DOI Artikel:
Bouriant, Urbain: Fragments de manuscrits thébains du musée de Boulaq, [2]
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.11331#0160
154
Fragments de manuscrits thébains.
£m npevR à\.neio>t avr nujHpe .svn ne imev GTOirevevÊ. rtc-trott- evCAUCG noTtyiipe rçoo-ft evCMOiTTG
cpoq scg ïicvç^pooTT. ixcdcg iineTOTrA.evû Revc 22.c iuctgitg grroittg RTevqTevA<yo. evcnooT grgchi
gcavOOujg gc-^goot- .sVrrottg gcéouj e£>oA îx_g mu rotttg ïicev rrotttg RRG^çpRCTievROe iirotftg Revues.
n*.çpooTT. cn.iî*to neqcïpe ROjiRO<r jWo.w. qav rgujtgro epe hrotttg ujoon HA\..M.evq çr çcoli rij,v. rgitêhr
ujevpoq ho'i ottor tiuv gt.m.or£ r&g'AA.g a\.r RtrevA-G ,m.r n.wno „m.r rgto R2v_eviAV.CûRion. mcm ujevqujA.KA
escojo^ ec$2£6> ,m.av.oc :xlg rtor evRscooc nGirevr^GA-ioR gtott^aê 2£.e ojs-m.hr çcs.mhr •^•stcoA^oc
iihtii 2te OTOn ïiim. gtiuctgitg epoi esirco GToevpG*^ 6nevUjev2£.G rgçjêhttg GTGïpG Ày.VyOOU" RTOq o^owq
qRevevevT- evirco qncvpoo'vo epooT evirto RqTeuWo rotor nm. evCujtonG fx.6 RTGpc iipomc grrotr.
ev.q2c.1ce RTeqcMH evq'tyevAA.GJ Gqscto Aj»\.oc 2cg RevRevï tirottg 2s.g ôvTô.^t^h RevÇTHC epOR evi'o^A-Ri^G
Ojîv ^evï'ÊGC RRGRTRQ_ UjevRTG TiN.evROJ.Viev CevevT. ÇJl TRCvUje 2v.G OR RTGTUJH evq\pevAÀ6I Gq2£_(0 à.SVOC
3£ e ÊRUjevROTCOR RevCROTOV TCvTevRpO RevSCCO AUX GR cm. 015*. GRG UjevÏTCOOTTR ÇJl TRevUJG RTGTTUJH èoTCORO^
6ê0<V RRUjev2C.e RTGR^y-IRevIOCTRH. <\Tfa) 2CG j>\.evpG HevUjAnA COOTTR ïWg ROTTUJOTTOJÏRG G^GÏ RHCvCISC.
eç^pevï R-OG ROT^TPCJev JK.Vmev'B* RpOirO_G. R2C0GIC RW ROTrÇjJvpGO^ Ç_ipGH pOJI JnVR GqTevSS.pHT OSpR
rtevCROTOT. Revï RG RGqGÏpG AvAV-oott UJCv OJTOOTTG GqOjM.ÏIHTe GITROTTG ....
«. . . . tu guériras cette femme, elle retournera à sa maison et toute cette foule saura
» qu'il n'y a point de dieu au ciel ni sur la terre, excepté toi et ton bon père et l'esprit saint.»
Et il la scella (baptisa) au nom du père, du fils et du saint esprit, et aussitôt elle mit au
monde un enfant mâle qu'elle appela Nahroou. Le saint lui dit : «Crois en Dieu qui t'a guérie.»
Elle courut à sa maison, et, tandis qu'elle marchait, elle glorifiait Dieu, s'écriant : «Il n'y a
» point de Dieu, excepté le dieu des chrétiens, le dieu de l'Apa Nahroou.» Et il accomplit
de grands miracles dans la prison, car Dieu était avec lui en toutes choses. Tous les affligés,
les aveugles, les boiteux, les muets, les possédés du démon, venaient vers lui, et il priait pour
eux, disant : «Toi qui as dit dans le saint évangile : En vérité, en vérité je vous le dis :
«Celui qui croit en moi et qui garde ma parole, tout ce qu'il entreprendra, il l'accomplira et
» fera plus encore. » Et il les guérissait tous. Et il arriva quand cet homme fut sur le point
de mourir, il éleva la voix et chanta, disant : «Aie pitié de moi, mon Dieu, car mon âme
»met sa confiance en toi, j'ai espéré à l'ombre de tes ailes jusqu'à ce que mon iniquité ait
» disparu. » Au milieu de la nuit donc, il chanta, disant : « Si tu ouvres mes lèvres, ma bouche
»dira tes louanges; si je me lève au milieu de la nuit, pour rendre manifestes les paroles
» de ta justice que ma prière est comme un encens montant de mes mains comme un sacrifice
» à l'heure du soir. Dieu place une garde autour de ma bouche, et il fortifie mes lèvres. » C'est
là ce qu'il fit jusqu'au matin, où il alla dans les deux près de Dieu......
5° Martyre de St Georges.
Ce manuscrit est dans un état déplorable. La plupart des lettres sont à peine visibles
et les déchirures abondent. L'écriture primitive était très régulière et assez belle.
1° feuille. Recto, nese c nppo 2v.g .svev^RGRî^ioc Revq. dcg nescOR .M.evpeR^' Revq RT6qévno(pevCic
4poq. evirco htcttrott esqcçjM RTeqevnoqievCic. rtgiqg. 2tG "ncevQjti jv\.Jw.-5*CTHpiOR RR^evA.iA.evioc
Fragments de manuscrits thébains.
