Revue archéologique — 14.1866
Cite this page
Please cite this page by using the following URL/DOI:
https://doi.org/10.11588/diglit.24256#0145
DOI article:
Arbois de Jubainville, Henri d': Note sur les analogies probables de la déclinaison celtique avec la déclinaison sanscrite
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.24256#0145
ANALOGIES PROBABLES DE LA DECLINAISON CELTIQUE, ETC. 141
riel se lerrainent par une consonne, sauf le nominatif et l’accusatif
neutres. 11 ,ß 1
Voici donc oü resident les seules differences que nous püissions
signaler entre la declinaison sanscrite et la declinaison celtique :
1° Le nominatif pluriel mascuiin, qui se lennine en sanscrit par
une consonne, se tenninait en celtique, aux moins dans certains
mots, par une voyelle, comme dans la seconde declinaison latirie
Domini, et comme dans la seconde declinaison grecque Aovo-.;
2° Le nominatif et l’accusatif pluriels neutres se terminaient en
celtique par une consonne, ce qui parait avoir ete un caractere parti-
culier ä la langue celtique (1).
H. d’Arbois de Jübalnville.
(l) Le pronom demonstratif latin, Hic, dous donne cependant l’exemple d’un no-
minatif et d’un accusatif plurieh neutres terminds par une consonne.
riel se lerrainent par une consonne, sauf le nominatif et l’accusatif
neutres. 11 ,ß 1
Voici donc oü resident les seules differences que nous püissions
signaler entre la declinaison sanscrite et la declinaison celtique :
1° Le nominatif pluriel mascuiin, qui se lennine en sanscrit par
une consonne, se tenninait en celtique, aux moins dans certains
mots, par une voyelle, comme dans la seconde declinaison latirie
Domini, et comme dans la seconde declinaison grecque Aovo-.;
2° Le nominatif et l’accusatif pluriels neutres se terminaient en
celtique par une consonne, ce qui parait avoir ete un caractere parti-
culier ä la langue celtique (1).
H. d’Arbois de Jübalnville.
(l) Le pronom demonstratif latin, Hic, dous donne cependant l’exemple d’un no-
minatif et d’un accusatif plurieh neutres terminds par une consonne.