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RECUEIL DES LETTRES
—— ni auxSzrwen ni à vous. La note est nécesiaire, et je
I7<57- vous en remercie. Je vous suis aussi tendrement
attaché que si j’avais vécu avec vous.
LETTRE X L I.
A AL D A M I L A V I L L L
16 de février.
I/article de votre lettre du 10, concernant ürt
intendant, m’étonne autant qu’il m’afflige. Je crois
qu’il sera bon, dans l’occasion, de lui faire parler forte»
ment en votre faveur, sans paraître instruit de ce
que vous me mandez. Il m’était venu voir à Ferney,
et j’en avais été très-content. Je me ssatte encore qu’il
ne sera pas difficile de le ramener.
Je ne connais point M. Cafjen} j’étais fort content
de M. Mariette, et je vous prie instamment de le lui
dire: mais il faut laisser faire M. de Beaumont, et ne
le pas décourager. Il est actif; sa gloire est intéressée
au succès ; il est ami de M. Cajjen ■ il fait encore tra-
vailler M. Target, qui est, dit-on, un excellent
avocat, et qui doit donner un factum en faveur des
filles Sirven.
Je vous demande deux grâces, mon cher ami ; c’est
de voir Mariette pour le consoler, et Target et Cajjen
pour les remercier. J’ai très-bonne opinion du procès.
Je suis persuadé que les maîtres des requêtes mettront
ce dernier sseuron à leur couronne civique. M, de
RECUEIL DES LETTRES
—— ni auxSzrwen ni à vous. La note est nécesiaire, et je
I7<57- vous en remercie. Je vous suis aussi tendrement
attaché que si j’avais vécu avec vous.
LETTRE X L I.
A AL D A M I L A V I L L L
16 de février.
I/article de votre lettre du 10, concernant ürt
intendant, m’étonne autant qu’il m’afflige. Je crois
qu’il sera bon, dans l’occasion, de lui faire parler forte»
ment en votre faveur, sans paraître instruit de ce
que vous me mandez. Il m’était venu voir à Ferney,
et j’en avais été très-content. Je me ssatte encore qu’il
ne sera pas difficile de le ramener.
Je ne connais point M. Cafjen} j’étais fort content
de M. Mariette, et je vous prie instamment de le lui
dire: mais il faut laisser faire M. de Beaumont, et ne
le pas décourager. Il est actif; sa gloire est intéressée
au succès ; il est ami de M. Cajjen ■ il fait encore tra-
vailler M. Target, qui est, dit-on, un excellent
avocat, et qui doit donner un factum en faveur des
filles Sirven.
Je vous demande deux grâces, mon cher ami ; c’est
de voir Mariette pour le consoler, et Target et Cajjen
pour les remercier. J’ai très-bonne opinion du procès.
Je suis persuadé que les maîtres des requêtes mettront
ce dernier sseuron à leur couronne civique. M, de