LES PEINTRES NIÇOIS DES XV' ET XVIe SIÈCLES
O
(troisième article1)
III. - ŒUVRES d’ANTOINE ET DE FRANÇOIS BRÉA.
TETE DU « SAINT SEBASTIEN»
DE FRANÇOIS BRÉA
(Appartient à M. Salomon.)
les retables exécutés par
L'exemple de Louis Bréa avait
suscité dans sa famille d’autres voca-
tions artistiques. Mais, pour ceux de
ses parents qui s’adonnèrent à la
peinture, on est loin d’être aussi
bien renseigné que pour lui-même
et l’on ne peut montrer une aussi
belle collection d’œuvres. Ils furent
d’ailleurs trop éclipsés par la renom-
mée de leur aîné, auprès de qui ils
durent travailler souvent, qu’ils durent
aider plus d’une fois et dont ils s’in-
spirèrent très fréquemment. Peut-être,
si l’on possédait des documents assez
nombreux et assez explicites, se ren-
drait-on compte de la part de colla-
boration qui doit leur revenir dans
Louis.
Donc, trois artistes niçois portèrent encore le nom de Bréa. Lf
t. V. Gazette des Beaux-Arts, 1912, t. I, p. 280 et 379. — Les lecteurs de mon
deuxième article se sont sans doute aperçus que le cliché du retable de Saint
Nicolas, reproduit à la page 386, a été retourné, de telle façon que l’image se pré-
sente a l’envers. Ils auront corrigé également la phrase de la page 410 (ligne 14
et 15) : << Plus tard nous dirons que le tableau est resté... », et rectifié en :
« Plus tard, nous dirons qui. Le tableau est resté... » Je ferai enfin remarquer
que c’est à tort que l’on a ajouté sous la figure de la page 409 et de la planche hors
texte de la Vierge immaculée l’attribution à Louis Bréa. Les pages qui suivent
montreront que je reconnais dans le retable de Bonson la main d’Antoine Bréa
et dans celui de Sospel la facture de François Bréa.
O
(troisième article1)
III. - ŒUVRES d’ANTOINE ET DE FRANÇOIS BRÉA.
TETE DU « SAINT SEBASTIEN»
DE FRANÇOIS BRÉA
(Appartient à M. Salomon.)
les retables exécutés par
L'exemple de Louis Bréa avait
suscité dans sa famille d’autres voca-
tions artistiques. Mais, pour ceux de
ses parents qui s’adonnèrent à la
peinture, on est loin d’être aussi
bien renseigné que pour lui-même
et l’on ne peut montrer une aussi
belle collection d’œuvres. Ils furent
d’ailleurs trop éclipsés par la renom-
mée de leur aîné, auprès de qui ils
durent travailler souvent, qu’ils durent
aider plus d’une fois et dont ils s’in-
spirèrent très fréquemment. Peut-être,
si l’on possédait des documents assez
nombreux et assez explicites, se ren-
drait-on compte de la part de colla-
boration qui doit leur revenir dans
Louis.
Donc, trois artistes niçois portèrent encore le nom de Bréa. Lf
t. V. Gazette des Beaux-Arts, 1912, t. I, p. 280 et 379. — Les lecteurs de mon
deuxième article se sont sans doute aperçus que le cliché du retable de Saint
Nicolas, reproduit à la page 386, a été retourné, de telle façon que l’image se pré-
sente a l’envers. Ils auront corrigé également la phrase de la page 410 (ligne 14
et 15) : << Plus tard nous dirons que le tableau est resté... », et rectifié en :
« Plus tard, nous dirons qui. Le tableau est resté... » Je ferai enfin remarquer
que c’est à tort que l’on a ajouté sous la figure de la page 409 et de la planche hors
texte de la Vierge immaculée l’attribution à Louis Bréa. Les pages qui suivent
montreront que je reconnais dans le retable de Bonson la main d’Antoine Bréa
et dans celui de Sospel la facture de François Bréa.