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Lefuel, Hector Martin: Note sur Huyot
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.19305#0026
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Huyot, mourant en, 1840, lui laissa son beau portrait
par Michel-Martin Drolling, daté de 1839, que la gravure
d’Auguste Blanchard a popularisé, et un grand album de
dessins.
Ce recueil contient :
Une aquarelle très poussée (om84 X om4i), signée, avec
cette indication de la main de Huyot : « Restauration du
temple de la Fortune à Preneste, près Rome ». C’est
un envoi de pensionnaire.
Une aquarelle (omÔ2 X om3g) sans doute exécutée en
Troade en 1817 et qui représente des ruines aux bords
de la mer.
Une aquarelle (om43 X om33) faite à la suite de son
voyage en Égypte et qui est la restauration d’Ipsamboul
en Nubie. Ce beau dessin montre que l’ancien élève de
Louis David avait de réelles qualités de peintre.
Deux gravures au trait, délicatement aquarellées : « Pro-
jet d’isolement et d’agrandissement du Palais de Justice
de Paris ». Elles sont signées et datées de 1840.
« Le plan de la propriété de M. Huyot », aquarelle
(om4Ô X om32). Cette propriété faisait l’angle de la rue
Sainte-Victoire et de la rue Berthier. Elle comprenait
deux maisons isolées. Le jardin était composé sur le
devant de parterres de fleurs et dans le fond d’allées dans
le goût anglais. On y remarque une serre, plusieurs salles
de verdure, des statues, un bassin, une grande pelouse
que surplombent des arbres.
Deux aquarelles (om25 X om3 et om28 X om2q) et portant
l’indication : « Salon de M. Huyot », donnent très bien
l’idée de la décoration intérieure. Ce sont des peintures
murales en arabesques dans l’esprit de celles de Pompéi
et d’Herculanum, mais avec des tons frais qui semblent
parfois inspirés de l’Égypte; on y remarque deux « Corés »
de style attique archaïque. Sur la frise se développe une
composition qui est la restauration du temple de la For-
tune, son envoi de Rome. Dans des niches : la statue
d’un berger, — en plâtre sans doute, — un vase canope en
albâtre et un grand lécyte à figures noires sur fond rouge.
Une autre aquarelle montre encore Huyot en décora-
teur, vraiment rival des plus belles compositions de
Huyot, mourant en, 1840, lui laissa son beau portrait
par Michel-Martin Drolling, daté de 1839, que la gravure
d’Auguste Blanchard a popularisé, et un grand album de
dessins.
Ce recueil contient :
Une aquarelle très poussée (om84 X om4i), signée, avec
cette indication de la main de Huyot : « Restauration du
temple de la Fortune à Preneste, près Rome ». C’est
un envoi de pensionnaire.
Une aquarelle (omÔ2 X om3g) sans doute exécutée en
Troade en 1817 et qui représente des ruines aux bords
de la mer.
Une aquarelle (om43 X om33) faite à la suite de son
voyage en Égypte et qui est la restauration d’Ipsamboul
en Nubie. Ce beau dessin montre que l’ancien élève de
Louis David avait de réelles qualités de peintre.
Deux gravures au trait, délicatement aquarellées : « Pro-
jet d’isolement et d’agrandissement du Palais de Justice
de Paris ». Elles sont signées et datées de 1840.
« Le plan de la propriété de M. Huyot », aquarelle
(om4Ô X om32). Cette propriété faisait l’angle de la rue
Sainte-Victoire et de la rue Berthier. Elle comprenait
deux maisons isolées. Le jardin était composé sur le
devant de parterres de fleurs et dans le fond d’allées dans
le goût anglais. On y remarque une serre, plusieurs salles
de verdure, des statues, un bassin, une grande pelouse
que surplombent des arbres.
Deux aquarelles (om25 X om3 et om28 X om2q) et portant
l’indication : « Salon de M. Huyot », donnent très bien
l’idée de la décoration intérieure. Ce sont des peintures
murales en arabesques dans l’esprit de celles de Pompéi
et d’Herculanum, mais avec des tons frais qui semblent
parfois inspirés de l’Égypte; on y remarque deux « Corés »
de style attique archaïque. Sur la frise se développe une
composition qui est la restauration du temple de la For-
tune, son envoi de Rome. Dans des niches : la statue
d’un berger, — en plâtre sans doute, — un vase canope en
albâtre et un grand lécyte à figures noires sur fond rouge.
Une autre aquarelle montre encore Huyot en décora-
teur, vraiment rival des plus belles compositions de