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Payer, Jean-Baptiste
Traité d'organogénie comparée de la fleur (Band 1): Texte — 1857

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https://doi.org/10.11588/diglit.9757#0094

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80 ORDRE DES TROI'OEOLÉES.

trois premières élamines sont de môme grandeur, et il est impossible de [dire si l une

d'elles est née avant les autres ; p, pétales.
Fig. 7. C'est la fig. G vue de côté pour indiquer la hauteur à laquelle naissent les élamines,

et, sur le réceptacle : p, pétales ; s1, s2, s3, s4, s5, sépales; et, élamines.
Fig. 8. Fleur plus âgée, dans laquelle les huit étamines, et, sont nées. Il y en a d'abord

quatre grosses superposées aux sépales, s1, s3, s4, s5 ; puis deux petites superposées aux

deux pétales latéraux, p', puis deux autres, dont l'une de grandeur moyenne et l'autre très

petite, qui sont comme superposées au sépale, s2. Il n'y a encore aucune trace du pistil.
Fig. 9. Pistil naissant. Ce sont trois petits bourrelets, cp, à la base do chacun desquels est

creusée une petite fossette, Ig, rudiment d'une loge.
Fig. 10. Pistil plus âgé. Les trois bourrelets, cp, ont grandi; ils se sont soudés entre eux

de façon à former une sorte d'enceinte continue à trois crénelures. En outre, les fossettes

qui se sont formées à la base de ces bourrelets sont devenues plus profondes.
Fig. M. Coupe longitudinale du pistil de la fig. 10 : cp, carpelle; Ig, loge.
Fig. 12. Bouton avant la formation de l'éperon. La préfioraison du calice est quinconciale,

et, par suite de l'évasement du réceptacle, les sépales semblent connés à leur base.
Fig. 13. Le même, dont on a coupé le calice, s, pour montrer les développements relatifs

des pétales et des élamines, el ; l'ordre d'apparition de ces étamines est encore indiqué

par leur différence de grandeur : p/', pétales postérieurs; p', pétales latéraux : p", pétale

antérieur.

Fig. 14. Bouton d'une fleur plus âgée. On aperçoit l'éperon , ep, qui s'est creusé du côté
postérieur; s1, s2, s3, sépales.

Fig. 18. Le même, dont on a coupé le calice pour montrer les développements relatifs des
pétales et des étamines, cl; pi', pétales postérieurs: p', pétales latéraux; p", pétale an-
térieur ; ep, éperon. Quand on compare la fig. t 5 à la hg. I 3, on est surpris de voir com-
bien les étamines ont grandi lorsque les pétales sont restés à peu près stationnaires.

Fig. 16. Le même, dont on a coupé, outre le calice, les étamines, el, et les trois pétales,
p', et p", en sorte qu'il ne reste plus que les pétales postérieurs, pp. Le réceptacle s'est
creusé pour former l'éperon, ep, entre le pistil et le sépale, s2, et a écarté beaucoup de
l'androcée et du pistil ces deux pétales postérieurs, £f.

Fig. 17. C'est la fleur de la fig. 45 coupée longitudinalcment pour faire voir la profondeur
de l'éperon, ep, celle des loges de l'ovaire et l'apparition de l'ovule, ol, dans l'angle
interne ; p'', pétale postérieur.

Fig. 18. Pistil plus âgé dont on a déchiré une loge sur le dos, afin de montrer l'ovule ol
suspendu dans l'angle interne de la loge; [u, cordon ombilical.

Fig. 19. Le même, coupé longitudinalcment pour faire voir la profondeur de la loge et l'in-
sertion de l'ovule, ol.

Fig. 20. Pistil un peu plus développé. La membrane continue qui soulève les branches

sligmatiques s'est accrue el forme un style, st, assez allongé; ov, ovaire.
Fig. 21. Fleur de Tropœolum majus épanouie.

Fig. 22. Coupe longitudinale de cette Heur : p", moitié du pétale antérieur; p', pétale
latéral: p'1, pétale postérieur; ep, cavité do l'éperon; s, sépales; si, style; ol, ovule;
cl, étamines.

Fig. 23. Pistil isolé et grossi avec deux étamines, dont l'une, cm*, est entière, et l'autre, a»,

coupée dans sa longueur.
Fig. 24. Extrémité d'une branche stigmatiquo.
Fig. 25. Ovule dans sa loge : m, micropyle: h, hilo.

Fig. 20. Ovule séparé : m, micropyle; /(, hile; r, raphé. ,
 
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