Hoch- und Spätmittelalter
205
toute l’epoque romane, et qu’on retrouve,
au XHIe siede, ä la fagade de Notre-Dame
de Paris.
D’autre part, sur une Serie de plaques,
actuellement dispersees (nos. 19, 20, 20a,
21, 24, 26, 35 et 40), est figuree une chasse
au cerf. Cette chasse, pas plus que les
autres figurations romanes analogues,
n’est pas prise sur le vif; eile s’inspire d’un
sarcophage antique de type tres commun
(cf. Römische Mitteilungen, I, 1925), dont
un exemplaire a ete copie litteralement sur
le fameux tympan roman de St. Ursin de
Bourges: on reconnait ici jusqu’aux plus
petits details du modele romain, notamment
le valet ä la pique qui montre la piste du
doigt.
Les frises d’Andlau fournissent aussi
certaines indications interessantes sur
l’iconographie du diable; on le voit sur
un tonneau (no. 38) ,,avec la teted’unbouc
et une corne sur le front, de longues oreilles,
les pieds ä griffes, au dos la petite queue
enroulee. Dans sa gauche il tient une
fourche ä crochets.“
Pour la date de ces reliefs, les textes
autorisent les annees 1049, epoque que la
comparaison avec les frises analogues du
sud de la France et de St. Martin d’Ainay
ne rend pas invraisemblable. J. A.
773 FALKE, OTTO v., Eine spätromanische
Elfenbeinpyxis. In: Pantheon 9, '32,
S. 201 — 03.
Die erste Veröffentlichung einer fran-
zösischen Elfenbeinpyxis aus Münchener
Privatbesitz. Das besonders schöne Werk,
das der Zeit um 1200 angehört und der ro-
manischen Tradition noch eng verbunden
ist, aber bereits die Errungenschaften der
gotischen Kathedralskulptur widerspiegelt,
stellt einen Löwenkampf dar, der einem
Wellenrankenmotiv eingeordnet erscheint;
auch diese Ranke ist deutlich als stili-
stisches Produkt jener Übergangszeit zu
erkennen. Das Motiv als solches mag durch
spätantike Fußbodenmosaiken dem Mittel-
alter überliefert worden sein; sehr ver-
wandte Wellenranken lassen sich dann im
12. Jahrh. in der Stein- und Elfenbein-
skulptur wie auch in der Goldschmiede-
kunst aufzeigen, was durch Abbildung
einiger wenig bekannter Beispiele belegt
wird.
H. B.
KRENCKER, DANIEL, Vom Ausklang 774
der Antike in der Gotik. Betrachtungen
zum Wandel d. Form am Straßbur-
ger Münster. In: Elsaß-Lothringisches
Jahrb. 11, '32, S. 22—54.
M. Krencker etudie certaines ,,reson-
nances“ antiques dans l’art gothique, en
prenant pour exemple la cathedrale de
Strasbourg. C’est lä un paradoxe, comme
l’auteur le reconnait lui-meme, et on hesite
ä le suivre dans ses rapprochements avec
le temple d’Heliopolis ä Baalbeck.
Mais il a des theories interessantes sur
la composition architecturale des fagades
d’eglises avec leur triple portail qu’il
montre derive de la forme des arcs de
triomphe romains. Il y aurait lä la matiere
d’un travail plus important, dans lequel
on devrait faire etat notamment du portail
lateral sud d’Etampes (fin Xlle), tres
curieux avec, au-dessus de l’arc, comme
un Souvenir des unommees antiques.
On s’etonne que M. Krencker ne nous
parle pas de la sculpture de Strasbourg, et
ne nous dise pas ce qu’il pense de la statue
antique mutilee (Hercule ?) que Schoeflin,
dans son Alsatia illustrata (1751), dit avoir
vue en place sur la fagade, parmi les oeuvres
gothiques. J. A.
3. Deutschland
a) Architektur
HEGE, W., und WEIGERT, H„ Die 775
Kaiserdome am Mittelrhein'. Speyer,
Mainz und Worms. Berlin: Dt. Kunst-
verlag '33. 79 S.
Die von Hege im architektonischen
Teil aufgenommenen Bauten werden von
Weigert, auf Grund der vorliegenden Bau-
geschichten, in klarer Sprache geschickt
behandelt, ohne allerdings neue Forschungs-
ergebnisse zur Diskussion zu stellen. Die
Photographien der Plastik sind weniger
geglückt, da ihre tiefen Schattenwirkungen
wohl den Ausdruck steigern, die Feinheiten
aber zurücktreten lassen.
Zur Frage der Übertragung südlich-
antikischer Vorbilder nach dem Norden
wird auf Plastiken und Webereien ver-
wiesen, ohne daß aber der Weg und die
Möglichkeit dieser Rezeption näher um-
schrieben würde. Auch Zwischenglieder
werden — außer zur Lombardei — nicht
205
toute l’epoque romane, et qu’on retrouve,
au XHIe siede, ä la fagade de Notre-Dame
de Paris.
