EXPLICATION DES FIGURES. Z|69
Fig. 4 2. Pistil encore plus âgé. Les stigmates recouvrent toute la cavité ovarienne.
Fig. <I3. Partie supérieure d'un pistil plus développé ; les stigmates, sg, sont soulevés par
une membrane continue qui donne à cette partie supérieure l'aspect d'un dôme surmonté
d'une colonne quinquélobée. .
Fig. 14. La même partie supérieure du pistil vue dans une fleur peu de temps avant
l'épanouissement.
Fig. 1 S. Portion du pistil représenté dans la fig. I 3. On a coupé d'abord ce pistil horizon-
talement, de façon à passer par les loges supérieures et à laisser voir les placentas de
ces loges, pls ; puis on a fait une section longitudinale, divisant une des loges inférieures
de manière à montrer que les placentas, pi', dans ces loges inférieures , s'étendent du
sommet à la base dans l'angle interne. Dans les loges supérieures, où les placentas,
sont horizontaux, les ovules, o/, apparaissent du centre à la circonférence; tandis que
dans les loges inférieures, où les placentas, pi', sont verticaux, ils apparaissent du haut
en bas.
Fig. -IG. On a enlevé toute la partie supérieure du pistil, en sorte qu'on voit à l'extérieur
les loges supérieures, (*, avec leurs placentas, pi-% horizontaux, et au centre les loges
inférieures, /<•', avec leurs placentas axiles, pi'.
Fig. <I7. Coupe verticale d'un ovaire d'une variété de Grenade qui présentait trois étages
de loges. Dans les deux étages supérieurs, les loges et les placentas sont horizontaux .
dans le dernier étage, les loges sont verticales et les placentas axiles. On voit le tube
dans lequel viennent s'ouvrir les loges supérieures, les loges moyennes, /"', et les
loges inférieures, V.
Fig. 'I 8. Placenta isolé et grossi de la fig. 16. On voit que les ovules ont deux envoloppo"..
et apparaissent du centre à la circonférence.
Fig. 1 9. Monstruosité d'un ovaire de Grenade dans laquelle les loges sont très nombreuses,
tant dans l'étage supérieur que dans l'étage inférieur, et où les stigmates, sg1, des loge
inférieures, /', sont plus ou moins développés.
Fig. 20. Jeune ovule.
59
Fig. 4 2. Pistil encore plus âgé. Les stigmates recouvrent toute la cavité ovarienne.
Fig. <I3. Partie supérieure d'un pistil plus développé ; les stigmates, sg, sont soulevés par
une membrane continue qui donne à cette partie supérieure l'aspect d'un dôme surmonté
d'une colonne quinquélobée. .
Fig. 14. La même partie supérieure du pistil vue dans une fleur peu de temps avant
l'épanouissement.
Fig. 1 S. Portion du pistil représenté dans la fig. I 3. On a coupé d'abord ce pistil horizon-
talement, de façon à passer par les loges supérieures et à laisser voir les placentas de
ces loges, pls ; puis on a fait une section longitudinale, divisant une des loges inférieures
de manière à montrer que les placentas, pi', dans ces loges inférieures , s'étendent du
sommet à la base dans l'angle interne. Dans les loges supérieures, où les placentas,
sont horizontaux, les ovules, o/, apparaissent du centre à la circonférence; tandis que
dans les loges inférieures, où les placentas, pi', sont verticaux, ils apparaissent du haut
en bas.
Fig. -IG. On a enlevé toute la partie supérieure du pistil, en sorte qu'on voit à l'extérieur
les loges supérieures, (*, avec leurs placentas, pi-% horizontaux, et au centre les loges
inférieures, /<•', avec leurs placentas axiles, pi'.
Fig. <I7. Coupe verticale d'un ovaire d'une variété de Grenade qui présentait trois étages
de loges. Dans les deux étages supérieurs, les loges et les placentas sont horizontaux .
dans le dernier étage, les loges sont verticales et les placentas axiles. On voit le tube
dans lequel viennent s'ouvrir les loges supérieures, les loges moyennes, /"', et les
loges inférieures, V.
Fig. 'I 8. Placenta isolé et grossi de la fig. 16. On voit que les ovules ont deux envoloppo"..
et apparaissent du centre à la circonférence.
Fig. 1 9. Monstruosité d'un ovaire de Grenade dans laquelle les loges sont très nombreuses,
tant dans l'étage supérieur que dans l'étage inférieur, et où les stigmates, sg1, des loge
inférieures, /', sont plus ou moins développés.
Fig. 20. Jeune ovule.
59