JEAN-ETIENNE LIOTARD
ET SES ŒUVRES
(DEUXIÈME A P. T I C f. R 1. )
Après le mariage de
celui qu’on aurait pu
croire endurci au céli-
bat, M. et Mme Liotard,
un moment tentés peut-
être de demeurer en Hol-
lande , établirent leur
résidence à Genève.
C’était bien l’heure d’en
finir avec les velléités
nomades et de commen-
cer une-vie sédentaire.
Pendant line douzaine
d’années du moins, on
put voir « le peintre
Turc » fidèle à ses pé-
nates génevois, ou ne
s’en éloignant que pour
des excursions sans im-
portance. C’est qu’en bon bourgeois, prévoyant et sage, il ne devait
plus se soucier de sa seule personne : il avait un foyer, des enfants
1. Yoy. Gazette des Beaux-Arts, 2° période, t. XXXVIIf, p. 353.
I. — 3e PÉRIODE.
12
ET SES ŒUVRES
(DEUXIÈME A P. T I C f. R 1. )
Après le mariage de
celui qu’on aurait pu
croire endurci au céli-
bat, M. et Mme Liotard,
un moment tentés peut-
être de demeurer en Hol-
lande , établirent leur
résidence à Genève.
C’était bien l’heure d’en
finir avec les velléités
nomades et de commen-
cer une-vie sédentaire.
Pendant line douzaine
d’années du moins, on
put voir « le peintre
Turc » fidèle à ses pé-
nates génevois, ou ne
s’en éloignant que pour
des excursions sans im-
portance. C’est qu’en bon bourgeois, prévoyant et sage, il ne devait
plus se soucier de sa seule personne : il avait un foyer, des enfants
1. Yoy. Gazette des Beaux-Arts, 2° période, t. XXXVIIf, p. 353.
I. — 3e PÉRIODE.
12