LeCamus de Mézières, Nicolas: Le génie de l'architecture ou l'analogie de cet art avec nos sensations (Paris, 1780) [Cicognara, 460]

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penti , on y laveroit à couvert les harnois :
dans ce cas il faudroit une auge & un robi-
net. A côté de la réparation de chaque at-
telage y il convient quil y ait une armoire fer-
mante à clef avec plusieurs tablettes pour y
mettre les rubans,, les cocardes, &c. asin de
prévenir le désordre. Alors chacun dans son
département répond des inconvéniens. Dans
le milieu de la longueur de cet endroit , il
doit y avoir quelques tables de deux pieds de
large, cinq à six pieds de long ^ autant d’es-
pace entre deux ^ & elles seront sur des pieds
de fer bien scellés. On pave quelquefois
ces endroits , mais le carreau est plus favo-
rable , d’un entretien plus facile y ôc moins
sujet à la poussiere.
Il seroit à propos de pratiquer dans cet
ensemble un endroit particulier en espece de
boutique pour le travail du Bourrelier ; une
table ôc quelques tabourets y sussiront.
S elle rie.
L’endroit pour les selles des chevaux de
main ne doit pas être éloigné ; il doit auïïi être
carrelé ôt plafonné i les croisées auront des