignon fixé à son arbre qui engrene dans le rouage ;
mais il faut toujours un balancier pour régler l’horloge.
L’eau de la source est dirigée sur la roue E par lepetit
tuyau Q ; cette eau ne se perd point d’abord , car elle tom-
jbe dans une cuvette demi-ronde, qui emboîte la roue à
sa partie inférieure ; cette cuvette est garnie d*un second
tuyau R , qui- en dirigeant l’eau dans les godets de la se-
conde roue I pose's en sens contraire de ceux de la roue E,
le fait tourner, mais d’un sens contraire à la premiere.
Cette même roue est ausli enfermée dans une cuvette; eile
est garnie de ciievliles , quilèrventà faire mouvoir le mar-
teau , & à le faire frapper sur la cloche autant de coups que
la rouedecompte lui permet; cependant l’eau après avoir
fait mouvoir cesroues se perdparletuyauSsixéàlagrande
cuve où est attachée la cloche.
Le mouvement faitpartir lasonnerie par lemoyen d’une
détente TVX placée derriere la roue des minutes, qui
porte une cheville. Cette détente a austi un pied de re-
tenue XZquiretient la roueZ, àlaquelleest fixéeiaroue
decompte. A cepied de retenue tient une seconde détente
Fig.ïII. y a qUj porte une chevillec, dont l’usage est: de retenir
îa roue de sonnerie. L’on conçoit donc que la roue de
compte qui ess: menée par des roues que la roue de sonnerie
ï fait mouvoir, tend toujours à tourner, & que la cheville
de la rouede minute venant à rencontrer la détente TV,
dégage en même-temps le pied deretenue X Y, qui en s’é-
levant éleve austi le levier Y a ; dont la pointe entre dans
lui auquel la fourchette eh attachée, un petit crochetc'i
Avant p’ïed de biche qui obéit d’un côté, & demeure ferme de
16pp. l’autre, & pousse une des dents du rochet O à chaque
N°. io. vibration. Le crochet en piedde biche & le reste de l’es-
-- sieu sont marqués par des lignes ponftuées , parce que
ces parties sont cachées. Au centre du rochet O est un
pignon qui engrene dans le rouage placé derriere la pla-
Fig. I. que P : si le mouvement est mené par la roue E, c’est;
alors un pignon fixé à son arbre qui engrene dans le rouage ;
mais il faut toujours un balancier pour régler l’horloge.
L’eau de la source est dirigée sur la roue E par lepetit
tuyau Q ; cette eau ne se perd point d’abord , car elle tom-
jbe dans une cuvette demi-ronde, qui emboîte la roue à
sa partie inférieure ; cette cuvette est garnie d*un second
tuyau R , qui- en dirigeant l’eau dans les godets de la se-
conde roue I pose's en sens contraire de ceux de la roue E,
le fait tourner, mais d’un sens contraire à la premiere.
Cette même roue est ausli enfermée dans une cuvette; eile
est garnie de ciievliles , quilèrventà faire mouvoir le mar-
teau , & à le faire frapper sur la cloche autant de coups que
la rouedecompte lui permet; cependant l’eau après avoir
fait mouvoir cesroues se perdparletuyauSsixéàlagrande
cuve où est attachée la cloche.
Le mouvement faitpartir lasonnerie par lemoyen d’une
détente TVX placée derriere la roue des minutes, qui
porte une cheville. Cette détente a austi un pied de re-
tenue XZquiretient la roueZ, àlaquelleest fixéeiaroue
decompte. A cepied de retenue tient une seconde détente
Fig.ïII. y a qUj porte une chevillec, dont l’usage est: de retenir
îa roue de sonnerie. L’on conçoit donc que la roue de
compte qui ess: menée par des roues que la roue de sonnerie
ï fait mouvoir, tend toujours à tourner, & que la cheville
de la rouede minute venant à rencontrer la détente TV,
dégage en même-temps le pied deretenue X Y, qui en s’é-
levant éleve austi le levier Y a ; dont la pointe entre dans