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Institut Français d'Archéologie Orientale <al-Qāhira> [Hrsg.]; Mission Archéologique Française <al-Qāhira> [Hrsg.]
Recueil de travaux relatifs à la philologie et à l'archéologie égyptiennes et assyriennes: pour servir de bullletin à la Mission Française du Caire — 27.1905

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Nr. 3-4
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Daressy, Georges: Hymne à Khnoum du temple d'Esnéh, [2]
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Baillet, Auguste Théophile: Les noms de l'esclave en égyptien, [2]
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https://doi.org/10.11588/diglit.12682#0200

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LES NOMS DE I/ESCLAVE EN ÉGYPTIEN

198

(L. 1) Latopolis, temple de Khnoum, colonne d'air, grand palais de....., demeure

d'union d'Uazit, asile de Thot(?), — station du bélier qui fait prospérer, sanctuaire
de celle qui donne l'existence, — reposoir du dispensateur du repos, temple où en-
gendra Pengendreur. — Territoire où vit le prince dans son domaine, pré fleuri du
maître des rivages; — ne s'en éloigne pas Nouït avec le Rayonnant d'or; il res-
semble à une place fraîche avec le Bélier ardent.

(L. 2) Demeure des jumeaux....., place (pour réjouir) le cœur de Shu et Tefnut, —

copie de leur chambre natale (?) dans le Champ (Latopolis), lieu de réunion pour
acclamer le nouveau-né; — il devient jeune homme en son intérieur, les faces sont
joyeuses en vue du lieu de ses splendeurs. — Grande maison de Menhit, salle du
brasier de Nubuut, double demeure de la régente des dieux, — son image est l'ho-
rizon avec Horus, le taureau fort; son aspect est celui du ciel avec An acclamant Râ.

LES NOMS DE L'ESCLAVE EN ÉGYPTIEN

l'A II

Jules Baillet
À i i i

La même diversité de conditions qu'entre chemsou se constate entre les individus
portant ce titre de honou.

On a connu tout d'abord par l'inscription de Rosette les ^^j- non Pas 'es plus
vils serviteurs des temples, mais, au contraire, les prêtres de premier rang, que les
Grecs nommaient «po^iu, mot transposé par les traducteurs dans les langues modernes.
Puis on a vu les prisonniers d'Ahmès et de Thotmès aussi nommés |^j. Étaient-ce
des prêtres étrangers emmenés en captivité? On a vite renoncé à cette hypothèse non
confirmée de Birch', pour adopter celle de Rougé rattachant le mot à 8 jj çtaxt
((commander», avec un sens actif dans , désignation du roi ou des dieux", et

1. Birch, On the Stalistical Tablet, p. 28.

& Par exemple, 0 ' ^ la Majesté d'Apis. Stèle du Sérapéum, an 30 de Ramsès II (Devkria, Bak-

enkhanaQU, n. 70, Bibl. cjy/jt., IV, p. 323). — Birch et Chabas expliquaient y par « l'esclavage du roi »,
c est-à-dire «l'esclavage imposé parle roi» [Bibl. cr/ypt., IX, p. 34, n. 10).

recueil, xxvii. — nouv. skr., xi. 25
 
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