DOI Seite / Zitierlink:
https://doi.org/10.11588/diglit.16852#0015
LA BASILIQUE DE SAINTE SALSA, A TIPASA
5
logues doivent être très reconnaissants envers M. Trémaux, sur
les propriétés duquel presque toutes ces ruines se trouvent, du soin
avec lequel il veille à leur conservation. Je suis heureux de le re-
mercier ici de l'aimable accueil qu'il m'a fait, et de toutes les ex-
plications qu'il m'a obligeamment données, pendant mon séjour
d'un mois et demi à Tipasa (février-mars 1891).
O 15û Sût "JSo /oo6
I_ 1__1____-J
Mifns,
Fig. 1. — Plan de Tipasa.
Il y avait trois collines dans la ville antique de Tipasa : celle de
l'ouest et celle de l'est étaient coupées par les remparts ; quant à
celle du milieu, la plus grande, elle était entièrement comprise dans
l'enceinte (voir la carte ci-jointe, fîg. 1).
(1884), p. 214 et 311 ; Schmitter, Bulletin épi graphique, t. IV (1884), p. 235, n° CLXVIJI ;
Bulletin archéol. duComité, 1887, p. 180, n° 811 (inscript. des papiers de Léon Renier);
Héron de Villefosse, Bulletin duComité, 1889, p. 266 ; Audollent et Letaille, Mélanges
de l'École française de Borne, t. X (1890), p. 416. — On n'a encore trouvé à Tipasa cfue
très peu d'inscriptions. L'emplacement probable du forum, près de thermes, au point
où devaient se rencontrer les routes de Caesarea (Chercher) et d'icosium (Alger) est
maintenant très enterré, — de 4 à 5 mètres au moins, — par suite des apports sécu-
laires d'un ruisseau (aujourd'hui détourné dans la direction de l'ouest). Quant aux
nécropoles payennes où il y avait sans doute beaucoup d'inscriptions, elles s'étendaient
surtout à droite et à gauche des routes de Caesarea et d'icosium, eu dehors des rem-
parts, dans les propriétés Trémaux et Coulombel. On y a trouvé de temps en temps
des tombes (entres autres le monument de la route de Caesarea qui renfermait les deux
5
logues doivent être très reconnaissants envers M. Trémaux, sur
les propriétés duquel presque toutes ces ruines se trouvent, du soin
avec lequel il veille à leur conservation. Je suis heureux de le re-
mercier ici de l'aimable accueil qu'il m'a fait, et de toutes les ex-
plications qu'il m'a obligeamment données, pendant mon séjour
d'un mois et demi à Tipasa (février-mars 1891).
O 15û Sût "JSo /oo6
I_ 1__1____-J
Mifns,
Fig. 1. — Plan de Tipasa.
Il y avait trois collines dans la ville antique de Tipasa : celle de
l'ouest et celle de l'est étaient coupées par les remparts ; quant à
celle du milieu, la plus grande, elle était entièrement comprise dans
l'enceinte (voir la carte ci-jointe, fîg. 1).
(1884), p. 214 et 311 ; Schmitter, Bulletin épi graphique, t. IV (1884), p. 235, n° CLXVIJI ;
Bulletin archéol. duComité, 1887, p. 180, n° 811 (inscript. des papiers de Léon Renier);
Héron de Villefosse, Bulletin duComité, 1889, p. 266 ; Audollent et Letaille, Mélanges
de l'École française de Borne, t. X (1890), p. 416. — On n'a encore trouvé à Tipasa cfue
très peu d'inscriptions. L'emplacement probable du forum, près de thermes, au point
où devaient se rencontrer les routes de Caesarea (Chercher) et d'icosium (Alger) est
maintenant très enterré, — de 4 à 5 mètres au moins, — par suite des apports sécu-
laires d'un ruisseau (aujourd'hui détourné dans la direction de l'ouest). Quant aux
nécropoles payennes où il y avait sans doute beaucoup d'inscriptions, elles s'étendaient
surtout à droite et à gauche des routes de Caesarea et d'icosium, eu dehors des rem-
parts, dans les propriétés Trémaux et Coulombel. On y a trouvé de temps en temps
des tombes (entres autres le monument de la route de Caesarea qui renfermait les deux