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Institut Français d'Archéologie Orientale <al-Qāhira> [Editor]; Mission Archéologique Française <al-Qāhira> [Editor]
Recueil de travaux relatifs à la philologie et à l'archéologie égyptiennes et assyriennes: pour servir de bullletin à la Mission Française du Caire — 31.1909

DOI issue:
Nr. 3-4
DOI article:
Müller, Wilhelm Max: The false r in archaic egyptian orthography
DOI article:
Legrain, Georges: Recherches généalogiques, [2]
DOI Page / Citation link: 
https://doi.org/10.11588/diglit.12678#0217

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RECHERCHES GÉNÉALOGIQUES

201

with the wide considération given to calligraphie arrangements of the hieroglyphs,
as especially Lacau has shown. Besides, wr for the absent syllabic sign *toij fur-
nishes an explanation. Both reasons apply to uxo, etc. We need, however, more
material for a full définition of the use.

This paper is merely a fragment of a ms. written in 1898 and now not brought up
to date in every point. I hope to résume thèse investigations later, on a more com-
plète scale; in the meantime, I trust, this fragmentary sketch will suffice to illustrate
that the Egyptian writing will turn ont more and more imperfect and complicated
the more we investigate it. Spiegelberg (Gôtt. G. A., 1908, p. 119) lately has ex-
pressed this well : "it was an infant System of writing", and it never lost that im-
perfect character entirely.

RECHERCHES GÉNÉALOGIQUES

PAR

Georges Legrain
II

LES PREMIERS PROPHÈTES D'OSIRIS D'ABYDOS
SOUS LA XIX0 DYNASTIE

Les premiers prophètes d'Osiris, qui, sous Séti Ior et Ramsès II, présidèrent à
l'édification des grands temples d'Abydos, ont laissé après eux une assez grande quantité
de statues, stèles, bas-reliefs, etc., qui nous permettent de reconstituer leur dossier de
famille et d'apprendre les liens de parenté qui les rattachaient entre eux.

Dans l'étude que nous présentons ici, nous nous sommes attaché à rassembler le
plus possible des documents connus ou inédits et à ne les rapprocher les uns des autres
que lorsque leur rapprochement nous a paru possible. Il est résulté de cette étude que
la valeur du mot l frère sera désormais moins charnelle et plutôt entendue comme
une relation sociale ou affective, comme le mot frère en arabe et dans certaines so-
ciétés ou confréries. En même temps, la dame Maanouï nous apparaît moins souvent
mariée qu'on ne l'avait cru tout d'abord, et tous les frères d'Ounnofré ne sont pas issus
d'elle. Enfin, notre tableau généalogique est assez différent de celui que M. A. Weigall
et M. F. Pétrie ont préconisé à la suite des nouvelles fouilles d'Abydos. J'avoue être
remonté jusqu'aux sources qu'ils ont indiquées et n'avoir pas toujours apprécié comme
eux les documents qu'ils ont fournis : j'ajouterai qu'en parcourant certains ouvrages, j'ai
pu relever et parfois corriger quelques erreurs qui s'y étaient glissées. Est-ce à dire par
cela que je désire m'ériger en critique acerbe et même entreprendre une polémique
contre tel ou tel égyptologue? Je n'en ai nullement le dessein. J'ai tâché de mettre de
l'ordre dans certains documents que je croyais mal classés et d'autres inédits ou peu

RECUEIL, XXXI. — NOUV. SÉR., XV. 26
 
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