LE PREMIER SALON DU XXe SIÈCLE
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Cosson, René Fath, Duchemin, André Rebut, Soulange-Rodin,
Louis Tauzin, Albert Wallet, Guéry, Modeste Carpentier (A. F.),
que MM. Lucien et Georges Griveau, Damoye, Prinet, Emile Rou-
lard, Etienne Moreau-Nélaton, René Rillotte, Riessy, Chudant, Henri
Havet, Maurice Courant, Meslé, Moullé, Le Camus, Rivey (S. N.),
trouvent du moins ici l’expression sincère du regret que j’éprouve
à ne point pouvoir essayer de dire ici combien leur œuvre nous fait
LA MARNE A SAINT-AÜLDE LE SOIR, PAR M. A. BOUCHÉ
(Société des Artistes français.)
mieux aimer cet admirable pays de France dont les étrangers ne
sont pas, tant s’en faut, les derniers à goûter le charme et que leurs
efforts réunis finiront peut-être un jour par faire enfin connaître à
ses propres enfants.
L’Algérie a, elle aussi, ses fervents, et à côté des paysages ruti-
lants et pulvérulents de M. Dinet (S. N.), voici ceux où M. Albert
Aublet (A. F.) montre qu’il y a en lui plus et mieux que l’auteur du
Lavabo des réservistes, et les scènes de la vie arabe où M. Arnédée
Ruffet (A. F.) continue dignement la tradition de Gustave Guillaumet.
Venise exerce toujours sur les artistes de tous pays son irrésistible
XXVI. — 3* PÉRIODE.
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Cosson, René Fath, Duchemin, André Rebut, Soulange-Rodin,
Louis Tauzin, Albert Wallet, Guéry, Modeste Carpentier (A. F.),
que MM. Lucien et Georges Griveau, Damoye, Prinet, Emile Rou-
lard, Etienne Moreau-Nélaton, René Rillotte, Riessy, Chudant, Henri
Havet, Maurice Courant, Meslé, Moullé, Le Camus, Rivey (S. N.),
trouvent du moins ici l’expression sincère du regret que j’éprouve
à ne point pouvoir essayer de dire ici combien leur œuvre nous fait
LA MARNE A SAINT-AÜLDE LE SOIR, PAR M. A. BOUCHÉ
(Société des Artistes français.)
mieux aimer cet admirable pays de France dont les étrangers ne
sont pas, tant s’en faut, les derniers à goûter le charme et que leurs
efforts réunis finiront peut-être un jour par faire enfin connaître à
ses propres enfants.
L’Algérie a, elle aussi, ses fervents, et à côté des paysages ruti-
lants et pulvérulents de M. Dinet (S. N.), voici ceux où M. Albert
Aublet (A. F.) montre qu’il y a en lui plus et mieux que l’auteur du
Lavabo des réservistes, et les scènes de la vie arabe où M. Arnédée
Ruffet (A. F.) continue dignement la tradition de Gustave Guillaumet.
Venise exerce toujours sur les artistes de tous pays son irrésistible
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