ANEMHO (N-M-HR),
LE DIEU-TAUREAU D’ATHRIBIS 11,
PAII
M. W. SPIEGELBERG.
H. Gauthier a publié récemmenG 2 *) une tombe cle basse époque (période saïto-
ptolémaïqoe) très intéressante à beaucoup de points de vue : trouvée à Tell Atrib —
i’ancieune Athribis — dans ia Basse Egypte, elle appartenait à un prètre de cette
vilie, nommé Psj-f-tnv-mn, qui portait ie surnom 3^ sï..- y * I y ',' T?j-n-m-hr-m=w.
Ge dernier nom nous offre la forme théopbore fréquente, déjà at.testée par ailieurs^
pour ia basse époque, T?j-nom divin- Jm=ne, i. e. ccie dieu N les (sc. : ies ennemis) sai-
sit n. Dans ces formes ie nom du dieu est régulièrement placé après le mot tjj (x.i).
— Voici un choix, établi d’après mes fiches onomastiques personnelles, de noms
formés suivant ce type :
I. T?j-nhr- m-w (masc.) 3^>, 'T' ' V (Bergmann, Hierogi. Inschr., \Ü1 = Wre-
szinski, Aeg. Inschr. Wien, I, 3o ); D., Texl, I, iAA); 3ç ( , J
Tfi \ \ ^ et variantes (Rec. trav., \ I [ 188 5 ], p. 133).
2. T?j-s:t-nmw (fém.) 3^,. J ^ I ( ( (Rec. trav., Xll [1892], p. 22; variante :
(var. : j~) ^T 5) (Petrie, Memphis, 11, pl. WTI et p. 26;
Cet article est traduit de l’allemand.
2) Monuments etmémoires Piot, XXV (1921-1922),
p. 1 71 et suiv.
(a,) Le fait que le Dictionnaire de noms hiérogly-
phiques de Lieldein ignore complètement les noms de
ce type est tout à fait significatif. et montre combien
cet ouvrage, en dépit des très grands meTites qu’il a
présentés en son temps, est aujourd’bui vieilli.
4) Ou frles a saisis r>.
5) Oelte varianle nous enseigne c[ue le pluriel du
mot rrbateau») devait se prononcer à peu près
émôw.
LE DIEU-TAUREAU D’ATHRIBIS 11,
PAII
M. W. SPIEGELBERG.
H. Gauthier a publié récemmenG 2 *) une tombe cle basse époque (période saïto-
ptolémaïqoe) très intéressante à beaucoup de points de vue : trouvée à Tell Atrib —
i’ancieune Athribis — dans ia Basse Egypte, elle appartenait à un prètre de cette
vilie, nommé Psj-f-tnv-mn, qui portait ie surnom 3^ sï..- y * I y ',' T?j-n-m-hr-m=w.
Ge dernier nom nous offre la forme théopbore fréquente, déjà at.testée par ailieurs^
pour ia basse époque, T?j-nom divin- Jm=ne, i. e. ccie dieu N les (sc. : ies ennemis) sai-
sit n. Dans ces formes ie nom du dieu est régulièrement placé après le mot tjj (x.i).
— Voici un choix, établi d’après mes fiches onomastiques personnelles, de noms
formés suivant ce type :
I. T?j-nhr- m-w (masc.) 3^>, 'T' ' V (Bergmann, Hierogi. Inschr., \Ü1 = Wre-
szinski, Aeg. Inschr. Wien, I, 3o ); D., Texl, I, iAA); 3ç ( , J
Tfi \ \ ^ et variantes (Rec. trav., \ I [ 188 5 ], p. 133).
2. T?j-s:t-nmw (fém.) 3^,. J ^ I ( ( (Rec. trav., Xll [1892], p. 22; variante :
(var. : j~) ^T 5) (Petrie, Memphis, 11, pl. WTI et p. 26;
Cet article est traduit de l’allemand.
2) Monuments etmémoires Piot, XXV (1921-1922),
p. 1 71 et suiv.
(a,) Le fait que le Dictionnaire de noms hiérogly-
phiques de Lieldein ignore complètement les noms de
ce type est tout à fait significatif. et montre combien
cet ouvrage, en dépit des très grands meTites qu’il a
présentés en son temps, est aujourd’bui vieilli.
4) Ou frles a saisis r>.
5) Oelte varianle nous enseigne c[ue le pluriel du
mot rrbateau») devait se prononcer à peu près
émôw.