D’autre part, sur une Serie de plaques,
actuellement dispersees (nos. 19, 20, 20a,
21, 24, 26, 35 et 40), est figuree une chasse
au cerf. Cette chasse, pas plus que les
autres figurations romanes analogues,
n’est pas prise sur le vif; eile s’inspire d’un
sarcophage antique de type tres commun
(cf. Römische Mitteilungen, I, 1925), dont
un exemplaire a ete copie litteralement sur
le fameux tympan roman de St. Ursin de
Bourges: on reconnait ici jusqu’aux plus
petits details du modele romain, notamment
le valet ä la pique qui montre la piste du
doigt.
Les frises d’Andlau fournissent aussi
certaines indications interessantes sur
l’iconographie du diable; on le voit sur
un tonneau (no. 38) ,,avec la teted’unbouc
et une corne sur le front, de longues oreilles,
les pieds ä griffes, au dos la petite queue
enroulee. Dans sa gauche il tient une
fourche ä crochets.“
Pour la date de ces reliefs, les textes
autorisent les annees 1049, epoque que la
comparaison avec les frises analogues du
sud de la France et de St. Martin d’Ainay
ne rend pas invraisemblable. J. A.
773 FALKE, OTTO v., Eine spätromanische
Elfenbeinpyxis. In: Pantheon 9, '32,
S. 201 — 03.
Die erste Veröffentlichung einer fran-
zösischen Elfenbeinpyxis aus Münchener
Privatbesitz. Das besonders schöne Werk,
das der Zeit um 1200 angehört und der ro-
manischen Tradition noch eng verbunden
ist, aber bereits die Errungenschaften der
gotischen Kathedralskulptur widerspiegelt,
stellt einen Löwenkampf dar, der einem
Wellenrankenmotiv eingeordnet erscheint;
auch diese Ranke ist deutlich als stili-
stisches Produkt jener Übergangszeit zu
erkennen. Das Motiv als solches mag durch
spätantike Fußbodenmosaiken dem Mittel-
alter überliefert worden sein; sehr ver-
wandte Wellenranken lassen sich dann im
12. Jahrh. in der Stein- und Elfenbein-
skulptur wie auch in der Goldschmiede-
kunst aufzeigen, was durch Abbildung
einiger wenig bekannter Beispiele belegt
wird.
H. B.
KRENCKER, DANIEL, Vom Ausklang 774
der Antike in der Gotik. Betrachtungen
zum Wandel d. Form am Straßbur-
ger Münster. In: Elsaß-Lothringisches
Jahrb. 11, '32, S. 22—54.
M. Krencker etudie certaines ,,reson-
nances“ antiques dans l’art gothique, en
prenant pour exemple la cathedrale de
Strasbourg. C’est lä un paradoxe, comme
l’auteur le reconnait lui-meme, et on hesite
ä le suivre dans ses rapprochements avec
le temple d’Heliopolis ä Baalbeck.
Mais il a des theories interessantes sur
la composition architecturale des fagades
d’eglises avec leur triple portail qu’il
montre derive de la forme des arcs de
triomphe romains. Il y aurait lä la matiere
d’un travail plus important, dans lequel
on devrait faire etat notamment du portail
lateral sud d’Etampes (fin Xlle), tres
curieux avec, au-dessus de l’arc, comme
un Souvenir des unommees antiques.
On s’etonne que M. Krencker ne nous
parle pas de la sculpture de Strasbourg, et
ne nous dise pas ce qu’il pense de la statue
antique mutilee (Hercule ?) que Schoeflin,
dans son Alsatia illustrata (1751), dit avoir
vue en place sur la fagade, parmi les oeuvres
gothiques. J. A.
3. Deutschland
a) Architektur
HEGE, W., und WEIGERT, H„ Die 775
Kaiserdome am Mittelrhein'. Speyer,
Mainz und Worms. Berlin: Dt. Kunst-
verlag '33. 79 S.
Die von Hege im architektonischen
Teil aufgenommenen Bauten werden von
Weigert, auf Grund der vorliegenden Bau-
geschichten, in klarer Sprache geschickt
behandelt, ohne allerdings neue Forschungs-
ergebnisse zur Diskussion zu stellen. Die
Photographien der Plastik sind weniger
geglückt, da ihre tiefen Schattenwirkungen
wohl den Ausdruck steigern, die Feinheiten
aber zurücktreten lassen.
Zur Frage der Übertragung südlich-
antikischer Vorbilder nach dem Norden
wird auf Plastiken und Webereien ver-
wiesen, ohne daß aber der Weg und die
Möglichkeit dieser Rezeption näher um-
schrieben würde. Auch Zwischenglieder
werden — außer zur Lombardei — nicht