H Y È N E
Les Hyènes ont été le sujet de
mille contes, tons plus absurdes et
plus saux les uns que les autres.
L’Hyène rayée est un animal très-
sarouche et d’une voracité dégoû-
tante, mais d’une lâcheté et d’une
poltronnerie incomparablement plus grande que celle du Loup. C’est
à leur goût prononcé pour la chair corrompue, beaucoup plus qu’à
leur prétendue férocité, qu’il saut attribuer cette habitude qu’ont
les Hyènes de déterrer les cadavres.
L’Hyène tachetée, dont les sormes générales se rapprochent davan-
tage de celles du Chien, vit aussi solitairement et ne paraît pas avoir
plus d’intelligence que l’Hyène rayée.
C H î E N
Derrière
les lo-
ges des
animaux
séroces ,
sont des
chenils où 1 on nourrit des Chiens de
toutes les espèces. Le public n’est point
admis -dans celte partie
de la Ménagerie.
On entend les aboi-
ments, et, à travers les
clôtures, on en aper-
çoit quelques-uns qui
dorment devant leur
niche, ou qui tirent
leur chaîne en bâillant
d’ennui.
Les Hyènes ont été le sujet de
mille contes, tons plus absurdes et
plus saux les uns que les autres.
L’Hyène rayée est un animal très-
sarouche et d’une voracité dégoû-
tante, mais d’une lâcheté et d’une
poltronnerie incomparablement plus grande que celle du Loup. C’est
à leur goût prononcé pour la chair corrompue, beaucoup plus qu’à
leur prétendue férocité, qu’il saut attribuer cette habitude qu’ont
les Hyènes de déterrer les cadavres.
L’Hyène tachetée, dont les sormes générales se rapprochent davan-
tage de celles du Chien, vit aussi solitairement et ne paraît pas avoir
plus d’intelligence que l’Hyène rayée.
C H î E N
Derrière
les lo-
ges des
animaux
séroces ,
sont des
chenils où 1 on nourrit des Chiens de
toutes les espèces. Le public n’est point
admis -dans celte partie
de la Ménagerie.
On entend les aboi-
ments, et, à travers les
clôtures, on en aper-
çoit quelques-uns qui
dorment devant leur
niche, ou qui tirent
leur chaîne en bâillant
d’ennui.