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LeCamus de Mézières, Nicolas
Le génie de l'architecture ou l'analogie de cet art avec nos sensations — Paris, 1780 [Cicognara, 460]

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https://doi.org/10.11588/diglit.26681#0156

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i44 L E G É N I E
blics j & leur genre ne peut cadrer avec nos
mœurs qui entraînent après elles la plus
grande sensualité & la délicatesse la plus re-
cherchée.
Nous ne dirons rien de la maniéré des
Turcs ; pour suppléer aux bains d’eau 3 ce
sont des étuves qui forcent à la sueur ; mais
une pareille méthode ne pourroit qu’être pré-
judiciable dans nos climats ; on a d’autres
moyens d’exciter la transpiration.
If y a aussi des bains de vapeurs ; ces ob-
jets regardent la Médecine. Nous parlons
de la décoration des bains 3 elle seule nous
intéreUe.
Etuve,
L’entrée de l’étuve se placera attenant
la salle des bains ^ elle doit être fermée, ainsi
que le cabinet des bains, d’une double porte y
& être close de toutes parts. L’endroit ne
doit pas être grand , il faut qu’il soit pavé d’une
seule dalle recreusée 3 de maniéré que l’eau
qui tombe puisse s’écouler au-dehors par le
moyen d’un tuyau de conduite avec soupape.
La lumière ne doit partir que d’une baie en
forme
 
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