a propos dp] la grammaire egyptienne de m. erman
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50. : 1° signe-mot = un collier du nom de Awv^Jjf ( ^, sarcoph. de (le petit
sarcoph.), Paris, Louvre, côté 3, 1er registre, n° 6;
2° signe phonétique : nb, employé presque uniquement dans les termes
dérivés du mot or (il y avait, en effet, deux autres signes pour la
valeur nb, ^Z7 et |^>) ;
3° déterminatif des métaux précieux,
V
8. ^ doit se lire g et non gb. Cf. ^ [1 ,-2-,^® W. 448 (308/) = S p^n^CS
T. 260 (312f); cf. Griffith, A Collection of hieroglyphs, p. 48). Est-ce un signe
homophone de S, ou hien a-t-il une valeur voisine mais différente? En tout cas, il
sort de l'usage de bonne heure.
29. °Wfa> est une attache pour retenir plusieurs animaux : on liait la patte de chaque
bête dans une des boucles. Voir Newberry, Proceedings, XII, p. 65. Cf. Lepsius,
Denkmàler, II, 96.
W
1 « godet de scribe » (Lacau, Sarcophages, index),
,u j
1;
2° mhrt « vase à parfum », l'objet ;
3° wrh, «parfumer, oindre», son action.
4. |, c'est un vase nommé | Lacau, Sarcophages, index.
5. ^, c'est un vase nommé zij jj^ ibid.
21. S, lire wdpw, W. 184 (124 6), W. 175 (120 b).
31. VJ. Quatre vases de noms différents : 1° _a;
1. Il faut distinguer : 1° n
deven
3° \ W54a, 55 a;
4° (_oj Lacau, Sarcophages, index,
« godet de scribe ».
Ce dernier vase prend ensuite la valeur__aj| et sert à écrire la racine llb
quand celle-ci a perdu son Les formes des quatre vases (à préciser) étaient sans
doute voisines et se sont confondues.
On voit que les questions qui se posent à nous dès maintenant sont nombreuses.
Mais je prie le lecteur de bien vouloir remarquer que dans cet examen rapide je n'ai
pas eu à parler de tout ce qui me semble indiscutable, c'est-à-dire du fond même du livre.
Dans leur ensemble, les théories que nous devons à M. Erman sur la nature de la langue
égyptienne et sur sa structure grammaticale me paraissent définitivement acquises1.
1. Supprimer la remarque concernant le § 218. Il faut bien lire \ht et non \htj, car le verbe qui suit est
au féminin. J'ai eu le tort de ne pas me reporter au contexte.
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50. : 1° signe-mot = un collier du nom de Awv^Jjf ( ^, sarcoph. de (le petit
sarcoph.), Paris, Louvre, côté 3, 1er registre, n° 6;
2° signe phonétique : nb, employé presque uniquement dans les termes
dérivés du mot or (il y avait, en effet, deux autres signes pour la
valeur nb, ^Z7 et |^>) ;
3° déterminatif des métaux précieux,
V
8. ^ doit se lire g et non gb. Cf. ^ [1 ,-2-,^® W. 448 (308/) = S p^n^CS
T. 260 (312f); cf. Griffith, A Collection of hieroglyphs, p. 48). Est-ce un signe
homophone de S, ou hien a-t-il une valeur voisine mais différente? En tout cas, il
sort de l'usage de bonne heure.
29. °Wfa> est une attache pour retenir plusieurs animaux : on liait la patte de chaque
bête dans une des boucles. Voir Newberry, Proceedings, XII, p. 65. Cf. Lepsius,
Denkmàler, II, 96.
W
1 « godet de scribe » (Lacau, Sarcophages, index),
,u j
1;
2° mhrt « vase à parfum », l'objet ;
3° wrh, «parfumer, oindre», son action.
4. |, c'est un vase nommé | Lacau, Sarcophages, index.
5. ^, c'est un vase nommé zij jj^ ibid.
21. S, lire wdpw, W. 184 (124 6), W. 175 (120 b).
31. VJ. Quatre vases de noms différents : 1° _a;
1. Il faut distinguer : 1° n
deven
3° \ W54a, 55 a;
4° (_oj Lacau, Sarcophages, index,
« godet de scribe ».
Ce dernier vase prend ensuite la valeur__aj| et sert à écrire la racine llb
quand celle-ci a perdu son Les formes des quatre vases (à préciser) étaient sans
doute voisines et se sont confondues.
On voit que les questions qui se posent à nous dès maintenant sont nombreuses.
Mais je prie le lecteur de bien vouloir remarquer que dans cet examen rapide je n'ai
pas eu à parler de tout ce qui me semble indiscutable, c'est-à-dire du fond même du livre.
Dans leur ensemble, les théories que nous devons à M. Erman sur la nature de la langue
égyptienne et sur sa structure grammaticale me paraissent définitivement acquises1.
1. Supprimer la remarque concernant le § 218. Il faut bien lire \ht et non \htj, car le verbe qui suit est
au féminin. J'ai eu le tort de ne pas me reporter au contexte.