Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Institut Français d'Archéologie Orientale <al-Qāhira> [Hrsg.]; Mission Archéologique Française <al-Qāhira> [Hrsg.]
Recueil de travaux relatifs à la philologie et à l'archéologie égyptiennes et assyriennes: pour servir de bullletin à la Mission Française du Caire — 25.1903

DOI Heft:
Nr. 1-2
DOI Artikel:
Köster, August: Die ägyptische Pflanzensäule der Spätzeit: (vom Ausgange des neuen Reiches bis zur römischen Kaiserzeit)
DOI Artikel:
Bissing, Friedrich Wilhelm von: Mtn et wAjt
DOI Artikel:
Bissing, Friedrich Wilhelm von: Eine Libationsformel aus dem Neuen Reich
DOI Seite / Zitierlink:
https://doi.org/10.11588/diglit.12430#0131

DWork-Logo
Überblick
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
EINE LIBATIONSFORMEL AUS DEM NEUEN REICH

119

Verlaufe der agyptischen Tempelarchitektur jede Beeinflussung von griechisch-
rômischer Seite ablehnte. Desgleichen haben wir erkannt, dass die Sàulen der Spât-
zeit ihrerseits wiederum nicht imstande waren, nachhaltig auf die klassischen Sàulen-
formen einzuwirken und ihnen ihr Geprâge aufzuclrûcken, sondera dass beide Formen
rein nebeneinander herliefen, so lange ùberhaupt die àgyptische Architektur sich
einiger Selbstândigkeit erfreute. Vor allen Dingen aber hat sich uns zum Schluss die
Ûberzeugung aufgedrângt, dass wir nicht der Ptolemàerzeit die Entstehung der nach
ihr benannten Sâulen- und Kapitellformen verdanken, dass die Lagiden auch auf
diesem Gebiete durchaus nichts Neues geschaffen haben, sondera dass die sogenann-
ten Ptolemâersàulen eine Errungenschaft der XXVI. Dynastie sind, der Période von
Sais, deren Bedeutung fur das Wiederaufblùhen der Pharaonenkunst uns immer mehr
zum Bewusstsein kommt und im Laufe der Zeit durch Grabungen an geeignetem
Ort unzweifelhaft dargethan werden wird.

ET fl'^LM

PAR

Fr. W. von Bissing

On sait depuis longtemps que les Égyptiens possédaient deux mots différents
signifiant d'une manière générale le chemin, mais je ne me rappelle pas avoir lu qu'on
ait jamais établi la différence entre ces deux mots. Or, ^\ Q %5, ainsi que l'a vu,

après Brugsch, Steindorff, Koptische Grammatik, p. 54, § 84, est une forme du
préfixe, et de ' ^ \ «s'élever», «se faire grand» (Brugsch, Wôrterb.,

1549, voir aussi p. 625), et, étymologiquement, signifie la voie élevée, la digue (en arabe
gisr). Au contraire, -Ç] t^? me semble être plutôt un sentier (en arabe darb), ou
aussi un mot moins défini comme l'arabe sikkeh. On doit se souvenir-qu'en Égypte les
digues, s'élevant au-dessus des terres cultivées et inondées, sont, pendant une grande
partie de l'année, les seules voies de communication. Le mot a donc pris

plus tard le sens de « voie », et on ne s'étonnera pas de le rencontrer dans le récit de
la bataille de Mageddo, lorsqu'il s'agit des routes que peuvent prendre les corps d'armée
égyptiens. D'autre part, le dieu d'Abydos, ^^^àsy n'ouvrait certainement pas aux
âmes des défunts des voies, mais bien de petits sentiers par où l'âme s'échappait
dans l'autre monde.

EINE LIBATIONSFORMEL AUS DEM NEUEN REICH

VON

Fr. W. von Bissing

Im XXIII Band dieser Zeitschrift habe ich auf S. 41, An m. 1, versprochen den von
Virey aus der Tombe des Vignes herausgegebenen Text des neuen Reichs nachzu-
 
Annotationen