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DER STABKULTUS BEI DEN /EGYPTERN
En lisant ce passage, M. Pétrie éprouvera ie même plaisir que moi, tout en admirant
le génie du grand Zoega1.
A PROPOS DU CULTE DE L'OBÉLISQUE
par
Fr. W. von Bissing
M. Jean Capart (de Bruxelles) m'a communiqué,, au sujet de ma note sur Le Culte
de l'obélisque {Recueil de Travaux, t. XXIV, p. .106 seq.), un passage de l'étude de
E. de Rongé sur les monuments du massif de Karnak, où l'illustre égyptologue a déjà
mis le texte de Karnak, dont il ne donne cependant qu'une paraphrase, en rapport avec
les scarabées montrant un personnage rendant hommage à l'obélisque. Mais ceux qui
liront attentivement le passage en question [Mélanges d'Archéologie, t. I, p. 105)
s'apercevront bientôt que l'explication des faits, telle que E. de Rougé l'a donnée, est
assez différente de celle que j'avais cru devoir proposer. J'ai dit que je développerai mes
idées dans le second volume de la publication du Sanctuaire d'Abousir. Si j'avais
voulu donner une étude sur le sujet au lieu d'une simple note, je n'aurais certainement
pas manqué à discuter les vues que Schiaparelli a émises au sujet de l'obélisque dans
sa belle monographie, Il significato sitnbolico délie piramidi Egiziane, R. Acad. dei
Lincei, 1884; j'aurais aussi dû, ainsi que me l'a fait justement remarquer M. Chassinat,
me servir des scènes relatives au culte de l'obélisque, qui se voient à Edfou et dans
cf'autres temples de basse époque.
DER STABKULTUS BEI DEN iEGYPTERN2
von
Wilhelm spiegklberg
Um wieder einmal an einem Beispiel die grosse Bedeutimg theophorer Eigen-
namen fui' religionsgeschichtliche Fragen zu zeigen, beginne icli cliese Untersuchung
mit den Eigennamen, welche mich zu ihr angeregt haben.
Der Eigenname ^ 'v:ir- û) Ns-p\-md{wy ist zuletzt von Max Mùller
[A.Z., 1893, s. 12?) erôrtert worden. lch sch liesse mich seinen vortrefflichen Aus-
fùhrungen in allen Punkten an, soweit sie Phonetisches betreff'en. Nur fur die sach-
1. Pour le passage de Vansleb, voyez aussi Maspero, Histoire, t. I, p. 513, 3.
2. Erst nachdem die wesentlichen Resultate dieser Studie gewounen wareu, ist mir (1er vortreffliche Auf-
satz von Gkhland, Sceptcr und Zauberstab (Nord und Sud, 1902, S. 51 ff.), zu Gesicht gekommen. Er ist
nicht mir fur die hier behandelte Frage von grosser Bedeutung, sondern auch in mancher antlern Hinsicht
fur den Âcvptologen lehrreieh.
li. Vokalisiert etwn Ens-p-mêteco, assyrisch Ihplmâtu, griechisch 'Eir^-r^'.;.
DER STABKULTUS BEI DEN /EGYPTERN
En lisant ce passage, M. Pétrie éprouvera ie même plaisir que moi, tout en admirant
le génie du grand Zoega1.
A PROPOS DU CULTE DE L'OBÉLISQUE
par
Fr. W. von Bissing
M. Jean Capart (de Bruxelles) m'a communiqué,, au sujet de ma note sur Le Culte
de l'obélisque {Recueil de Travaux, t. XXIV, p. .106 seq.), un passage de l'étude de
E. de Rongé sur les monuments du massif de Karnak, où l'illustre égyptologue a déjà
mis le texte de Karnak, dont il ne donne cependant qu'une paraphrase, en rapport avec
les scarabées montrant un personnage rendant hommage à l'obélisque. Mais ceux qui
liront attentivement le passage en question [Mélanges d'Archéologie, t. I, p. 105)
s'apercevront bientôt que l'explication des faits, telle que E. de Rougé l'a donnée, est
assez différente de celle que j'avais cru devoir proposer. J'ai dit que je développerai mes
idées dans le second volume de la publication du Sanctuaire d'Abousir. Si j'avais
voulu donner une étude sur le sujet au lieu d'une simple note, je n'aurais certainement
pas manqué à discuter les vues que Schiaparelli a émises au sujet de l'obélisque dans
sa belle monographie, Il significato sitnbolico délie piramidi Egiziane, R. Acad. dei
Lincei, 1884; j'aurais aussi dû, ainsi que me l'a fait justement remarquer M. Chassinat,
me servir des scènes relatives au culte de l'obélisque, qui se voient à Edfou et dans
cf'autres temples de basse époque.
DER STABKULTUS BEI DEN iEGYPTERN2
von
Wilhelm spiegklberg
Um wieder einmal an einem Beispiel die grosse Bedeutimg theophorer Eigen-
namen fui' religionsgeschichtliche Fragen zu zeigen, beginne icli cliese Untersuchung
mit den Eigennamen, welche mich zu ihr angeregt haben.
Der Eigenname ^ 'v:ir- û) Ns-p\-md{wy ist zuletzt von Max Mùller
[A.Z., 1893, s. 12?) erôrtert worden. lch sch liesse mich seinen vortrefflichen Aus-
fùhrungen in allen Punkten an, soweit sie Phonetisches betreff'en. Nur fur die sach-
1. Pour le passage de Vansleb, voyez aussi Maspero, Histoire, t. I, p. 513, 3.
2. Erst nachdem die wesentlichen Resultate dieser Studie gewounen wareu, ist mir (1er vortreffliche Auf-
satz von Gkhland, Sceptcr und Zauberstab (Nord und Sud, 1902, S. 51 ff.), zu Gesicht gekommen. Er ist
nicht mir fur die hier behandelte Frage von grosser Bedeutung, sondern auch in mancher antlern Hinsicht
fur den Âcvptologen lehrreieh.
li. Vokalisiert etwn Ens-p-mêteco, assyrisch Ihplmâtu, griechisch 'Eir^-r^'.;.