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Lemonnier, Henry: Le Xe congrès international d'histoire de l'art
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.18478#0366
— 346 —
pour le prochain Congrès. On en comprendra mieux la
portée si je rends compte en quelques mots de l’état de
choses antérieur.
D’après les derniers statuts, la constitution adoptée
était celle-ci1 :
Un comité permanent composé de sept membres (mais
qui pouvait s’augmenter par cooptation) exerçait tous les
pouvoirs de direction générale, d’administration, etc.,
dans l’intervalle des sessions.
Un bureau (giunta amministrativa), composé d’un prési-
dent, d’un vice-président, d’un secrétaire et d’un trésorier,
était l’organe exécutif du comité permanent pour l’orga-
nisation du Congrès.
Il avait à côté de lui un comité local (comitato locale
ordinatore), chargé des mesures préparatoires, des ques-
tions relatives à la tenue des séances, aux conférences,
etc. Les membres en étaient pris parmi les nationaux du
pays où devait se tenir le Congrès.
Les trois corps délibéraient tantôt ensemble, tantôt
séparément, mais restaient toujours en étroite union.
Ces dispositions n’ont été modifiées que dans certains
détails, mais aussi sur un point important.
En effet, le comité permanent a été considérablement
élargi et est devenu véritablement international.
Il comprend vingt-cinq membres environ, les différentes
nations affiliées y ayant un, deux ou trois représentants,
élus par le comité existant en 1912 et confirmés par l’as-
semblée générale du Congrès. Ce sont, pour la France,
nos confrères Jules Guiffrey et André Michel, et M. Dieu-
lafoy, délégué du ministère de l’Instruction publique au
Congrès de Rome.
Le bureau (giunta) a pour président votre confrère, —
— le président devait être Français, — pour vice-président
le professeur Hermanin, pour secrétaire le professeur
Haseloff, pour trésorier le professeur Papini. Il siégera à
Rome.
Le comité local sera français.
♦
1. Voir Statuti dei Congressi interna\ionali di Storia dell’
arte (édités aussi en allemand).
pour le prochain Congrès. On en comprendra mieux la
portée si je rends compte en quelques mots de l’état de
choses antérieur.
D’après les derniers statuts, la constitution adoptée
était celle-ci1 :
Un comité permanent composé de sept membres (mais
qui pouvait s’augmenter par cooptation) exerçait tous les
pouvoirs de direction générale, d’administration, etc.,
dans l’intervalle des sessions.
Un bureau (giunta amministrativa), composé d’un prési-
dent, d’un vice-président, d’un secrétaire et d’un trésorier,
était l’organe exécutif du comité permanent pour l’orga-
nisation du Congrès.
Il avait à côté de lui un comité local (comitato locale
ordinatore), chargé des mesures préparatoires, des ques-
tions relatives à la tenue des séances, aux conférences,
etc. Les membres en étaient pris parmi les nationaux du
pays où devait se tenir le Congrès.
Les trois corps délibéraient tantôt ensemble, tantôt
séparément, mais restaient toujours en étroite union.
Ces dispositions n’ont été modifiées que dans certains
détails, mais aussi sur un point important.
En effet, le comité permanent a été considérablement
élargi et est devenu véritablement international.
Il comprend vingt-cinq membres environ, les différentes
nations affiliées y ayant un, deux ou trois représentants,
élus par le comité existant en 1912 et confirmés par l’as-
semblée générale du Congrès. Ce sont, pour la France,
nos confrères Jules Guiffrey et André Michel, et M. Dieu-
lafoy, délégué du ministère de l’Instruction publique au
Congrès de Rome.
Le bureau (giunta) a pour président votre confrère, —
— le président devait être Français, — pour vice-président
le professeur Hermanin, pour secrétaire le professeur
Haseloff, pour trésorier le professeur Papini. Il siégera à
Rome.
Le comité local sera français.
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1. Voir Statuti dei Congressi interna\ionali di Storia dell’
arte (édités aussi en allemand).