DOI Heft:
Recueil des Machines depuis 1666 jusqu'à 1699
DOI Artikel:No. 38 & 39 & 40
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Recueil des Machines.
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MOULIN A PAPIERnjî=-
■N°.C3P.
E T A B L E D. _i£
AB est le palTage du ruisseau destiné à faire marcher pLANCHB
ïa machine; ce courant fait tourner la roue, après avoir i.
levé la vanne C D qui retenoit l’eau. Fig. L
Cette roue ess: supportée par son axe G H sur les bords
de l’auge A B. L’axe GH porte dans l’intérieur du bâtis
une roue moyenne qu’on n a point marquée dans cette fî-
gure, pour dvkei la cuufudon ? mais qui se verra dans les
deuxieme ôc troisieme figures. Cette roue engrene dans
une lanternefixée versL, àTarbrelK, qui porte uneroue
MI fixée à sa partiesupérieure. Cette roue fait tourner la
lanterne N portée par sarbreNO, qui est appuyé sur les
trois coussinets i, 2, 3 , & qui peut tourner librement sur
lui-même : la surface de cet arbre est garnie de plusieurs
mentonnets disposés en spirale, ôc espacés entr’eux à des
distances égales à celles des pilons qui leur répondent ;
de maniere que si l’on imagine un plan vertical qui coupe
tin des pilons par le milieu de son épaisseur, ce plan pro-
longé coupera aussi le cylindre perpendiculairement à son
axe, Ôc rencontrera quatre mentonnetsqui répondent tous
au même pilon, ôc servent par conséquent à l’èlever dans
une même révolution de Parbre,
La roue de chan M communique aussi son mouvement
a la roue T ; cette derniere engrene dans la lanterne V
portée par l’axe d’une meule qui moud le bled dans l’em-
boîturey. Ces différens mouvemens se feront mieux sen-4
tir par la figure suivante.
La roue E étant mise en mouvement par le courant ?
dcs Machincs. ' Tome I, Q
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AB est le palTage du ruisseau destiné à faire marcher pLANCHB
ïa machine; ce courant fait tourner la roue, après avoir i.
levé la vanne C D qui retenoit l’eau. Fig. L
Cette roue ess: supportée par son axe G H sur les bords
de l’auge A B. L’axe GH porte dans l’intérieur du bâtis
une roue moyenne qu’on n a point marquée dans cette fî-
gure, pour dvkei la cuufudon ? mais qui se verra dans les
deuxieme ôc troisieme figures. Cette roue engrene dans
une lanternefixée versL, àTarbrelK, qui porte uneroue
MI fixée à sa partiesupérieure. Cette roue fait tourner la
lanterne N portée par sarbreNO, qui est appuyé sur les
trois coussinets i, 2, 3 , & qui peut tourner librement sur
lui-même : la surface de cet arbre est garnie de plusieurs
mentonnets disposés en spirale, ôc espacés entr’eux à des
distances égales à celles des pilons qui leur répondent ;
de maniere que si l’on imagine un plan vertical qui coupe
tin des pilons par le milieu de son épaisseur, ce plan pro-
longé coupera aussi le cylindre perpendiculairement à son
axe, Ôc rencontrera quatre mentonnetsqui répondent tous
au même pilon, ôc servent par conséquent à l’èlever dans
une même révolution de Parbre,
La roue de chan M communique aussi son mouvement
a la roue T ; cette derniere engrene dans la lanterne V
portée par l’axe d’une meule qui moud le bled dans l’em-
boîturey. Ces différens mouvemens se feront mieux sen-4
tir par la figure suivante.
La roue E étant mise en mouvement par le courant ?
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