22
J. DE ROUGÉ.
p. s.m,3. H1^,?,^M!
L. 31.
K. 26.
p. s. ni, 2.
L. 31.
K. 27.
P. S. III, 3.
L. 31.
K. 27.
i 27
■g I
M 7mâ-a «w /aâ-M joiVt menjiu àëu bu nu,
un autre avec moi. Ont abandonné (moi) mes soldats nombreux : pas regarde
en ua er-a
em tai-à nte hetâr un-nâ lier sekabu2
un seul vers moi de mes cavaliers, étant moi à appeler
; I _J_rV^ï l I I I I c_l I—S . J ^T-iî /www I
I I I
1»
en sen bu sotem - à ua àm - sen âu-â (lier) ⧠(en-sen)3
vers eux; pas écouté moi un seul d'entre eux (quand) je appelais (à eux).
p. s. ni, 3. a§
V&ii I i AS gl I l
Kam-nà yu* - nà âmen er lieli en menjiu er Iiofennu
Je trouve valoir pour moi Ammon plus que des millions de soldats, plus que des centaines de
mille
1 /aa-u. Cf. 'X^0! derelinquere. TJ, pronom personnel. Cf. Abrégé grammatical, n° 173.
à.
2 Sékabu «crier, appeler» : c'est la forme transitive de Q§> a&ei «appeler». (V. Prisse, XXI,
25.) Les chefs â'Àkàiat, quand le roi leur a promis de l'eau sur leur route, se prosternent devant lui :
^ ' S v> SA nWÊ « en criant jusqu'au plus haut du ciel ». De même dans la stèle d'Horus à
Il J Jl 2il <=> h %MF==^ n n n —»— Q o
Turin : «Les habitants étaient dans la joie, 1/3 C\ \ <czr> leurs cris (montaient) jusqu'au ciel».
I Ji i I i F=i
3 «Mes nombreux soldats m'ont abandonné : aucun de mes cavaliers n'a regardé vers moi quand je
les appelais; Das un seul d'entre eux ne m'a écouté quand je criais vers eux.»
4 ^S^s» Xu, au propre : «être bon, digne de». Au comparatif avec er : « être meilleur, l'emporter
sur». Cf. ujott, dignus.
J. DE ROUGÉ.
p. s.m,3. H1^,?,^M!
L. 31.
K. 26.
p. s. ni, 2.
L. 31.
K. 27.
P. S. III, 3.
L. 31.
K. 27.
i 27
■g I
M 7mâ-a «w /aâ-M joiVt menjiu àëu bu nu,
un autre avec moi. Ont abandonné (moi) mes soldats nombreux : pas regarde
en ua er-a
em tai-à nte hetâr un-nâ lier sekabu2
un seul vers moi de mes cavaliers, étant moi à appeler
; I _J_rV^ï l I I I I c_l I—S . J ^T-iî /www I
I I I
1»
en sen bu sotem - à ua àm - sen âu-â (lier) ⧠(en-sen)3
vers eux; pas écouté moi un seul d'entre eux (quand) je appelais (à eux).
p. s. ni, 3. a§
V&ii I i AS gl I l
Kam-nà yu* - nà âmen er lieli en menjiu er Iiofennu
Je trouve valoir pour moi Ammon plus que des millions de soldats, plus que des centaines de
mille
1 /aa-u. Cf. 'X^0! derelinquere. TJ, pronom personnel. Cf. Abrégé grammatical, n° 173.
à.
2 Sékabu «crier, appeler» : c'est la forme transitive de Q§> a&ei «appeler». (V. Prisse, XXI,
25.) Les chefs â'Àkàiat, quand le roi leur a promis de l'eau sur leur route, se prosternent devant lui :
^ ' S v> SA nWÊ « en criant jusqu'au plus haut du ciel ». De même dans la stèle d'Horus à
Il J Jl 2il <=> h %MF==^ n n n —»— Q o
Turin : «Les habitants étaient dans la joie, 1/3 C\ \ <czr> leurs cris (montaient) jusqu'au ciel».
I Ji i I i F=i
3 «Mes nombreux soldats m'ont abandonné : aucun de mes cavaliers n'a regardé vers moi quand je
les appelais; Das un seul d'entre eux ne m'a écouté quand je criais vers eux.»
4 ^S^s» Xu, au propre : «être bon, digne de». Au comparatif avec er : « être meilleur, l'emporter
sur». Cf. ujott, dignus.