APPENDICE
AU MÉMOIRE
SUR LES ANCIENNES LIMITES
DE
LA MER ROUGE;
Par M. DU BOIS-AYMÉ,
Ingénieur des ponts et chaussées, Membre de la Commission
d'Egypte, Correspondant de l'Institut de France, de la Société
Italienne, des Académies de Turin, Florence, &c.
PREMIÈRE PARTIE.
Etat des Lieux ( i ').
.Depuis la publication Je mon Mémoire sur les anciennes limites de la mer
Rouge , j'ai reconnu la nécessité d'appuyer mon opinion de nouvelles preuves
historiques, et d'ajouter à la description que j'ai déjà donnée des lieux, quelques
faits qui, passés sous silence, pourraient entraîner à de fausses hypothèses. Toute
observation faite sur les lieux mêmes, toute donnée positive, qui tendent à faire
connoître l'état physique du terrain, doivent d'ailleurs être recueillies dans une
collection comme celle-ci , dont le but est d'approcher le plus possible de la
description exacte et complète de l'Egypte.
J'ai dit que le bassin situé au nord de Soueys, et que j'appellerai dorénavant
bassin de l'isthme, n'étoit séparé du golfe Arabique que par un banc de sable
de quatre à cinq mille mètres de largeur, sur un mètre d'élévation dans les parties
les plus hautes de notre ligne de nivellement. Toutes ces mesures étoient un peu
(i) J'ai eu soin de tracer, sur la carte que j'ai jointe aussi de revoir mon Mémoire sur les anciennes limites
à mon Mémoire sur les anciennes branches du Nil, de la mer Rouge, E. M. tom. I, pag. 187, et celui
tout ce qui pouvoit servir à l'intelligence de cet appen- de M. Rozière sur la géographie comparée et l'ancien
dite, ainsi que du Mémoire dont il est la suite. Voir état des côtes de la mer Rouge, A. M. tom, I, pages
cette carte , A. M. tom. 1, pag. 277. H est nécessaire 127 et 221.
É. M. TOME II. Xxxx 2
AU MÉMOIRE
SUR LES ANCIENNES LIMITES
DE
LA MER ROUGE;
Par M. DU BOIS-AYMÉ,
Ingénieur des ponts et chaussées, Membre de la Commission
d'Egypte, Correspondant de l'Institut de France, de la Société
Italienne, des Académies de Turin, Florence, &c.
PREMIÈRE PARTIE.
Etat des Lieux ( i ').
.Depuis la publication Je mon Mémoire sur les anciennes limites de la mer
Rouge , j'ai reconnu la nécessité d'appuyer mon opinion de nouvelles preuves
historiques, et d'ajouter à la description que j'ai déjà donnée des lieux, quelques
faits qui, passés sous silence, pourraient entraîner à de fausses hypothèses. Toute
observation faite sur les lieux mêmes, toute donnée positive, qui tendent à faire
connoître l'état physique du terrain, doivent d'ailleurs être recueillies dans une
collection comme celle-ci , dont le but est d'approcher le plus possible de la
description exacte et complète de l'Egypte.
J'ai dit que le bassin situé au nord de Soueys, et que j'appellerai dorénavant
bassin de l'isthme, n'étoit séparé du golfe Arabique que par un banc de sable
de quatre à cinq mille mètres de largeur, sur un mètre d'élévation dans les parties
les plus hautes de notre ligne de nivellement. Toutes ces mesures étoient un peu
(i) J'ai eu soin de tracer, sur la carte que j'ai jointe aussi de revoir mon Mémoire sur les anciennes limites
à mon Mémoire sur les anciennes branches du Nil, de la mer Rouge, E. M. tom. I, pag. 187, et celui
tout ce qui pouvoit servir à l'intelligence de cet appen- de M. Rozière sur la géographie comparée et l'ancien
dite, ainsi que du Mémoire dont il est la suite. Voir état des côtes de la mer Rouge, A. M. tom, I, pages
cette carte , A. M. tom. 1, pag. 277. H est nécessaire 127 et 221.
É. M. TOME II. Xxxx 2