CHARDIN
AU MUSÉE DU LOUVRE
(deuxième et dernier article 1. )
II.
La théorie de
M. Marcille sur Char-
din est trop curieuse à
connaître pour ne pas
avoir place ici. Venant
d’un tel maître-ama-
teur, elle ne peut man-
quer d’absolue justesse
ni d’application géné-
rale à toutes les œu-
vres du peintre. Outre
les vingt merveilleuses
toiles de sa propre
collection, M. -Eudoxe
Marcille est assuré-
ment le fils et le frère
le plus en état de dé-
finir Chardin. Avec
cette modestie bien
connue et presque extrême, il se défend, naturellement, d’avoir rien
découvert et se contente d’assimiler Chardin aux grands coloristes,
aux maîtres soucieux des rappels. Mais la nouveauté de son point de
vue est justement son entente particulière du système de rappels de
Chardin. Ces répons de tons à tons, le jeu des moindres taches de
U Voy. Gazette des Beaux-Arts, t. XXXVIII, 2® période, p. 54.
i. — 3° PÉRIODE.
16
AU MUSÉE DU LOUVRE
(deuxième et dernier article 1. )
II.
La théorie de
M. Marcille sur Char-
din est trop curieuse à
connaître pour ne pas
avoir place ici. Venant
d’un tel maître-ama-
teur, elle ne peut man-
quer d’absolue justesse
ni d’application géné-
rale à toutes les œu-
vres du peintre. Outre
les vingt merveilleuses
toiles de sa propre
collection, M. -Eudoxe
Marcille est assuré-
ment le fils et le frère
le plus en état de dé-
finir Chardin. Avec
cette modestie bien
connue et presque extrême, il se défend, naturellement, d’avoir rien
découvert et se contente d’assimiler Chardin aux grands coloristes,
aux maîtres soucieux des rappels. Mais la nouveauté de son point de
vue est justement son entente particulière du système de rappels de
Chardin. Ces répons de tons à tons, le jeu des moindres taches de
U Voy. Gazette des Beaux-Arts, t. XXXVIII, 2® période, p. 54.
i. — 3° PÉRIODE.
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