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0.5
1 cm
Note sur la lecture d'un signe d'époque ptolémaïque.
197
11, 5, 1. 7—8) «Cette place est celle de Raft-Harmakhis acclamée en sa forme et de Makerit,
»le grand château d'Isis1 où l'on dause et saute jour et nuit, [la place] d'Hor-Samtowi, le
» puissant, en qualité de dieu de Hibit, Pi-Ten dans Khadout, dans la place Masi-nou-nit-
Hathor-Amsit. 2 »
ïsalle faô'rtj est en joie; musique et danse dans Pi-Anit de [la déesse! Anit.»
II.
A côté de ces divers sens bien détiuis par les exemples donnés plus haut, nous trou-
vons le signe _, employé dans des formules du type de celle-ci : a_o (I -âè °
v /-i^ji i.3 Ici comme ailleurs, la phrase, très claire, montre suffisamment que
la traduction «émerveiller son cœur» est inapplicable. L'offrande du vin, ordinairement,
n'émerveille pas le dieu auquel elle est adressée; elle le pacifia, le rend favorable,, le réjouit
ou lui produit un effet de ce genre, le plus souvent rendu par le verbe """^ hotj), ou par
son factitif =S= sehotp. A Edfou, le roi offrant le vin à son nère C\ /-a_<, fl •1
L'offrande, quelle que soit sa composition, pacifie, calme, rend favorable ou joyeux, niais,
jamais, ou du moins très rarement, à ma connaissance, elle n''émerveille la cœur de la
divinité à qui elle est faite. Lorsque Ah'i offre le sistre ou la ménait à sa mère Hathor, il
calme le cœur de la déesse ou le réjouit par le son de son instrument. = k-lf
|? f «J'ai fait, dit-il, le rite du sistre à la Dame du sistre g « <^JI^>
parce qu'elle aime. »5 Le sens attaché au verbe est donc, je crois. E_
ont rendu, dans bien des cas, par le signe ^_r Je ne me montrerai
affirmatif pour cette valeur que pour la précédente. Elle offre en effet E_
11 arrive pour ce mot ce qui se présente fréquemment; à côté de variaiE ^
pour ainsi dire à voir daus ce mot une tonne de hotp, nous en trot E_
sens de khent on de quelqu'un de ses synonymes s'appliquerait tout ; = 2
distinction est rendue encore plus délicate lorsque nous rencontrons des E_ C
celles-ci : 4^(1* LS{\« à côté de ^^P^S | H,' de ; , = » Q
*58 ou de ^ ^ §§ ; - ^ ^ - à côté de jj |J. * ^, £ ,, q
r^^L/1 ou de 12 | £
1 ] Bbuqbch, UicL yéogr., p. 638. E— q —
2) M., p. 553.
3) de Rochemoxtkix, Edfoii, couloir mystérieux, Co. 3 <£. iii,
4) .ta., p. 71, 7ie. 2 i, L 2. E ^
5) Dendérah, III, 61. =" ûi
6) Temp.-Tnachr., ii, 29, 1. 12; Dendérah, l, 87 d. E m ^_ cÔ
7) 7d., II, 7, L 7—8. - . — J>
8) 23., I, 35, L 5—0.
9) Dendérah, I, 39 4.
10) Kal.-Inschr., 110, L 1^2.
11) Id., 112, I. 30. 1_
12) Dendérah, II. 68 6. E-^ 3
Recueil, XIV. E. q
F ô
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11, 5, 1. 7—8) «Cette place est celle de Raft-Harmakhis acclamée en sa forme et de Makerit,
»le grand château d'Isis1 où l'on dause et saute jour et nuit, [la place] d'Hor-Samtowi, le
» puissant, en qualité de dieu de Hibit, Pi-Ten dans Khadout, dans la place Masi-nou-nit-
Hathor-Amsit. 2 »
ïsalle faô'rtj est en joie; musique et danse dans Pi-Anit de [la déesse! Anit.»
II.
A côté de ces divers sens bien détiuis par les exemples donnés plus haut, nous trou-
vons le signe _, employé dans des formules du type de celle-ci : a_o (I -âè °
v /-i^ji i.3 Ici comme ailleurs, la phrase, très claire, montre suffisamment que
la traduction «émerveiller son cœur» est inapplicable. L'offrande du vin, ordinairement,
n'émerveille pas le dieu auquel elle est adressée; elle le pacifia, le rend favorable,, le réjouit
ou lui produit un effet de ce genre, le plus souvent rendu par le verbe """^ hotj), ou par
son factitif =S= sehotp. A Edfou, le roi offrant le vin à son nère C\ /-a_<, fl •1
L'offrande, quelle que soit sa composition, pacifie, calme, rend favorable ou joyeux, niais,
jamais, ou du moins très rarement, à ma connaissance, elle n''émerveille la cœur de la
divinité à qui elle est faite. Lorsque Ah'i offre le sistre ou la ménait à sa mère Hathor, il
calme le cœur de la déesse ou le réjouit par le son de son instrument. = k-lf
|? f «J'ai fait, dit-il, le rite du sistre à la Dame du sistre g « <^JI^>
parce qu'elle aime. »5 Le sens attaché au verbe est donc, je crois. E_
ont rendu, dans bien des cas, par le signe ^_r Je ne me montrerai
affirmatif pour cette valeur que pour la précédente. Elle offre en effet E_
11 arrive pour ce mot ce qui se présente fréquemment; à côté de variaiE ^
pour ainsi dire à voir daus ce mot une tonne de hotp, nous en trot E_
sens de khent on de quelqu'un de ses synonymes s'appliquerait tout ; = 2
distinction est rendue encore plus délicate lorsque nous rencontrons des E_ C
celles-ci : 4^(1* LS{\« à côté de ^^P^S | H,' de ; , = » Q
*58 ou de ^ ^ §§ ; - ^ ^ - à côté de jj |J. * ^, £ ,, q
r^^L/1 ou de 12 | £
1 ] Bbuqbch, UicL yéogr., p. 638. E— q —
2) M., p. 553.
3) de Rochemoxtkix, Edfoii, couloir mystérieux, Co. 3 <£. iii,
4) .ta., p. 71, 7ie. 2 i, L 2. E ^
5) Dendérah, III, 61. =" ûi
6) Temp.-Tnachr., ii, 29, 1. 12; Dendérah, l, 87 d. E m ^_ cÔ
7) 7d., II, 7, L 7—8. - . — J>
8) 23., I, 35, L 5—0.
9) Dendérah, I, 39 4.
10) Kal.-Inschr., 110, L 1^2.
11) Id., 112, I. 30. 1_
12) Dendérah, II. 68 6. E-^ 3
Recueil, XIV. E. q
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