DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1699
DOI Artikel:No. 57
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.30634#0319
APPROUVÉES PAR l’AcADÉMIE, i8p
MMM :MMMMMMMMMMMM)CMMMMMM :MM 16$$.
AUTRE SONOMETRE, —
1 N V E N T È
PAR M. LOULIÉ.
LE desTus de la caisTe ABCD porte dans le milieu de ^ IG* ï»
sa longueur plusieurs chevalets fixés aux extrêmités
d’autantdepetitesplanches mobiies entreles coulissesFG,
EH. Ces petites planches sont au nombre de douze, ôc
marquent les divisionsdes notes de toute l’oôlave, avecles
b mols ôc les diezes. Une corde OQP sert à rendre le son
de ces différentes notes, en le faisant pincer par le saute-
reau Q, dont la touche R est en dedans de la boîte, où
elle est assujettie par le moyen d’une petite bascule a, II faut ^ IG- Ü*
observer que Yut soit placé dire&ement dans le milieu des
deux points fîxes O, P.
Lorsquel’on voudra accorder un instrument, on tirera
à soi la note que l’on veut avoir, en mettant le chevalet sous
la corde ; ôc pour que cette corde touche plus parfaitement
le chevalet5 on pose dessus une équerre. Par exemple , si
l’on veut un ut, on tirera la planche LI, sur laquelle est le
chevalet MN ; on pose l’équerre IZ derriere ce chevalet,
Ôc on pince ensuite la corde par le sautereau Q.
La troisieme figure représente la division exaôle des
notes* donton aura les proportions par l’échelle marquée
dessous,
*
MMM :MMMMMMMMMMMM)CMMMMMM :MM 16$$.
AUTRE SONOMETRE, —
1 N V E N T È
PAR M. LOULIÉ.
LE desTus de la caisTe ABCD porte dans le milieu de ^ IG* ï»
sa longueur plusieurs chevalets fixés aux extrêmités
d’autantdepetitesplanches mobiies entreles coulissesFG,
EH. Ces petites planches sont au nombre de douze, ôc
marquent les divisionsdes notes de toute l’oôlave, avecles
b mols ôc les diezes. Une corde OQP sert à rendre le son
de ces différentes notes, en le faisant pincer par le saute-
reau Q, dont la touche R est en dedans de la boîte, où
elle est assujettie par le moyen d’une petite bascule a, II faut ^ IG- Ü*
observer que Yut soit placé dire&ement dans le milieu des
deux points fîxes O, P.
Lorsquel’on voudra accorder un instrument, on tirera
à soi la note que l’on veut avoir, en mettant le chevalet sous
la corde ; ôc pour que cette corde touche plus parfaitement
le chevalet5 on pose dessus une équerre. Par exemple , si
l’on veut un ut, on tirera la planche LI, sur laquelle est le
chevalet MN ; on pose l’équerre IZ derriere ce chevalet,
Ôc on pince ensuite la corde par le sautereau Q.
La troisieme figure représente la division exaôle des
notes* donton aura les proportions par l’échelle marquée
dessous,
*