Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
ASSOS.

" vient v aboutir forment la limite
Le promontoire de Lectos et la crête de 1 Ida qui vi y^ ^ ^ ^ soumises

naturelle entre la Troade proprement dite et les P™™"06^ ja chule de leur capitale,

aux Troyens du temps de leur puissance, mais qui, ep

ont été considérées comme incorporées à YMoUc e. ^^ Lélèges, peuple sur le-

Avant l'arrivée des colonies grecques, ce pays appar ^^ ^ exciter vivement la
quel les écrivains anciens nous ont laissé assez de ocuni' ^^ ^ à peine

curiosité; mais malheureusement ces notions sont • rrations Pausanias (,) nous

suivre ces peuplades guerrières dans leurs nombreuses ^ ^ ^ tres-recu-

apprend qu'un prince du nom de ^«^""J^ dit a«tochthone. C'est lui qui
lée; il est considéré comme enfant de la 1 erre, autieu différentes époques de l'his-

donna son nom aux peuplades lélèges, qui aPParal^*utrcg inls de la côte d'Asie,
toire, tantôt en Thrace, tantôt en Troade, et sur es^ ^^ ^^ ^ ^ peuplade
Hésiode, cité par Strabon ®, attribue à Locrus Ug ^ ^ ^ ^ ^^ ^ur &n faire
les Lélèges, « que la sagesse infinie de ^P1*^. V^aim^ée§ par Strabon aux Caucones,
les sujets de Deucalion. » Ces tribus errantes so ^ ^ l'histoire asiatique,

dont l'origine remonte également aux Prem'erSes pe les sur leurs mélanges avec les

Aristote (3) avait écrit sur les migrations e ce^ p ^ ^ ^.^ pendant quelque
Cariens; il est d'accord avec Pausanias pour a m H ^^ précisément dans le

temps le continent de la Grèce ^^{CûLitè certains auteurs ont regardé les
même passage, nous fait connaître que H^rodote n'est pas du même avis; car

Lélèges comme le même peuple que les Une ^ ^ .< m d

sebn son opinion toCW»^"^™^^^^ par d'autres faits. Un mot de
tous ces récits une conclusion qui ne tu ^ ^ couronnees, je

Strabon me mit sur la voie de recherches a faireenit* ^ q^^ ^.^ à revenir
crois, d'un plein succès : aussi, dans la descnpiio r ^ auraient

, , i i,. iï ^lPP^es ont formes en Asie, ei

sur les établissements que les uci^g

subsisté jusqu'à nos jours. Lélè aietlt apparu aux premiers co-

Tout belliqueux et barbares qne les anc ^.^ ceg peuples ont construit des

Ions grecs, il n'en ressort pas moins de eurs

« Strabon , ubi supra.
m Liv. CX, ch. I.
(2) Liv. VII, p. 3:22. 49

Tome II.
 
Annotationen