DOI Heft:
Discours de M. jean Guiffrey, président de la Société
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.19274#0094
— 82 —
— Il est procédé à l’élection de six membres du Comité
directeur.
— Sont élus à l’unanimité, par cinquante-quatre voix :
MM. Gaston Brière,
André Fontaine,
Paul Ratouis de Limay,
Henri Stein, membres rééligibles,
Maurice Fenaille,
Hector Lefuel.
Discours de M. Jean Guiffrey,
PRÉSIDENT DE LA SOCIÉTÉ.
Mesdames, Messieurs,
Il y a un an, la Société de l’Histoire de l’Art français
me faisait l’honneur de me désigner pour présider ses
séances. Au moment de quitter ce fauteuil, je tiens à vous
exprimer ma gratitude pour votre zèle et votre assiduité
à nos séances, qui ont si heureusement facilité ma mis-
sion. L’attention que vous avez donnée aux communica-
tions qui vous étaient faites ne s’est pas ralentie un seul
jour, et nous sommes heureux de constater le concours
de plus en plus sympathique que vous apportez à la vie
de notre Société dans toutes ses manifestations.
Aussi bien les communications que vous avez enten-
dues sont-elles de nature à intéresser une réunion comme
la vôtre, constituée pour étudier sous tous ses aspects
notre art national. On vient ici vous révéler les résultats
de recherches patientes ou d’heureuses rencontres et on
éprouve quelque satisfaction à se remémorer les causeries
et les lectures qui vous ont été faites. Permettez-moi, en
attendant que vous receviez les comptes-rendus de nos
séances dans de prochains bulletins, d’évoquer rapide-
ment le souvenir de ces communications.
Vous n’avez certainement pas oublié cette élégante cau-
serie dans laquelle notre vénéré maître M. Henry Lemon-
nier a retracé avec précision, sans l’aide même d’une note,
— Il est procédé à l’élection de six membres du Comité
directeur.
— Sont élus à l’unanimité, par cinquante-quatre voix :
MM. Gaston Brière,
André Fontaine,
Paul Ratouis de Limay,
Henri Stein, membres rééligibles,
Maurice Fenaille,
Hector Lefuel.
Discours de M. Jean Guiffrey,
PRÉSIDENT DE LA SOCIÉTÉ.
Mesdames, Messieurs,
Il y a un an, la Société de l’Histoire de l’Art français
me faisait l’honneur de me désigner pour présider ses
séances. Au moment de quitter ce fauteuil, je tiens à vous
exprimer ma gratitude pour votre zèle et votre assiduité
à nos séances, qui ont si heureusement facilité ma mis-
sion. L’attention que vous avez donnée aux communica-
tions qui vous étaient faites ne s’est pas ralentie un seul
jour, et nous sommes heureux de constater le concours
de plus en plus sympathique que vous apportez à la vie
de notre Société dans toutes ses manifestations.
Aussi bien les communications que vous avez enten-
dues sont-elles de nature à intéresser une réunion comme
la vôtre, constituée pour étudier sous tous ses aspects
notre art national. On vient ici vous révéler les résultats
de recherches patientes ou d’heureuses rencontres et on
éprouve quelque satisfaction à se remémorer les causeries
et les lectures qui vous ont été faites. Permettez-moi, en
attendant que vous receviez les comptes-rendus de nos
séances dans de prochains bulletins, d’évoquer rapide-
ment le souvenir de ces communications.
Vous n’avez certainement pas oublié cette élégante cau-
serie dans laquelle notre vénéré maître M. Henry Lemon-
nier a retracé avec précision, sans l’aide même d’une note,