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Notes et documents
DOI Artikel:Brière, Gaston: Documents sur Charles Lepeintre de l'Académie de Saint-Luc et sur ses descendants
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révolutionnaires ouverts à tous les artistes, par les cata-
logues des collections du Palais-Royal, enfin par quelques
peintures gravées.
Élève de Pierre, Charles Lepeintre avait été reçu de
l’Académie de Saint-Luc, le 3 juin 1775 L Dans VAlmanach
des artistes de 1776, il est ainsi apprécié : « excellent peintre
de genre, comme scènes familières, rue Beaubourg,
hôtel de Fer ».
Des titres de tableaux envoyés aux expositions par
Ch. Lepeintre montrent, en effet, qu’il cultiva les petits
sujets anecdotiques empruntés à la vie familière, ainsi
que le portrait. Quelques gravures montrent un aspect
plus banal de son talent.
Exposition de l’Académie de Saint-Luc de 17741 2 :
N° 187. Un concert espagnol.
N° 188. Un père de famille servi par ses enfants.
Deux tableaux à l’huile agréés par l’Académie.
N° 189 [sans indication].
N® igo. Un Savoyard faisant voir la curiosité.
N° 191. Unç scène de la comédie d'Isabelle et de Ger-
trude.
No 192. Une famille prenant le thé.
Salon de 1796 :
La mère trompée.
Un devin.
Deux portraits de femme.
Salon de 1798 :
Portraits d’hommes et de femmes.
Salon de 1799 :
Un tableau de genre.
Deux portraits en pied, l’un d’homme, l’autre de femme.
1. Dans l’ouvrage de Jules Guiffrey, Histoire de l’Académie
de Saint-Luc, p. 365, figure la mention d’un autre Charles
Lepeintre reçu maître en 1780, habitant rue des Fossés-Saint-
Germain-l’Auxerrois. Ce doit être probablement un homonyme.
2. Jules Guiffrey, Histoire de l’Académie de Saint-Luc, p. 365.
(Le livret de ce Salon donne, en outre, les dimensions des
tableaux.)
révolutionnaires ouverts à tous les artistes, par les cata-
logues des collections du Palais-Royal, enfin par quelques
peintures gravées.
Élève de Pierre, Charles Lepeintre avait été reçu de
l’Académie de Saint-Luc, le 3 juin 1775 L Dans VAlmanach
des artistes de 1776, il est ainsi apprécié : « excellent peintre
de genre, comme scènes familières, rue Beaubourg,
hôtel de Fer ».
Des titres de tableaux envoyés aux expositions par
Ch. Lepeintre montrent, en effet, qu’il cultiva les petits
sujets anecdotiques empruntés à la vie familière, ainsi
que le portrait. Quelques gravures montrent un aspect
plus banal de son talent.
Exposition de l’Académie de Saint-Luc de 17741 2 :
N° 187. Un concert espagnol.
N° 188. Un père de famille servi par ses enfants.
Deux tableaux à l’huile agréés par l’Académie.
N° 189 [sans indication].
N® igo. Un Savoyard faisant voir la curiosité.
N° 191. Unç scène de la comédie d'Isabelle et de Ger-
trude.
No 192. Une famille prenant le thé.
Salon de 1796 :
La mère trompée.
Un devin.
Deux portraits de femme.
Salon de 1798 :
Portraits d’hommes et de femmes.
Salon de 1799 :
Un tableau de genre.
Deux portraits en pied, l’un d’homme, l’autre de femme.
1. Dans l’ouvrage de Jules Guiffrey, Histoire de l’Académie
de Saint-Luc, p. 365, figure la mention d’un autre Charles
Lepeintre reçu maître en 1780, habitant rue des Fossés-Saint-
Germain-l’Auxerrois. Ce doit être probablement un homonyme.
2. Jules Guiffrey, Histoire de l’Académie de Saint-Luc, p. 365.
(Le livret de ce Salon donne, en outre, les dimensions des
tableaux.)