222 JAROSLAV CERNY. [2]
sible; j'espère que les fac-similés des signes difficiles compenseront en quelque sorte
cette impossibilité. Je considère comme certaine la transcription qui n’est pas expres-
sément indiquée comme douteuse, d’autant plus que M. le D r Garcliner a bien voulu
reviser (sans avoir pu étudier l’original) mes lectures. Les quelques suggestions qu’il
m’a proposées sont indiquées dans le commentaire.
I. FRAGMENT RU «CONTE DU REVENANT” (1).
Tesson de grande poterie mesurant o m. 1 y 5 sur o m. 155 environt 2) et donnant
le milieu de onze lignes cle hiératique de la XIX e ou XX e dynastie. Les parties souli-
Fig. î. — Fragment du «Conte du revenant».
gnées et les points sont écrits en rouge. Le texte semble corrompu, comme du reste
celui des autres témoins du même morceau littérairc.
(l) Pour la bibliographie complète et la reconstilu-
tion de ce texle, cf. Maspero, Les Conles populaires de
l’Egyple ancienne, 4 e édition, p. 296-296; nouvelte
traduction chez Erîuan, Die Literatur der Aegypter,
p. 220-222. Cif.aussi Winlock, The Journalof Eg-ypt-
ian Archeology, X (192/1), p. 266-267.
0) Cet ostracon est expose' sous une cloclie de
verre trop lourde pour être facilement enlevée. La
sible; j'espère que les fac-similés des signes difficiles compenseront en quelque sorte
cette impossibilité. Je considère comme certaine la transcription qui n’est pas expres-
sément indiquée comme douteuse, d’autant plus que M. le D r Garcliner a bien voulu
reviser (sans avoir pu étudier l’original) mes lectures. Les quelques suggestions qu’il
m’a proposées sont indiquées dans le commentaire.
I. FRAGMENT RU «CONTE DU REVENANT” (1).
Tesson de grande poterie mesurant o m. 1 y 5 sur o m. 155 environt 2) et donnant
le milieu de onze lignes cle hiératique de la XIX e ou XX e dynastie. Les parties souli-
Fig. î. — Fragment du «Conte du revenant».
gnées et les points sont écrits en rouge. Le texte semble corrompu, comme du reste
celui des autres témoins du même morceau littérairc.
(l) Pour la bibliographie complète et la reconstilu-
tion de ce texle, cf. Maspero, Les Conles populaires de
l’Egyple ancienne, 4 e édition, p. 296-296; nouvelte
traduction chez Erîuan, Die Literatur der Aegypter,
p. 220-222. Cif.aussi Winlock, The Journalof Eg-ypt-
ian Archeology, X (192/1), p. 266-267.
0) Cet ostracon est expose' sous une cloclie de
verre trop lourde pour être facilement enlevée. La