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originaire. La forme du nom d’Anaïtis dans le langage touranien de la Médie,
Nahidda-nada ou Nakhidda-noda se rattache, en effet, philologiquement à Nakhunta
plutôt qu’à l’Anat sémitique.
(La suite au prochain numéro.)
François LENORMANT.
La peinture murale antique dont nous plaçons ici le dessin a été
déjà signalée dans la Gazette des Beaux-Arts (i) en 1866, époque où
elle avait été placée à l’Exposition rétrospective des Champs-Elysées
par M. Delange. Nous ignorons dans quelle collection particulière
elle a passé depuis. L’antiquité en est incontestable, mais la prove-
nance inconnue. On sait seulement que c’est à Naples que M. Delange
l’avait acquise de Raffaële Barone.
(1) lre série, t. XX, p. 232; voy. encore Chefs-d’œuvre de l’art antique, 2e série, t. I, p. 74.
originaire. La forme du nom d’Anaïtis dans le langage touranien de la Médie,
Nahidda-nada ou Nakhidda-noda se rattache, en effet, philologiquement à Nakhunta
plutôt qu’à l’Anat sémitique.
(La suite au prochain numéro.)
François LENORMANT.
La peinture murale antique dont nous plaçons ici le dessin a été
déjà signalée dans la Gazette des Beaux-Arts (i) en 1866, époque où
elle avait été placée à l’Exposition rétrospective des Champs-Elysées
par M. Delange. Nous ignorons dans quelle collection particulière
elle a passé depuis. L’antiquité en est incontestable, mais la prove-
nance inconnue. On sait seulement que c’est à Naples que M. Delange
l’avait acquise de Raffaële Barone.
(1) lre série, t. XX, p. 232; voy. encore Chefs-d’œuvre de l’art antique, 2e série, t. I, p. 74.