APPROUVÉES PÀÏt l’AcADÉMIE, lop
M AC H I N E 5%
& 33.
POUR -
SCIER DES PIERRES.
AB, CD, sont deux chassîs d’afîemblage de figure Planchb
quarre'e, liés par les traverses EF, G H. L’on attache I.
à ces traverses antant ssc tanes de fer que l’on y veut f IG> h
îtppliquer de scies5 comme 1 , 2, 3 9 4 9 $ 9 6, Ces scies
deîcendent par leurs poids le long des barres, à mesure
qu’elles fendent la pierre. Elles embrassent ces barres par
deux mains de fer, telles que I K. II y a dans chacun de
ces chassis deux pieces de bois en L , M , & en N , O 5
assemblées à équerre avec les pieces de niveau ; ces chas-
sis sont entre des roulettes de cuivre P P , & posent sur
des coulissesRR. -
Au miiieu des chassis ess un arbre ST tournantsur son
axe par le moyen d 5une lanterne fixée à l’extrêmité T ,
dans laquelie la roueV engrene7 &: qu’elle fait tourner.
Ce même arbre porte autant de triangles de bois comme
X, qu’il y a de chassis; ils sont construits de deux trian-
gles semblables joints les uns sur les autres par de petites
traverses , de façon que dans sintervalle que ces triangles
laissent entr’eux après ieurs assemblages, on puisse prati-
quer à chaque angle une rouletteZ, quiserve à diminuer
le frottement du sommet du triangle contre les menton-
nets du chassis LM, M O.
L’on fait travailler cette machine en attelant un che-
val au levier appliqué à sarbre de la roue V, ce que i’on
verra dans la planche suivante. Cette roue qui engrene
dans ia lunette la fait tourner nécessairement, ensemble
M AC H I N E 5%
& 33.
POUR -
SCIER DES PIERRES.
AB, CD, sont deux chassîs d’afîemblage de figure Planchb
quarre'e, liés par les traverses EF, G H. L’on attache I.
à ces traverses antant ssc tanes de fer que l’on y veut f IG> h
îtppliquer de scies5 comme 1 , 2, 3 9 4 9 $ 9 6, Ces scies
deîcendent par leurs poids le long des barres, à mesure
qu’elles fendent la pierre. Elles embrassent ces barres par
deux mains de fer, telles que I K. II y a dans chacun de
ces chassis deux pieces de bois en L , M , & en N , O 5
assemblées à équerre avec les pieces de niveau ; ces chas-
sis sont entre des roulettes de cuivre P P , & posent sur
des coulissesRR. -
Au miiieu des chassis ess un arbre ST tournantsur son
axe par le moyen d 5une lanterne fixée à l’extrêmité T ,
dans laquelie la roueV engrene7 &: qu’elle fait tourner.
Ce même arbre porte autant de triangles de bois comme
X, qu’il y a de chassis; ils sont construits de deux trian-
gles semblables joints les uns sur les autres par de petites
traverses , de façon que dans sintervalle que ces triangles
laissent entr’eux après ieurs assemblages, on puisse prati-
quer à chaque angle une rouletteZ, quiserve à diminuer
le frottement du sommet du triangle contre les menton-
nets du chassis LM, M O.
L’on fait travailler cette machine en attelant un che-
val au levier appliqué à sarbre de la roue V, ce que i’on
verra dans la planche suivante. Cette roue qui engrene
dans ia lunette la fait tourner nécessairement, ensemble