£m npevR à\.neio>t avr nujHpe .svn ne imev GTOirevevÊ. rtc-trott- evCAUCG noTtyiipe rçoo-ft evCMOiTTG
cpoq scg ïicvç^pooTT. ixcdcg iineTOTrA.evû Revc 22.c iuctgitg grroittg RTevqTevA<yo. evcnooT grgchi
gcavOOujg gc-^goot- .sVrrottg gcéouj e£>oA îx_g mu rotttg ïicev rrotttg RRG^çpRCTievROe iirotftg Revues.
n*.çpooTT. cn.iî*to neqcïpe ROjiRO<r jWo.w. qav rgujtgro epe hrotttg ujoon HA\..M.evq çr çcoli rij,v. rgitêhr
ujevpoq ho'i ottor tiuv gt.m.or£ r&g'AA.g a\.r RtrevA-G ,m.r n.wno „m.r rgto R2v_eviAV.CûRion. mcm ujevqujA.KA
escojo^ ec$2£6> ,m.av.oc :xlg rtor evRscooc nGirevr^GA-ioR gtott^aê 2£.e ojs-m.hr çcs.mhr •^•stcoA^oc
iihtii 2te OTOn ïiim. gtiuctgitg epoi esirco GToevpG*^ 6nevUjev2£.G rgçjêhttg GTGïpG Ày.VyOOU" RTOq o^owq
qRevevevT- evirco qncvpoo'vo epooT evirto RqTeuWo rotor nm. evCujtonG fx.6 RTGpc iipomc grrotr.
ev.q2c.1ce RTeqcMH evq'tyevAA.GJ Gqscto Aj»\.oc 2cg RevRevï tirottg 2s.g ôvTô.^t^h RevÇTHC epOR evi'o^A-Ri^G
Ojîv ^evï'ÊGC RRGRTRQ_ UjevRTG TiN.evROJ.Viev CevevT. ÇJl TRCvUje 2v.G OR RTGTUJH evq\pevAÀ6I Gq2£_(0 à.SVOC
3£ e ÊRUjevROTCOR RevCROTOV TCvTevRpO RevSCCO AUX GR cm. 015*. GRG UjevÏTCOOTTR ÇJl TRevUJG RTGTTUJH èoTCORO^
6ê0<V RRUjev2C.e RTGR^y-IRevIOCTRH. <\Tfa) 2CG j>\.evpG HevUjAnA COOTTR ïWg ROTTUJOTTOJÏRG G^GÏ RHCvCISC.
eç^pevï R-OG ROT^TPCJev JK.Vmev'B* RpOirO_G. R2C0GIC RW ROTrÇjJvpGO^ Ç_ipGH pOJI JnVR GqTevSS.pHT OSpR
rtevCROTOT. Revï RG RGqGÏpG AvAV-oott UJCv OJTOOTTG GqOjM.ÏIHTe GITROTTG ....
«. . . . tu guériras cette femme, elle retournera à sa maison et toute cette foule saura
» qu'il n'y a point de dieu au ciel ni sur la terre, excepté toi et ton bon père et l'esprit saint.»
Et il la scella (baptisa) au nom du père, du fils et du saint esprit, et aussitôt elle mit au
monde un enfant mâle qu'elle appela Nahroou. Le saint lui dit : «Crois en Dieu qui t'a guérie.»
Elle courut à sa maison, et, tandis qu'elle marchait, elle glorifiait Dieu, s'écriant : «Il n'y a
» point de Dieu, excepté le dieu des chrétiens, le dieu de l'Apa Nahroou.» Et il accomplit
de grands miracles dans la prison, car Dieu était avec lui en toutes choses. Tous les affligés,
les aveugles, les boiteux, les muets, les possédés du démon, venaient vers lui, et il priait pour
eux, disant : «Toi qui as dit dans le saint évangile : En vérité, en vérité je vous le dis :
«Celui qui croit en moi et qui garde ma parole, tout ce qu'il entreprendra, il l'accomplira et
» fera plus encore. » Et il les guérissait tous. Et il arriva quand cet homme fut sur le point
de mourir, il éleva la voix et chanta, disant : «Aie pitié de moi, mon Dieu, car mon âme
»met sa confiance en toi, j'ai espéré à l'ombre de tes ailes jusqu'à ce que mon iniquité ait
» disparu. » Au milieu de la nuit donc, il chanta, disant : « Si tu ouvres mes lèvres, ma bouche
»dira tes louanges; si je me lève au milieu de la nuit, pour rendre manifestes les paroles
» de ta justice que ma prière est comme un encens montant de mes mains comme un sacrifice
» à l'heure du soir. Dieu place une garde autour de ma bouche, et il fortifie mes lèvres. » C'est
là ce qu'il fit jusqu'au matin, où il alla dans les deux près de Dieu......
5° Martyre de St Georges.
Ce manuscrit est dans un état déplorable. La plupart des lettres sont à peine visibles
et les déchirures abondent. L'écriture primitive était très régulière et assez belle.
1° feuille. Recto, nese c nppo 2v.g .svev^RGRî^ioc Revq. dcg nescOR .M.evpeR^' Revq RT6qévno(pevCic
4poq. evirco htcttrott esqcçjM RTeqevnoqievCic. rtgiqg. 2tG "ncevQjti jv\.Jw.-5*CTHpiOR RR^evA.iA.evioc