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ment régulier, les petits cadres à la cimaise; on dis-
tingue à droite la « Grande sainte Famille de Fran-
çois Ier » ; des visiteurs regardent au delà de la
balustrade, des artistes travaillent, les cartons sur les
genoux; une dame, vêtue de blanc, peint, juchée
avec son chevalet, sur une sorte d’estrade. Le jour
vient de gauche, les fenêtres de droite paraissent bou-
chées. Le tableau semble pris sur la réalité. On peut
croire que tel fut l’aspect de la Galerie des peintures
du Muséum central des arts depuis la réorganisation
de 179g jusqu’aux travaux accomplis dans le Musée
Napoléon par Percier et Fontaine qui transformèrent
complètement l’aspect du grand vaisseau.
Gaston Brière et J.-J. Marquet de Vasselot.
ment régulier, les petits cadres à la cimaise; on dis-
tingue à droite la « Grande sainte Famille de Fran-
çois Ier » ; des visiteurs regardent au delà de la
balustrade, des artistes travaillent, les cartons sur les
genoux; une dame, vêtue de blanc, peint, juchée
avec son chevalet, sur une sorte d’estrade. Le jour
vient de gauche, les fenêtres de droite paraissent bou-
chées. Le tableau semble pris sur la réalité. On peut
croire que tel fut l’aspect de la Galerie des peintures
du Muséum central des arts depuis la réorganisation
de 179g jusqu’aux travaux accomplis dans le Musée
Napoléon par Percier et Fontaine qui transformèrent
complètement l’aspect du grand vaisseau.
Gaston Brière et J.-J. Marquet de Vasselot.