Le poème de Pentaoue.
21
hat-f en pik - seyer er nefer en panti Hier àp-k
qui repousse ton dessein, il est bon à celui qui te juge,
K. 26.
m
i
àmen ka2 àr-tu nek em àb merer(-iu)3 âs - ài
ô Ammon! D'après ce qui est fait pour toi dans le cœur de ceux qui t'aiment. Je
nek àtef-â àmen âu-à em heri tes-tu âSu ân ' re%-â
t'invoque, mon père Ammon, je suis au milieu donations nombreuses; je ne connais pas
sen tes-tu neb temet-sen er-à âu-à ua-kuà^ her-àe ân
elles : les nations toutes (sont) ensemble contre moi. Je suis seul moi de ma personne : pas
mauvaise part, comme ici malheureux. Ainsi au Pap. Ehind (Brugsch, n° 340) Serait correspond au démotique
he/ca, pauper, cf. £hb.6. (J. E.) Le papyrus donne la variante <—>q"(^ \ ^^y*' er $ePuau '■ si ce^a n'est
pas une faute du scribe, on pourrait rapprocher sepuau de ujine, turpitude.
1 dp «juger, estimer». Cf. con, judicare, reputàre. Le papyrus donne ^ [j ^ »4î> qui est la forme
causative.
2 Ka, particule, v. ci-dessus, Louqsor, 1. 30. Le papyrus met o"^^ ta qui est fautif.
3 La construction de cette phrase est difficile. La traduction de 1870 coupe autrement : «Bdnheur à
qui te connaît! Car tes actes sont produits par un cœur plein d'amour!»
4 as «invoquer». Cf. touj, dicere, invocare.
5 uâ. Le papyrus ajoute au mot uâ «seul», le détermiuatif des idées funestes, "^s>, à cause de
l'idée de solitude, prise ici en mauvaise part.
0 her-â. Cf. copte çoi «de ma personne».
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hat-f en pik - seyer er nefer en panti Hier àp-k
qui repousse ton dessein, il est bon à celui qui te juge,
K. 26.
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i
àmen ka2 àr-tu nek em àb merer(-iu)3 âs - ài
ô Ammon! D'après ce qui est fait pour toi dans le cœur de ceux qui t'aiment. Je
nek àtef-â àmen âu-à em heri tes-tu âSu ân ' re%-â
t'invoque, mon père Ammon, je suis au milieu donations nombreuses; je ne connais pas
sen tes-tu neb temet-sen er-à âu-à ua-kuà^ her-àe ân
elles : les nations toutes (sont) ensemble contre moi. Je suis seul moi de ma personne : pas
mauvaise part, comme ici malheureux. Ainsi au Pap. Ehind (Brugsch, n° 340) Serait correspond au démotique
he/ca, pauper, cf. £hb.6. (J. E.) Le papyrus donne la variante <—>q"(^ \ ^^y*' er $ePuau '■ si ce^a n'est
pas une faute du scribe, on pourrait rapprocher sepuau de ujine, turpitude.
1 dp «juger, estimer». Cf. con, judicare, reputàre. Le papyrus donne ^ [j ^ »4î> qui est la forme
causative.
2 Ka, particule, v. ci-dessus, Louqsor, 1. 30. Le papyrus met o"^^ ta qui est fautif.
3 La construction de cette phrase est difficile. La traduction de 1870 coupe autrement : «Bdnheur à
qui te connaît! Car tes actes sont produits par un cœur plein d'amour!»
4 as «invoquer». Cf. touj, dicere, invocare.
5 uâ. Le papyrus ajoute au mot uâ «seul», le détermiuatif des idées funestes, "^s>, à cause de
l'idée de solitude, prise ici en mauvaise part.
0 her-â. Cf. copte çoi «de ma personne».