MÉLANGES D'ARCHÉOLOGIE.
3 A
que du manteau militaire. H a le casque en tête, les caù'ÿæ aux pieds, la lance à la main et tient
un vase à deux anses d'où sort une longue et large guirlande de Heurs. Au centre et par-dessus
la guirlande s'appuie une tablette restée vide.
Enfin, au-dessous de 1 arcade, sur le mur du fond, le peintre a représenté une porte sur-
montée de douze feuilles de laurier inclinées les unes vers les autres, et des deux côtés de la
porte, deux génies qui montrent les feuilles aux spectateurs: lun adroite laisse pencher des
branches d'amandier ou de saule, l'autre, paré d'un collier de perles, élève une branche de
laurier.
L'intrados de l'arcade est orné de trois tableaux. A gauche du spectateur est assis le même
guerrier que nous venons de voir de-
bout à 1 extérieur, et devant lui se
retrouve le même personnage barbu
que tout à l'heure. Celui-ci est près
d'une montagne couverte de plantes,
et où l'on peut distinguer cinq zones.
Au-dessus de la montagne, une sorte
de chemin se trouve tracé par des
feuilles de laurier. Au delà brillent cinq
étoiles. C'est du côté de ces diverses
figures que le personnage élève un
agneau immolé.
Dans le tableau correspondant à droite du spectateur, le guerrier réparait, et cette fois
entièrement équipé pour le combat. 11 a rabbatu les mentonnières de son casque , des
défenses protègent ses épaules et ses
jambes, son manteau lui sert de cein-
ture, et à l'abri de son bouclier, un
genou en terre, il tient son épée dé-
gainée comme pour se défendre. Au
lieu de l'homme qui l'accompagnait,
une femme est devant lui, et celle-ci,
vêtue d'une tunique sans manches
agraffée sur les épaules
porte une couronne de
feuillage. L un etl'autrepnt un genou
en terre et les pieds nus.
3 A
que du manteau militaire. H a le casque en tête, les caù'ÿæ aux pieds, la lance à la main et tient
un vase à deux anses d'où sort une longue et large guirlande de Heurs. Au centre et par-dessus
la guirlande s'appuie une tablette restée vide.
Enfin, au-dessous de 1 arcade, sur le mur du fond, le peintre a représenté une porte sur-
montée de douze feuilles de laurier inclinées les unes vers les autres, et des deux côtés de la
porte, deux génies qui montrent les feuilles aux spectateurs: lun adroite laisse pencher des
branches d'amandier ou de saule, l'autre, paré d'un collier de perles, élève une branche de
laurier.
L'intrados de l'arcade est orné de trois tableaux. A gauche du spectateur est assis le même
guerrier que nous venons de voir de-
bout à 1 extérieur, et devant lui se
retrouve le même personnage barbu
que tout à l'heure. Celui-ci est près
d'une montagne couverte de plantes,
et où l'on peut distinguer cinq zones.
Au-dessus de la montagne, une sorte
de chemin se trouve tracé par des
feuilles de laurier. Au delà brillent cinq
étoiles. C'est du côté de ces diverses
figures que le personnage élève un
agneau immolé.
Dans le tableau correspondant à droite du spectateur, le guerrier réparait, et cette fois
entièrement équipé pour le combat. 11 a rabbatu les mentonnières de son casque , des
défenses protègent ses épaules et ses
jambes, son manteau lui sert de cein-
ture, et à l'abri de son bouclier, un
genou en terre, il tient son épée dé-
gainée comme pour se défendre. Au
lieu de l'homme qui l'accompagnait,
une femme est devant lui, et celle-ci,
vêtue d'une tunique sans manches
agraffée sur les épaules
porte une couronne de
feuillage. L un etl'autrepnt un genou
en terre et les pieds nus.