Revue archéologique (Ser. 3: 15.1890)

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communique avec un cylindre de buis (πυξίς) mnop, ouvert en
bas et bien arrondi à l'intérieur de façon à recevoir un piston
(έμβολεύς) qr, lequel empêche l'air d'y entrer.
« A ce piston est attachée une tige (κανών) très solide st, avec
laquelle une autre tige tu communique au moyen d'une clavette
(περόνη) t. Cette seconde tige bascule sur une autre tige droite vx
établie solidement sur le sol.
« Par le sommet du cylindre mnop est introduit un cylindre
plus petit (πυξιδίον) qui a une ouverture correspondant à celle du
grand cylindre et est fermé à sa partie supérieure, laquelle est
percée d'un trou (τρύπημα) par lequel l'air entre dans le grand
cylindre. Sous le trou est une petite peau ou lamelle (λεπίδων) qui
le bouche et qui est retenue par des clous (περόνιον) à tête, passant
dans des petits trous afin que la petite peau ou lamelle ne se
détache pas. Cette lamelle se nomme platysmation (πλατυσμάτων,
petite lame).


« Le second tuyau y% qui part du pnigeus communique par
une ouverture avec un autre tuyau horizontal1 F dans lequel sont

1. Voir les figures 5 et 6.