RUINES ROMAINES AU SUD-EST DE SÉTIF
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ces ruines que gisaient les tables de distribution d'eaux décou-
vertes par M. Masqueray1. M. Maupas, conservateur de la Biblio-
i ta 1» .
Fig. 8.
theque-Musée d'Alger, a fait les démarches nécessaires, pour ob-
tenir que cette inscription si importante y fût transportée Elle
y est déposée maintenant. Il y a cinq fragments : trois ont été
publiés2, les deux autres sont encore inédits. Je n'ai que très peu
de corrections à faire à la partie de l'inscription éditée dans VE-
phemeris epigraphiea, d'après la lecture de M. Dessau.
Table a.
Ephemeris, p. 25o-â5i« Aux lignes 6-7 du titre, lire MATRICE-
RIGNDA (Matriceriganda, cf. le fragment édité plus bas, ligne 39).
1. Ephemeris epigrapkica, VII. n° 788. M. Masqueray (l. c, p. 223), se fondant sur
cette phrase : primo mane quo Claudiana descendit ad Matricerigauda (il faut lire
Matricerigauda, voir plus loin), pense que le lieu s'appelait Matricerigauda. C'était
peut-être le nom d'une partie de la ville, mais la ville elle-même s'appelait Lamasba.
2. i° La table marquée a dans l'édition de Ephemeris epigr., t. Vil, p. 250-253, moins
un fragment que je désigne ci-après par le n° 2. — 2° Un fragment se raccordant à
cette table a (à droite en haut), et édité avec elle dans VEphemeris ; il comprend
quelques mots du titre
CTO PIO FELICE
ATA etc.
BERE etc.
INTERIM etc.
Au-dessous était gravée la fin de la sixième colonne, mais cette partie est aujourd'hui
complètement fruste. — 3e La table marquée b dans YEphemeris, p. 254-255.
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ces ruines que gisaient les tables de distribution d'eaux décou-
vertes par M. Masqueray1. M. Maupas, conservateur de la Biblio-
i ta 1» .
Fig. 8.
theque-Musée d'Alger, a fait les démarches nécessaires, pour ob-
tenir que cette inscription si importante y fût transportée Elle
y est déposée maintenant. Il y a cinq fragments : trois ont été
publiés2, les deux autres sont encore inédits. Je n'ai que très peu
de corrections à faire à la partie de l'inscription éditée dans VE-
phemeris epigraphiea, d'après la lecture de M. Dessau.
Table a.
Ephemeris, p. 25o-â5i« Aux lignes 6-7 du titre, lire MATRICE-
RIGNDA (Matriceriganda, cf. le fragment édité plus bas, ligne 39).
1. Ephemeris epigrapkica, VII. n° 788. M. Masqueray (l. c, p. 223), se fondant sur
cette phrase : primo mane quo Claudiana descendit ad Matricerigauda (il faut lire
Matricerigauda, voir plus loin), pense que le lieu s'appelait Matricerigauda. C'était
peut-être le nom d'une partie de la ville, mais la ville elle-même s'appelait Lamasba.
2. i° La table marquée a dans l'édition de Ephemeris epigr., t. Vil, p. 250-253, moins
un fragment que je désigne ci-après par le n° 2. — 2° Un fragment se raccordant à
cette table a (à droite en haut), et édité avec elle dans VEphemeris ; il comprend
quelques mots du titre
CTO PIO FELICE
ATA etc.
BERE etc.
INTERIM etc.
Au-dessous était gravée la fin de la sixième colonne, mais cette partie est aujourd'hui
complètement fruste. — 3e La table marquée b dans YEphemeris, p. 254-255.