DOI Heft:
Rapport de M. Pierre Marcel secrétaire, sur l'état des travaux de la Société
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D’abord, nous achèverons les publications commencées,
tant celles de M. Lemonnier que celles de MM. Courboin
et Roux. Nous redonnerons à notre Bulletin son ancienne
importance, mais, pour des raisons d’économie que vous
comprendrez sans que j’y insiste, nous le ferons paraître
en deux fascicules annuels au lieu de quatre. Pour nos
Archives de 1921, sans qu’une décision définitive ait
encore été prise, nous pensons pouvoir publier le travail
de M. Gourteault, professeur à la Faculté de Bordeaux,
sur la Place Royale de Bordeaux. Ce travail, qui apporte
une contribution nouvelle et intéressante à l’histoire de
la ville de Bordeaux, formerait une publication de
25o pages environ. Nous espérons que des subventions
locales nous permettront de l’illustrer abondamment. Nos
volumes d’Archives suivants ne manqueront pas de
matière. Le comte Alexandre Delaborde a bien voulu
mettre à la disposition de notre Président M. Stein, pour
les publier par la Société si elle le jugeait utile, les docu-
ments inédits réunis par son père sur l’État civil des
artistes parisiens. Enfin, nous avons en manuscrit un tra-
vail considérable et très précieux que nous devons à la
persévérante et consciencieuse activité de notre collègue
M. Roux, bibliothécaire au Cabinet des Estampes : la
Table méthodique des publications de la Société de l’His-
toire de l’Art français depuis sa fondation. Ai-je besoin
de dire quel précieux élément de travail fournira l’édition
de ses fiches que nous ferons petit à petit, car l’ensemble
ne constituera pas moins de six volumes.
Bien que ces projets fournissent un élément important
à notre activité, nous ne devons pas nous reposer. Nous
vous demandons instamment de nous apporter toutes les
idées de publications relatives à l’art français qui vous
semblent rentrer dans notre cadre. Notre Comité les exa-
minera toutes avec la plus grande attention, et notre
Comité des fonds cherchera les moyens de les réaliser.
Certes, nos ressources sont réduites. D’abord, nous
n’avons pas encore retrouvé notre ancien nombre de
sociétaires. De plus, le prix du papier a quadruplé, le prix
dé l’impression a triplé. Nos cotisations sont restées au
prix d’avant-guerre. Il y aura lieu de discuter si nous
D’abord, nous achèverons les publications commencées,
tant celles de M. Lemonnier que celles de MM. Courboin
et Roux. Nous redonnerons à notre Bulletin son ancienne
importance, mais, pour des raisons d’économie que vous
comprendrez sans que j’y insiste, nous le ferons paraître
en deux fascicules annuels au lieu de quatre. Pour nos
Archives de 1921, sans qu’une décision définitive ait
encore été prise, nous pensons pouvoir publier le travail
de M. Gourteault, professeur à la Faculté de Bordeaux,
sur la Place Royale de Bordeaux. Ce travail, qui apporte
une contribution nouvelle et intéressante à l’histoire de
la ville de Bordeaux, formerait une publication de
25o pages environ. Nous espérons que des subventions
locales nous permettront de l’illustrer abondamment. Nos
volumes d’Archives suivants ne manqueront pas de
matière. Le comte Alexandre Delaborde a bien voulu
mettre à la disposition de notre Président M. Stein, pour
les publier par la Société si elle le jugeait utile, les docu-
ments inédits réunis par son père sur l’État civil des
artistes parisiens. Enfin, nous avons en manuscrit un tra-
vail considérable et très précieux que nous devons à la
persévérante et consciencieuse activité de notre collègue
M. Roux, bibliothécaire au Cabinet des Estampes : la
Table méthodique des publications de la Société de l’His-
toire de l’Art français depuis sa fondation. Ai-je besoin
de dire quel précieux élément de travail fournira l’édition
de ses fiches que nous ferons petit à petit, car l’ensemble
ne constituera pas moins de six volumes.
Bien que ces projets fournissent un élément important
à notre activité, nous ne devons pas nous reposer. Nous
vous demandons instamment de nous apporter toutes les
idées de publications relatives à l’art français qui vous
semblent rentrer dans notre cadre. Notre Comité les exa-
minera toutes avec la plus grande attention, et notre
Comité des fonds cherchera les moyens de les réaliser.
Certes, nos ressources sont réduites. D’abord, nous
n’avons pas encore retrouvé notre ancien nombre de
sociétaires. De plus, le prix du papier a quadruplé, le prix
dé l’impression a triplé. Nos cotisations sont restées au
prix d’avant-guerre. Il y aura lieu de discuter si nous